jeudi 9 janvier 2014

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Il est minuit, j'arrive pas a dormir.Je cherche quelle inepties je pourrais vous écrire disont que dans le goulag j'ai les hémoroïdes au vif. Une autre histoire de trou du cul.Je le répète je suis pas un grand poète, j'ai trahis ma patrie de là l'exil soudain je pense aux nouritures terrestre d'André Gide, le très gay écrivain qui aimait les petits gars.Je sais pas si dans son temps les jeunes hommes étaient aussi vulgaire que ceux d'aujourd'hui où y'a rien pour s'exiter mais Cocteau rêvait surement de sodomie quand il traçais ses dessins d'anus pornographique Où vouliez vous que je vous amène sinon dans la pornographie homosexuelle, le goulag est tout près du village. Je suis voyeur et ça sent le souffre oublions Jean Marais. Mon âme, mon âme n'en peux plus ces longues nuits et des images qui donnent pas d'érection. Je sais que la machine sert souvent d'exutoire. Hier dans mes courriels indésirables y'en avait un d'une jeune fille de vingt huit ans superbe. Elle se cherchait un homme elle est trop jolie c'est un attrape nigaud des russes. Hier midi dans le goulag y'avait deux jeunes filles étendues dans la neige, je croyait qu'elles étaient mortes elle prenaient tout simplement du soleil. J'ai acheté un pain tranché dans une épicerie au coeur du goulag arrivé chez moi j'ai vu que le sac d'emballage était déchiré à quatre dollars le pain je suis pas pour le jeter. J'en ai mangé et je suis pas tombé malade ce coin du goulag c'est le coin des ladies of the evening. Ils les font monter dans leurs voitures pour un petit service sexuel, y'a des vieilles capotes partout dans la rue. Cette nuit le goulag est tranquille, je me prépare un café mon texte est plus niais que sulfureux. Je sais pas si on va encore me traiter d'homophobe mais un corps d'Appolon pas de tête ça m'attire pas je préfère les jeunes filles russes elles au moins savent ce qu'est le goulag ses grands froid et ce besoin de chaleur. J'arrête en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 
Phoby BernyAfficher 500.jpg dans le diaporama

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Encore debout tôt ce matin. J'étais enthousiaste de voir le nombre de hits sur mon blog pour vite déchanté et voir que ce sont des logiciels qui vampirisent les statistiques dont le bien nommé vampirestat.com.  Pour ceux qui lisent vraiment je vous remercie tout de suite. Me suis servis une menthe,ai compté le nombre de razoir qu'il me reste, le compte y est... De retour à mon âme qui espère avoir plusieurs lecteurs. Je vous la livre cette âme désoeuvré dans le goulag occidental,une âme seule comme bien d'autre dans les quartiers limitrophes.Je me nourris de souvenirs, d'étât ou je vivais de bons moments. Me rappelle un copain qui utilisait l'expression"en soit" souvent. La nostalgie c'est pas bon pour mon âme ça peux l'amener dans des excès de consommation et à partir de là ne plus savoir ce qui vas arriver. Je pense à mon lecteur designer qui parlait d'une opération qui transformais le goût du vin en saveur de pèroxyde, d'alcool à friction. Votre humble serviteur est impuissant devant l'alcool, boire me rend fou... J'écoute et cherche quoi écrire, c'est toujours mes étâts d'âme. Je pense à la bédéiste Claire Brétécher qui m'a fait vivre de rigolos moments de lecture. Hé oui j'ai le coeur en chômage,la nuit m'ennuis pourtant je suis debout et j'écris. Je pense au poète qui en écoutant perdus dans une chambre, un poème de mon cru, me dis d'en sortir... Pour un poète il manque de sensibilité. Ça aussi, le ressentiment je peux pas me le permettre. Quand même je trouve idiot de voir de la poésie partout...Poésie ça rime pas toujours avec anarchie, surtout les anarchistes d'abreuvoir avec une bière pour changer le monde qui au matin on la gueule de bois et plus un sous pour se loger et manger. La bohème se fait parfois vieille, il faut accepter de se ranger. Dehors une voiture klaxonne et un gars gueule.C'est pas très bon ce que j'écris ce matin, ma prose est pas politicaly correct mais j'ai pas a faire mon auto-critique je vous laisse critiquer. J'arrête ici contrairement à l'habitude je me sent mal pourtant je veux me sentir bien après vous avoir écris. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Sicky Berny

