jeudi 5 juin 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Le voisin a cesser de crier et se tape une soirée heavy métal, du rock qui cogne. Ce soir je trouve pas de quoi vous entretenir. Vous allez me trouver idiot mais j'en suis déjà au climatiseur.pourtant c'est une belle soirée au goulag occidental c'est la trève des travaux forcés. Je ne vous ai jamais parlé de mes difficultées avec le langage des gens en autorités comment quand la conversation se termine je les entend rajouter quelque chose vide de sens, ça m'épuise, ça défait toute ma confiance que je dois rebatir. C'est un signe, la confiance fragile c'est un manque de foi, j'en ai pas a donné...Le rock du voisin a cessé.Je me sent lourd c'est la soirée j'ai mangé trop de pablum dans ma jeunesse ça m'a fait rapetisser les couilles, couilles deux fois c'est un mot payant. On va laisser la nourriture pour bébé a Camille elle en auras besoin un peu plus tard. "Je cherche, je cherche, mais je ne trouve pas, la solution des équations, la raison d'exister..." de l'existensialisme chanté. J'aurais aimé être Bruce des Sultans ou Simon des Lutins les petites filles se les arrachaient. Ce que je trouve étrange c'est que les hormones masculines s'agitaient à la vue de Nicole Martin ou de Claude Valade pourtant la musique des petits gars étais toujours meilleures, à moins d'être un gai précoce on aurais pas avoué avoir un crush pour Dalida on étais tous GiGi. Ce soir chez moi il fait froid comme dans un frigidaire d'abattoir. Je veux me conserver!!! " Le petit poppy" qui aurais dis que Pagliaro commencerais une carrière de rocker avec une chanson si peux virile. Ça existe plus ça les grand mythes du rock'n'roll en tout cas moi j'ai arrêté avec Bono et U2 faudrait que je fasse une visite au Hard rock café pour mettre à jours mes idoles rock. Je pense à Francoeur " Nancy Nancy Beaudoin chérie veux- tu être ma Barbie en vie veux tu être ma Ruby Tuesday ma blonde steadée" Le rock'n'roll ça m'a permis de survivre assez longtemps tout les hôtels étaient le Morrisson hôtel. Les juke-box nous faisait rocker à coup de trois tounes pour trente sous. Nous autre on se mettait pas de brylcreem puant on se laissait allonger les cheveux jusqu'au moment ou les Sex Pistol sont arrivés et on s'est rasé le coco. Le rock a pas tenus ses promesses c'est devenus du commerce et avec ma bedaine j'ai pas la dégaine d'une rock star. Je pense au "Almost cut my hair" du CSN&Y faute de les couper on les a perdus nos cheveux. Je vous laisse allé écouter le "She came in through the bathroom window" des Beatles. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 3 juin 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je suis triste, j'ai beau écrire je me sent persécuté. J'ai envoyé un texte intitulé Psychose Parisienne pour mes Humeurs Culturelles sur le site de L'I.U.S.M.M. comment vous dire... De retour de Paris j'ai moins d'intérêt pour les nouvelles de TV5. Lentement la vie passe et ce soir le goulag occidental est sous la pluie. Je reçois des appels d'une boîte vocale anglophone qui me dis que j'ai gagné je ne sais quel voyage, c'est une arnaque. Oui! Oui! Oui! Je suis triste et seul,les orages sont passées y'a une odeur d'oignon frit. Y'a pas de club social pour les fous.Je regarde les voitures passées c'est juin l'été arrive bientôt. J'essais d'écrire quelque chose de vraiment inspiré, le centre-sud est pas très poétique, à part les dépanneurs pour les alcooliques et les bistros aux machines à sous y'a rien, c'est pas que je m'ennuis de ça... Je pense à mes amis partis pour toujours... Je vous écris ça lentement et je pense à la nouvelle petite Camille, une enfant, de quoi se réjouir... Je me fait vieux, le poète a plus beaucoup de poésie. Il regrette d'avoir écris certaines choses, regretté la poésie ça se peux tu, les poètes c'est la fin du monde, le noir, l'apocalypse, le poète radical ne parlait que de ses déchets, il supposait le suppositoire en s'endormant sur une grosse bière muet d'avoir crié son histoire pas encore finale, il essayait de durer, de durer, le temps lui rabattait son caquet comme ceux qu'il croisait et qui le détestais. Il se crissais des nuits sans lune et des espoirs pour rien jamais gris souvent saoul pour essayer de mourrir en mots, de crever en syntaxe sans savoir, le dictionnaire, ce qu'est un paradigme des mots de maudites façons. On le disait schizophrène il a acheté en cherchant le silence dans ce brouhaha délirant, le prochain comme dans la bible se chargeais de lui faire ressentir la haine pourtant ces syllabes incompréhensibles, ces onomatopés déviargés... On appelle pas la police pour des mots, je ne connais qu'un langage voilà mon malheur, t'en rappelle tu Mimille dans ton adolescence tu nous enchantais avec ton destin pathétique. On veux me faire mourrir assassiné par le peux de chose que je connais, assassiné par l'ignorance tué par la machine ordiné ordinaire.So you want to be great! Be and believe sans sauf conduit en attendant la nuit et les néons de pharmacie oubliée et puisqu'il s'agit de finir, terminons sur un demain sans nom... