dimanche 12 janvier 2014

Au présent.

Bonjour! Bonsoir mes chers lecteurs lectrice. Comme je vous l'avais signalé j'ai décidé de renouveler la facture du goulag. Je garde le nom mais j'essais de changer le propos. Je parlerai de l'actualité, des tueries en centreafrique aux victoires de notre Canadiens en passant par le gars qui a une hernie de quinze livres à l'abdomen. Ce matin ce qui retiens le plus mon attention c'est le tournoi, j'allais écrire de golf mais il est un peu tôt, le tournoi de bowling donc de la famille Saulnier qui fut un grand succès. Les vétérans aguerris de l'allée aux boules ont gagnés par un pointage sans équivoque on en a même vue quelques un entreprendre une guerre psychologique pour déconcentrer l'adversaire. Quant'à moi j'avais un partenaire désolé qu'il n'y ais plus de poudre blanche il croyais que l'équipe précédente l'avait sniffé. N'oubliez pas je suis en mode recherche y'a rien de définitif dans la forme. J'ai discuté hockey avec mon lecteur designer à la retraite on s'est mis d'accord pour dire que le coach du canadiens, leurs bras pas si meurtris portent pas nécessairement très haut le flambeau, le coach donc qui selon nous est doublé quand il parle à la télévision, il parle en langue de hockey, une langue à la manièrte de l'esperanto que seul les joueurs comprennent. Vous avouerez avec moi que le bon petit québecois est rare dans cette équipe. Vous allez me dire y'a Desharnais y'a Brière mais on aimerais nien revenir au bon vieux temps de l'hégémonie de Sam Pollock.Un mot que pas un joueur ne comprend. Ha oui! Ils ont gagné mais moi j'ai perdus incapable de lire la feuille de marquage. J'aimerais qu'on me signale si vous voulez vous désabonner de la liste. Merci d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine j'espère.

Bernard

vendredi 10 janvier 2014

Here is something for you and me final

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris ce matin pour vous signaler que je termine le goulag. Comme je peux pas aller vraiment plus loin que le dernier post. Je sent comme me l'a signaler un lecteur qu'il y a des limites. Je les ai atteint ces limites. Je vais essayer de réfléchir à quelque chose d'une autre teneur que le goulag. Je vous remercie vraiment sincèrement d'avoir lu et essairai de vous revenir avec quelque chose de plus potable. Merci!
 
 

Bernard Saulnier

jeudi 9 janvier 2014

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Il est minuit, j'arrive pas a dormir.Je cherche quelle inepties je pourrais vous écrire disont que dans le goulag j'ai les hémoroïdes au vif. Une autre histoire de trou du cul.Je le répète je suis pas un grand poète, j'ai trahis ma patrie de là l'exil soudain je pense aux nouritures terrestre d'André Gide, le très gay écrivain qui aimait les petits gars.Je sais pas si dans son temps les jeunes hommes étaient aussi vulgaire que ceux d'aujourd'hui où y'a rien pour s'exiter mais Cocteau rêvait surement de sodomie quand il traçais ses dessins d'anus pornographique Où vouliez vous que je vous amène sinon dans la pornographie homosexuelle, le goulag est tout près du village. Je suis voyeur et ça sent le souffre oublions Jean Marais. Mon âme, mon âme n'en peux plus ces longues nuits et des images qui donnent pas d'érection. Je sais que la machine sert souvent d'exutoire. Hier dans mes courriels indésirables y'en avait un d'une jeune fille de vingt huit ans superbe. Elle se cherchait un homme elle est trop jolie c'est un attrape nigaud des russes. Hier midi dans le goulag y'avait deux jeunes filles étendues dans la neige, je croyait qu'elles étaient mortes elle prenaient tout simplement du soleil. J'ai acheté un pain tranché dans une épicerie au coeur du goulag arrivé chez moi j'ai vu que le sac d'emballage était déchiré à quatre dollars le pain je suis pas pour le jeter. J'en ai mangé et je suis pas tombé malade ce coin du goulag c'est le coin des ladies of the evening. Ils les font monter dans leurs voitures pour un petit service sexuel, y'a des vieilles capotes partout dans la rue. Cette nuit le goulag est tranquille, je me prépare un café mon texte est plus niais que sulfureux. Je sais pas si on va encore me traiter d'homophobe mais un corps d'Appolon pas de tête ça m'attire pas je préfère les jeunes filles russes elles au moins savent ce qu'est le goulag ses grands froid et ce besoin de chaleur. J'arrête en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 
Phoby BernyAfficher 500.jpg dans le diaporama