mercredi 8 janvier 2014

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Petit matin toujours au goulag. Je vais encore essayer de vous parler de mon âme et de l'exil. Je serai jamais rapatrié mon pays n'a jamais existé, cette terre d'espérance n'est jamais venue au monde, le poète disait qu'elle devait advenir. L'exil c'est mon âme qui en souffre le plus, le goulag occidental c'est le pays des âmes qui n'ont plus rien a perdre ou on rêve d'une terre à soi ou on participerait au concert des nations. Moi je reste toujours avec l'idée que ça jouerait faux dans ce concert, que la musique c'est l'affaire des anglo-saxon. Il est bien tard pour se faire un pays surtout qu'on en veux pas de cette terre d'exil partagée avec les plus mal amanchés sous le mandat du gouverneur général. C'est ce que me dicte mon âme remplie de préjugés, incapable de vivre stigmatisée elle aussi.Oui! Une âme lourde qui demande pardon de n'avoir pelleté que des nuages plutôt que de se mettre au boulot sur la terre ingrate des nobodys du goulag. Ce matin j'ai mal, on rigole en disant négativement que je l'ai l'affaire un de mes lecteurs en tout cas. Je lui répond que c'est pas de l'avoir mais de faire, comme dans l'introduction du livre de Jerry Rubin Do It! par Eldrige Cleaver. Mais non l'exil c'est pas le kibboutz, l'exil c'est dans mon âme je le répète. Mon âme dans les steppes de la solitude ou la communication est impossible d'homme à homme, ou tout passe par les médias. Mais laissont là la révolution des intoxiqués. J'arrive à rien avec ça peut -être une douleur sentimentale parce que sans vrai pouvoir a essayer de me débattre avec les mots, a dire cette âme brûlée par la naïvetée, l'innocence, innocent comme un béret blanc avec son journal Vers Demain et le crédit social, ces gens là on les vois plus dans le goulag on a perdus la foi et je pense à la chanson "All along the watchtower" et oui on me surveille de la tour des croyants, de ceux qui ont la foi. Dans le goulag on offre tout les plaisirs mêmes les illégaux, on y perd son âme en se jetant dans le "péché". On fornique dans l'exil, désespéré sans croire au retour. Je pense à ma lectrice de deux montagnes je suis pas lunatique, je peux pas revenir de la lune tout ce qui me reste c'est la conscience de ma folie. Ce matin je peux pas aller plus loin. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Selfy Berny

mardi 7 janvier 2014

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! C'est froid dans le goulag ce matin. Je me sent en manque d'inspiration. Mon âme est vide que faire? C'est un mardi matin comme bien d'autre. Je pense au regretté André Paiement du groupe CANO. "C'est donc pas une bonne affaire d'être en amour en plein hiver" ça fait des années que cette chanson là accompagne mes hivers. Je pense au monde du travail... Je crois que je me suis fait voler une carte Tim Horton mais je l'ai surement perdue. Dans ma folie j'ai jamais rencontré les agents gouvernementaux qui me persécutent la vérité c'est que ma schizophrénie se manifeste. Y'a ceux qui sont morts. Je résiste, je résiste encore, c'est l'avant midi, y'a ces journées où je patinais et d'autre où tout simplement je marchais pour apprivoiser le froid et faire de l'air dans ma boîte à poux. Ce matin j'ai envie de finir avant de commencer. Je serai jamais de retour d'exil, ils vont, je ne sais qui, me persécuter longtemps encore... C'est difficile ce matin je crois que ça se nomme des problèmes cognitifs, de la folie furieuse dans les petites choses. La folie crue c'est jamais poétique, y'a quelques années à mon arrivée dans le goulag je croyais être guéris mais non personne ne guéris. Mon âme à mal si j'avais pas cette folie dans ma vie ce serait parfait mais c'est impossible. Il neige ce matin, y'a de la circulation dans le goulag ou on meurt de trouble respiratoire plus rapidement qu'ailleurs. Dehors c'est de la poudreuse, ça se bouscule dans mon cerveau. Je pense à vous tous dans mon exil, c'est quand même chez moi, on est pas riche mais on survie. Je vous fait ça court aujourd'hui merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Weekly Berny