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 1 juin 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Au cas où je suis de retour au goulag occidental. J'entend les voisines s'esclaffer comme des grosses poules pondeuses..Ce soir on a droit a un magnifique coucher du soleil.J'ai encore le voyage dans le corps... Ce soir j'aimerais bien briser quelques icônes. Il fait bon de retour de Paris dékalisser de l'employé et de savoir qu'on seras compris, bien sur que je sois décrisser trop vite. Avec de la compagnie je serais resté une semaine de plus. Mais toi vous allez me dire comment tu te sent? J'ai de la difficulté a me remettre du jet lag et a synchroniser mes médicaments..Ce soir dans le goulag il fait chaud c'est pas trop tôt. Un message de félicitation à notre lectrice de Sain-Lin pour l'arrivé de la belle Camille qui déjà est presque une pin-up. Comment je me sent? Comment je me sent? La chaleur comme pour tout les voisins me monte à la tête, les chauffard prennent la rue Sainte-Catherine comme si c'étais Daytona, y'a pas grand chose qui change au royaume... Je dis royaume ça nous prendrais un roi au goulag on peux pas se contenter d'un lieutenant gouverneur qui dépense sans compter ou à mon ami le gouverneur général qui est trop loin. Je salut ici madame la gouverneure qui m'avait si bien reçu à Rideau Hall, de quoi virer protestant mais je proteste déjà. Mon voyage ça a comme démystifier Paris et la France. J'écoute plus les actualités françaises. Je suis trop loin de ce quotidien.Certain on dis de Paris que c'est devenus une ville musée on sent pas ça quand on fait les marchés... Dehors ça gueule, ça jappe ça crie, les balançoires grincent ça ressemble à l'été. Bientôt je vais installer le climatiseur, je prend mon temps j'attend une canicule. Bon! Je souhaite de la santé à tout le monde pour cet été et je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 30 mai 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Votre humble serviteur est de retour de sa virée dans la ville lumière. Mes habitudes elles sont dans le mal-aimé goulag occidental.Je me répète quand je jure en employant des mots qui ont trait à la sexualité comme enculé, le lectorat augmente. Quand je marchais le midi à Paris, en passant devant les terrasses j'entendais ces mots là et ignorant aussi, les voix se présentaient comme ça.J'ai pas laissé ça gâté mon voyage. J'aî appris a faire la différence entre l'art nouveau et l'art déco. Cette nuit je suis chez moi devant mon clavier et j'en suis déjà aux souvenirs.Dans l'avion de retour devant moi le gars se croyait assis dans une chaise berçante il arrêtais pas de monter et de descendre le dossier de son siège...Le commis à la réception de l'hôtel disait à son patron plus de Shakespeare. J'ai de la difficulté a dire que ce sont des voix pour moi c'est bien réel c'est comme si j'étais sourd et j'entendais à moitié.Je me sent bien chez moi, le voisin délire avec des "go fuck yourself" je sais que ça s'adresse pas à moi mais à ses fantomes. Je suis pas Artaud, je suis pas Van Gogh. Je ferai pas l'histoire des arts. J'essais de garder ça à ma mesure. Je me sent fatigué ennuyé.Le jour m'ennuis et la nuit me parle.J'ai fait des muffins, aujourd'hui c'est le jour des bienheureux, la petite pègre vas en profiter et quelques'un vont se défoncer.Je suis revenus à l'ordinaire du goulag.J'ai beaucoup aimé Paris au musée d'Orsay y'avait les post-impressionnistes qui étais justement impressionnant. Ce soir je donne dans la niaiserie, je me sent oppressé, j'essais de respirer par le nez. Je pense à tout mes amis qui étaient heureux que je fasse ce voyage. Je sais c'est pas les grands explorateurs mais pour moi c'est quelques chose.Je tousse j'ai un chat dans la gorge, ai préparé un café quand j'écris c'est souvent le silence dans ma tête ça me soulage. Je pense que c'est assez de niaiseries pour cette nuit je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