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Encore debout tôt ce matin. J'étais enthousiaste de voir le nombre de hits sur mon blog pour vite déchanté et voir que ce sont des logiciels qui vampirisent les statistiques dont le bien nommé vampirestat.com.  Pour ceux qui lisent vraiment je vous remercie tout de suite. Me suis servis une menthe,ai compté le nombre de razoir qu'il me reste, le compte y est... De retour à mon âme qui espère avoir plusieurs lecteurs. Je vous la livre cette âme désoeuvré dans le goulag occidental,une âme seule comme bien d'autre dans les quartiers limitrophes.Je me nourris de souvenirs, d'étât ou je vivais de bons moments. Me rappelle un copain qui utilisait l'expression"en soit" souvent. La nostalgie c'est pas bon pour mon âme ça peux l'amener dans des excès de consommation et à partir de là ne plus savoir ce qui vas arriver. Je pense à mon lecteur designer qui parlait d'une opération qui transformais le goût du vin en saveur de pèroxyde, d'alcool à friction. Votre humble serviteur est impuissant devant l'alcool, boire me rend fou... J'écoute et cherche quoi écrire, c'est toujours mes étâts d'âme. Je pense à la bédéiste Claire Brétécher qui m'a fait vivre de rigolos moments de lecture. Hé oui j'ai le coeur en chômage,la nuit m'ennuis pourtant je suis debout et j'écris. Je pense au poète qui en écoutant perdus dans une chambre, un poème de mon cru, me dis d'en sortir... Pour un poète il manque de sensibilité. Ça aussi, le ressentiment je peux pas me le permettre. Quand même je trouve idiot de voir de la poésie partout...Poésie ça rime pas toujours avec anarchie, surtout les anarchistes d'abreuvoir avec une bière pour changer le monde qui au matin on la gueule de bois et plus un sous pour se loger et manger. La bohème se fait parfois vieille, il faut accepter de se ranger. Dehors une voiture klaxonne et un gars gueule.C'est pas très bon ce que j'écris ce matin, ma prose est pas politicaly correct mais j'ai pas a faire mon auto-critique je vous laisse critiquer. J'arrête ici contrairement à l'habitude je me sent mal pourtant je veux me sentir bien après vous avoir écris. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Sicky Berny

mercredi 8 janvier 2014

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Petit matin toujours au goulag. Je vais encore essayer de vous parler de mon âme et de l'exil. Je serai jamais rapatrié mon pays n'a jamais existé, cette terre d'espérance n'est jamais venue au monde, le poète disait qu'elle devait advenir. L'exil c'est mon âme qui en souffre le plus, le goulag occidental c'est le pays des âmes qui n'ont plus rien a perdre ou on rêve d'une terre à soi ou on participerait au concert des nations. Moi je reste toujours avec l'idée que ça jouerait faux dans ce concert, que la musique c'est l'affaire des anglo-saxon. Il est bien tard pour se faire un pays surtout qu'on en veux pas de cette terre d'exil partagée avec les plus mal amanchés sous le mandat du gouverneur général. C'est ce que me dicte mon âme remplie de préjugés, incapable de vivre stigmatisée elle aussi.Oui! Une âme lourde qui demande pardon de n'avoir pelleté que des nuages plutôt que de se mettre au boulot sur la terre ingrate des nobodys du goulag. Ce matin j'ai mal, on rigole en disant négativement que je l'ai l'affaire un de mes lecteurs en tout cas. Je lui répond que c'est pas de l'avoir mais de faire, comme dans l'introduction du livre de Jerry Rubin Do It! par Eldrige Cleaver. Mais non l'exil c'est pas le kibboutz, l'exil c'est dans mon âme je le répète. Mon âme dans les steppes de la solitude ou la communication est impossible d'homme à homme, ou tout passe par les médias. Mais laissont là la révolution des intoxiqués. J'arrive à rien avec ça peut -être une douleur sentimentale parce que sans vrai pouvoir a essayer de me débattre avec les mots, a dire cette âme brûlée par la naïvetée, l'innocence, innocent comme un béret blanc avec son journal Vers Demain et le crédit social, ces gens là on les vois plus dans le goulag on a perdus la foi et je pense à la chanson "All along the watchtower" et oui on me surveille de la tour des croyants, de ceux qui ont la foi. Dans le goulag on offre tout les plaisirs mêmes les illégaux, on y perd son âme en se jetant dans le "péché". On fornique dans l'exil, désespéré sans croire au retour. Je pense à ma lectrice de deux montagnes je suis pas lunatique, je peux pas revenir de la lune tout ce qui me reste c'est la conscience de ma folie. Ce matin je peux pas aller plus loin. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Selfy Berny