samedi 4 janvier 2014

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je viraille dans mon lit, c'est mon âme qui fait encore des siennes, c'est ça aussi l'exil la difficultée de dormir. Sur ma page facebook y'a une photo très touchante de mes frères et moi enfants.Ce soir le goulag mérite sa réputation de pays froid. J'essais de vous écrire un texte qui se tiens avec mon âme qui travaille et comme on dis c'est une âme en peine.Il est une heure quarante c'est la nuit. Je descend dans mon gouffre intérieur. J'aimerais être poête et vous en dire plus sur mon étât d'âme. J'ai comme un vide à la poitrine et l'idée qu'une femme pourrais le remplir, c'est une idée fausse que je me vend. Étrangement c'est ce que je fait seul qui me remplis, ce blog entre autre. L'exilé ne retourneras pas en arrière, ma respiration sonne comme de la slide guitar ou si vous préférez de la guitare hawaiënne. Cette nuit j'ai pas la bouche sèche je prend mon café et je bave. Je pense aux camionneurs du goulag, je crois que la nuit du samedi au dimanche ils dorment. Je me rappelle les copains avec qui je transportais le matériel d'un band, d'un orchestre. On arrivais avant et après le show pour décharger et charger le stock on appelle ça des roadies je crois... C'étais la vie rock'n'roll,elle est finie,le rock s'est fendue dans une nuit de noce, un mariage obligé en plein hiver pour pas laisser grandir un bébé avec un seul parent. Une bedaine ronde, je pense à ma lectrice de Saint-Lin qui attend une petite fille avec le père son très bon compagnon.Parfois je me dis à quoi bon ces petites chroniques du quotidien dans le goulag, mon âme en flamme qui cherche la paix loin de l'enfer de l'angoisse. C'est l'hiver et je me brûle sur la glace vive. Le goulag occidental est pas très grand mais remplis d'exilés, on exile plus dans les territoires innocupé, on garde ça sauvage et bucolique faut maintenant payer pour se rendre dans le bois et y rester.Je pense au cinéaste Éric Rohmer, au "Genou de Claire" à Annecy ou je suis déjà passé, la montagne, les canaux c'étais loin de l'exil. C'est pas clair justement ce que j'écris, je me fait un pays de l'exil. J'en ai visité d'autre mon âme chavire quand je vois un avion. J'ai envie de partir mais j'ai pas de destination va toujours falloir que je revienne après être allé au bout de ma chaîne imaginaire. Bon! Je laisse le goulag dormir et je vous laisse aussi. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Kneely Berny