lundi 26 mai 2014

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Il ne reste plus qu'une journée avant mon départ. Je comprend un ami qui dis avoir pleuré un an lors de son séjour à Paris. Les parisiens sont dur mais parfois y'a des moments lumineux comme la rencontre de ce monsieur et cette discussion au coin de la rue. Même si je sais qu'il ne me lis pas je lui dis merci. Ça été un moment lumineux, y'a encore des gens bien ce monsieur fait honneur à la France. Pour ce qui est de mon état d'esprit j'essais calmement de digérer tout ce que j'ai vu y'a de quoi faire une indigestion de beauté, c'est juste un séjour de deux semaines mais qui dis que je ne reviendrai pas. Ici c'est la nuit je pense au goulag occidental, à mon retour. J'ai pas vraiment eu le temps de songer à toutes mes implications. J'ai remarqué que le lectorat augmentais quand j'utilisais le mot cul, le voilà donc deux fois cul. La nuit à l'hôtel c'est silencieux plus que chez moi. Hier j'ai vu un monsieur qui je crois passait ramasser les aliments périmés, il étais très digne. J'aimerais vous dire comment je me sent. Je vais être heureux de revoir les amis et j'aime bien le vol en avion. Il est deux heure du matin je ne dors pas me suis couché tôt. Je vous ai jamais parlé de ma peur des foules, ici y'avait de quoi se soigner des milliers de touristes comme moi partout, j'ai plongé, entendu des ragots, c'est moi je mettrai pas la faute sur le dos des français. C'est mon dernier texte avant le départ, je vous reviens bientôt du goulag occidental. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Directement de Paris.


Bernard

samedi 24 mai 2014

Au présent

   Bonjour! Bonsoir! J'en ai tant rêvé de Paris. De mes lectures de magazine de bandes dessinée, Tintin, Pilote, Pif gadget, c'est une forme de culture que mes parents m'ont donné . Je les en remercis  moi j'ai toujours été plus Paris que New-York. J'aime bien les super hëros mais Super-Dupont il est dur a battre. Marcher trois quatre heures dans les rues remplies d'histoire de Paris ne serait  ce que passer boulevard d'Aragon ou discuter Vian et jazz hot avec un monsieur fou de jazz. Je pense à Around midnight à Ascenseur pour l'échafaud ou au j'irai cracher sur vos tombes et au déserteur de Vian, ce texte longtemps interdit par le général DeGaulle et pour être plus léger aux rillette du chef de la charcuterie en face qui sont  aussi bonne que cells de ma soeur à la maison. Voilà bien des clichés mais Paris c'est aussi une ville d'accueil une ville ouverte. Mais je crois que certains Parisiens ont le culte de l'amérique, le mode de vie français se perd c'est peut être moi qui est ringard.... Pour les enfants je suis maintenant un papi en vacance, chez nous on dirais un bonhomme. Moi je vous parlerai pas longtemps de l'architecture Haussmann mon beauf le fait mieux que moi,  vous pouvez faire une recherche sur le net avec architecture Paris. Paris le samedi c'est mieux  je crois qu'a une certaine époque les enfants allaient à l'école le samedi le congé était en milieu de semaine dites moi si c'est vrai, l'école une invention de Charlemagne comme dans la chanson "Qui a eu cette idée folle un jour d'inventer l'école c'est ce sacré Charlemagne" Bon! Je  vous laisse là dessus, tout ça. Ça fait très beauf . Merci d'avoir lu jusqu'ici!!!! À la prochaine j'espère!!!  Directement de Paris.


Bernard

mercredi 21 mai 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je débute aujourd'hui la deuxième moitié du voyage. Je me sent bien sortir du goulag occidental est bénéfique. Quand je suis chez moi je me sent parfois envahis, ici à l'hôtel je laisse une femme de ménage entrée à tout les jours et en plus quand je suis pas là. Moi qui au goulag m'ëloigne des foules ici j'y suis presque en permanence. Je ressent quand même une sorte de plénitude bien que parfois je me sent aussi connus que pépère pervers celui  qui jouï en se rentrant une chandelle dans le cul soit on en rie soit c'est le drame. Je devrais peut être consulter après tout je suis dans le pays de Lacan et de la psychanalyse mais je crois pas que la thérapie brève existe, une semaine c'est trop court pour commencer et finir quoi que ce soit.. J'ai pas une très grande opinions des foules surtout dans les musées, on vois les oeuvres mais on a pas le temps d'y réfléchir, de les déguster. C'est certain que le suïcidé Van Gog étais génial mais ća fait pas de tout les malheureux des génies. Je comprend pas la fascination pour les fous d'une autre ëpoque et l'indiffërence et la méchanceté pour ceux d' aujourd'hui ici c'est la nuit propice aux confidences. Je prie, je prie, peut être pas de la plus belle des façons mais ce que je vous écris c'est une forme de prière zen ou j'essais de faire le vide en moi. Aujourd'hui je vais marcher sur une rue parallèle à Vaugirard. J'espère qu'il pleuvras pas. C'est pas très beau comme phrase? Je vais étudier la carte pour savoir comment m'orienter. Mes compatriotes à l'hôtel me font paranoïer. La peur, la peur j'ai vécu avec toute ma vie et il est jamais rien arriver. Je vous laisse lá dessus et je pars pour d'autre petites adventures. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici, å la prochaine j'espére!!! Directement de Paris.

Bernard