mardi 7 janvier 2014

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! C'est froid dans le goulag ce matin. Je me sent en manque d'inspiration. Mon âme est vide que faire? C'est un mardi matin comme bien d'autre. Je pense au regretté André Paiement du groupe CANO. "C'est donc pas une bonne affaire d'être en amour en plein hiver" ça fait des années que cette chanson là accompagne mes hivers. Je pense au monde du travail... Je crois que je me suis fait voler une carte Tim Horton mais je l'ai surement perdue. Dans ma folie j'ai jamais rencontré les agents gouvernementaux qui me persécutent la vérité c'est que ma schizophrénie se manifeste. Y'a ceux qui sont morts. Je résiste, je résiste encore, c'est l'avant midi, y'a ces journées où je patinais et d'autre où tout simplement je marchais pour apprivoiser le froid et faire de l'air dans ma boîte à poux. Ce matin j'ai envie de finir avant de commencer. Je serai jamais de retour d'exil, ils vont, je ne sais qui, me persécuter longtemps encore... C'est difficile ce matin je crois que ça se nomme des problèmes cognitifs, de la folie furieuse dans les petites choses. La folie crue c'est jamais poétique, y'a quelques années à mon arrivée dans le goulag je croyais être guéris mais non personne ne guéris. Mon âme à mal si j'avais pas cette folie dans ma vie ce serait parfait mais c'est impossible. Il neige ce matin, y'a de la circulation dans le goulag ou on meurt de trouble respiratoire plus rapidement qu'ailleurs. Dehors c'est de la poudreuse, ça se bouscule dans mon cerveau. Je pense à vous tous dans mon exil, c'est quand même chez moi, on est pas riche mais on survie. Je vous fait ça court aujourd'hui merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Weekly Berny

samedi 4 janvier 2014

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je viraille dans mon lit, c'est mon âme qui fait encore des siennes, c'est ça aussi l'exil la difficultée de dormir. Sur ma page facebook y'a une photo très touchante de mes frères et moi enfants.Ce soir le goulag mérite sa réputation de pays froid. J'essais de vous écrire un texte qui se tiens avec mon âme qui travaille et comme on dis c'est une âme en peine.Il est une heure quarante c'est la nuit. Je descend dans mon gouffre intérieur. J'aimerais être poête et vous en dire plus sur mon étât d'âme. J'ai comme un vide à la poitrine et l'idée qu'une femme pourrais le remplir, c'est une idée fausse que je me vend. Étrangement c'est ce que je fait seul qui me remplis, ce blog entre autre. L'exilé ne retourneras pas en arrière, ma respiration sonne comme de la slide guitar ou si vous préférez de la guitare hawaiënne. Cette nuit j'ai pas la bouche sèche je prend mon café et je bave. Je pense aux camionneurs du goulag, je crois que la nuit du samedi au dimanche ils dorment. Je me rappelle les copains avec qui je transportais le matériel d'un band, d'un orchestre. On arrivais avant et après le show pour décharger et charger le stock on appelle ça des roadies je crois... C'étais la vie rock'n'roll,elle est finie,le rock s'est fendue dans une nuit de noce, un mariage obligé en plein hiver pour pas laisser grandir un bébé avec un seul parent. Une bedaine ronde, je pense à ma lectrice de Saint-Lin qui attend une petite fille avec le père son très bon compagnon.Parfois je me dis à quoi bon ces petites chroniques du quotidien dans le goulag, mon âme en flamme qui cherche la paix loin de l'enfer de l'angoisse. C'est l'hiver et je me brûle sur la glace vive. Le goulag occidental est pas très grand mais remplis d'exilés, on exile plus dans les territoires innocupé, on garde ça sauvage et bucolique faut maintenant payer pour se rendre dans le bois et y rester.Je pense au cinéaste Éric Rohmer, au "Genou de Claire" à Annecy ou je suis déjà passé, la montagne, les canaux c'étais loin de l'exil. C'est pas clair justement ce que j'écris, je me fait un pays de l'exil. J'en ai visité d'autre mon âme chavire quand je vois un avion. J'ai envie de partir mais j'ai pas de destination va toujours falloir que je revienne après être allé au bout de ma chaîne imaginaire. Bon! Je laisse le goulag dormir et je vous laisse aussi. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Kneely Berny