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! J'ai de la difficultée a dormir, la bouche sèche je mange des menthes. C'est la nuit dans le goulag occidental, toujours étonné d'écrire sur le non évènement. Il se passe rien dans le goulag ou si peu. Les pompiers passent.Je vous ai pas parlé de la jolie chaîne ornée d'une croix que ma lectrice retraitée m'a donnée en cadeau.Elle viens directement de Rome, la chaîne pas la lectrice! Il fait très froid à cette température y'a personne qui traîne dehors. Le blogueur Martin Schmout me paralyse, il se passe beaucoup de chose dans sa vie. Moi j'écoute mon âme et j'arrive pas au silence je suis pas très zen dans mon exil.Je cherche toujours comment vous parlez de ma quête intérieure, écrire ça me calme un peu... L'électricité me tiens au chaud y'a quelques années dans le goulag on chauffait à l'huile livré dans un réservoir souvent un quarante cinq gallons, l'huile coûtait et coûte encore chère. Je suis pas de ceux à tenir le chauffage bas et a porter une petite laine. Je vous écris ceci presque nu et je m'en porte pas plus mal. Le nouvel assisté social en bobette devant son écran. Je devrais porter une tenue descente pour vous écrire, un tuxedo? Mon âme me dis que c'est pas très grave et que la compagnie de tuxedo fait pas la livraison. Ça circule sur les passerelles de la cage à poules probablement quelqu'un qui cherche de la chaleur même bien gelé. Je pense au cousin Martin qui correspondait avec sa grand-mère, le démon de l'écriture ça commence tôt. Moi j'écrivais à mon père et en classe de français on ne faisait que ça. C'est loin tout ça bien avant la dérive et l'exil du temps ou mon âme souffrait d'une immense peur, d'une immense solitude. Je sais j'écris comme un cochon en supposant que cette bête ait une âme, j'en doûte mon jambon serait pas si bon et j'engraisse pas avec les mots. Vous voyez je suis incapable de faire une métaphore qui a du sens. C'est toujours la nuit dans le goulag. Je pense aux pauvres diables qui gèlent dehors, aux irréductibles à ceux qui veulent rien savoir des refuges. Il est trois heure douze c'est le last-call dans les bars, ils vont se chercher un after-hour, une arrière salle où pour dix dollars tu a droit à un alcool fort dans une tasse de café. Quand tu a pas d'endroit pour dormir tout ça est mieux que d'attendre le jour dehors. C'est étrange quand je pense à la poésie ce sont les mots de Nelligan où de Francoeur qui me viennent à ce qui me reste d'esprit. J'espère que vous allez me pardonner cette mauvaise prose. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Coldy Berny

jeudi 2 janvier 2014

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Frette a fendre les pierres, a faire sauter les clous si vous aimez pas l'hiver venez pas dans le goulag ces jours ci. Mon ami édimestre semble pas apprécier les photos de Québec sous la neige... Je sais c'est pas que ça Québec mais y'a un chateau de glace au carnaval quand même. Je m'éloigne du goulag occidental. Je pense à mon âme ce soir j'entend des voix, vous inquiètez pas ce sont les voisins, pour les autres voix elles me parlent quand je fait la lecture c'est difficile de me concentrer entre le livre et les commentaires de la voix qui veux que je fasse autre chose. Hé oui c'est vraiment l'hiver c'est pas le temps de faire la guerre sauf la guerre des tuques. Bientôt on termine les fêtes avec la fève des Rois. J'ai l'âme moins lourde, le sanglot plus éloigné, on sait qu'on y est dans l'hiver, faut quand même jouer dehors, ce soir y'a une petite neige de temps froid. Je vous écris et je me chante de vieilles chansons de François Guy, un auteur méconnu... Je reviens à mon âme qui se meurt pourtant je la ressucite tout les matins avec un café et entre deux rêves. Je sais un jour je devrai quitter le goulag mais cet après midi je racontais mes fréquents déménagements à un copain, y'a qu'au goulag que j'ai pu survivre, j'avais des voisins déprimés qui trouvait le goulag moche c'est comme tout on finis par l'assimiler le goulag, on a l'âme plus légère et l'exil plus facile on se cherche moins dans le domicile, je suis plus dans l'introspection le lieu n'a pas une si grande importance. Ça tousse dans le poullailler y'a un voisin qui a la grippe je crois... Mon âme a moins faim de la présence de l'autre, elle s'aménage des moments de solitude gracieux, vous allez dire il éxagère! Mais oui gracieux! Comme dans avoir la grâce et je parle pas de psychose religieuse. La grâce en contact avec le réel, la conscience même si ce n'est que la conscience de rêver. Je fait trop le poête ce soir.... Les murs, le froid, les clémentines du Maroc qui nous rappelle qu'il y a des pays ou il fait chaud... J'allais donnés dans l'actualité, l'islam et tutti quanti... Juste pour vous dire que de frapper sur la religion je trouve ça un peu facile et pas nécessairement drôle. J'écris mon âme a besoin de cette prière "littéraire" pas du par coeur des prières de l'enfance mais une prière personnelle avec et au bon esprit. Parlez moi pas de Nietsche j'y comprend rien... Je pense que je suis dans le champ quand je dis que je ne veux pas écrire sur l'actualité, le moment présent y'a rien de plus actuel. Il ne neige plus. Je vous laisse sur ce moment en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Softy Berny