mercredi 20 février 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Il neige au goulag, j'ai l'âme froide... Mon âme de vieux hippie est vide, peace & love c'étais bien mais on discutais quand même du struggle for life, la lutte pour la survie. Moi je crois qu'il n'y a que les êtres humains qui sont capable d'entraide, c'est important... Mon goulag est autant intérieur qu'extérieur vous l'avez compris, le tzar s'occupe de nous il veille sur notre coeur... C'est étonnant de voir comment frappe le vide de certains propos. Vous allez me dire tais toi! Tais toi! Mais la machine attend elle est prête a gober mes mots. Je vous parlerai pas de mes hallucinations, de mes malaises, de ces présences étrangères que je sent après mon retour chez moi... Je me fait un café il est un peu tard mais... Hier un itinérant de ma connaissance a cogné chez moi, il tenait un sac de chips je lui ai demandé ce qu'il voulait son gouffre goulaguien semblait plus grand que le mien il a quitté tout de suite, il a des airs d'amérindiens... Je sais même pas pourquoi je vous raconte ça, la neige tombe toujours c'est la soirée parfois je me sent désolé pris par le désarroi... J'ai jamais eu une très grande santé mentale et je crois pas aux remèdes de sorcières, je crois plus à la force de l'esprit... Question santé mentale je crois pas qu'on paie quelqun pour écouter mes appels téléphoniques et lire mes courriels, la folie c'est de se donner tant d'importance, le monde peux rouler sans moi... Je retombe en enfance je relis les aventures de Bob Morane au Québec, je crois que ça a charmé beaucoup de nos cousins français. Je pense à mes soirées passées dans les boîtes de nuit de la main, rien de très édifiant... Je voulais toujours m'asseoir avec des étrangers, une tache... Parfois je veux m'arracher le coeur pour dire l'inévitable, la transgression, l'innommable mais quoi donc c'est pas de l'ordre de l'abus juste du désespoir d'avoir saccagé ma vie à des choses vaniteuses et orgueuilleuses. J'y suis au mitant de ma vie a essayer de "construire" une "oeuvre". Personne n'y crois pas même moi, la littérature électronique ça n'existe pas, ça n'intéresse pas le populo qui préfère les images porno. J'ai mis la musique de Sons of anarchy, ça me donne un petit kick... J'ai nettoyé le c.d. parais que l'utiliser dans le lecteur d'une voiture ça le brise, je suis juste un peu en retard je suis pas rendus aux ipod. J'aime quand même toujours acheter des c.d. "Forever young" une très belle version. Je me pose la question de ce qui arrive quand on laisse tomber nos traitements psychiatriques? On deviens comme notre ami amérindien a essayer des petits larcins pour se geler à cause de notre ennemi l'homme blanc. Bon! J'agis en personne responsable je me traite mais c'est comme je vous disait parfois je sent que des intrus sont entré chez moi... Léger mal de tête, je vous abandonne là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 
Walky Berny

dimanche 17 février 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui je reste dans mon introspectif goulag. Il fait beau temps mais c'est quand même l'hiver. J'espère laisser une toute petite marque. Je place mon corps en position de récepteur prêt pour la muse qui j'espère seras là. Je suis, je crois, plus inspiré quand je me rend au café hors du goulag. Je confond souvent le goulag intérieur avec ma position géographique. Cette semaine si tout va bien je vais parler de mon savoir expérientiel, de la psychiatrie citoyenne qui selon certain est une mode, une mode oui mais qu'il est urgent d'adopter. J'ai acheté trois livres qui ont tous un rapport avec le Canada, l'autobiographie de Neil Young un canadien, Bob Morane au Québec dHenri Vernes et le rêve de Champlain. J'ai acheté ça inconsciemment sans voir que c'est lié... C'est dimanche le goulag est tranquille, y'a pas de circulation. Les cheminées fument, le ciel est bleu, c'est plus facile d'écrire en périphérie du goulag. Je fouille dans ce que je ressent pas grand chose à vrai dire. C'est niais ce que j'écris, y'a un type qui installe des céramiques rue Ontario... Ma tête est vide... Ai pris une douche et j'ai trouvé dans le bain un protège lame de rasoir quelqu'un l'a mis là... Ce sont mes angoisses y'a personne qui est entré chez moi depuis la semaine passé et j'ai récuré le bain jeudi... Je me suis mal rasé... L'hiver c'est le goulag en Russie et au Canada, mon âme est froide... Je pense à la Norvège d'Émile... Vais me faire un café... Encore cette semaine on commenteras pas l'actualité y'en a plein d'actualité dans le goulag la preuve c'est qu'actuellement je vous écris le matin mais quand même de ma nuit intérieure. J'y vois rien, rien que le temps qui passe, en solitaire... Pas de radio ce matin, juste la sécheresse de l'asphalte comme seule elle peut être l'hiver après que le sel soit disparus. Je me cure pas le nez j'essais d'enlever les peaux sèches, c'est pas très littéraire mais c'est de l'ordre de l'intime... Je ne peux écrire que seul, j'essais d"être à l'écoute de toutes les voix parfois le moteur d'un autobus prend le pas et je n'entend... Je me lève pour aussitôt me rasseoir, on dirais que la muse hésite qu'elle a peur du goulag cette entité violente qui amène la peur et le doute, Hé oui! C'est un combat entre les muses et le goulag qui ne veux pas se laisser faire préfèrerais rester muet et souffrir comme masoch... Y'a longtemps l'écriture étais vue comme de la masturbation intellectuelle ceux qui disaient ça connaissais pas je crois grand chose à l'intellect. Je termine là dessus. Vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 
Walky Berny

vendredi 15 février 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Suis de retour au café, ai pris le métro, croisé un camelot du journal des itinérants. Je crois que c'est la nouvelle édition. Ça ressemble au métro boulot dodo... Cette nuit il a neigé, j'ai pris mon double espresso allongé il est bon.... Y'a une murale à Paul-Émile Borduas sur le mur du McDonald un vrai sacrilège.... Musique brésilienne avec hautbois et cordes c'est un peu sirop. Les itinérants se réfugient dans le métro, ça pourrais être moi, le café ou je suis c'est un ancien bar, un ouvrier entre avec sa soudeuse électrique. J'ai passé une bonne nuit le matin c'est jamais l'ennuis. Je vous parle pas du goulag je suis en périphérie quand à mon goulag intérieur il veille mais comme je suis pas chez moi ça fait moins mal, la semaine finie les gens ont l'air content y'a pas trop de face de bœuf . Mon iPad c'est pas seulement une question de mode, c'est une façon de faire. Chargés de cours? Ils ont l'air vieux pour être étudiant... Bon! Ça commence l'angoisse c'est le café je crois j'entend les gens me traiter de b.s. J'ai le goulag tatoué dans la face le gars rie très mal. Je sais pas pour vous mais sortir dehors ça me met en train, la neige va fondre je crois. Je sais à qu'elle heure ouvre le café, c'est excellent pour les lèves tôt... Ce matin je sais trop de choses pourtant je suis ignorant. Un gars m'a demandé de l'argent pour un café, j'ai dis non, les autre client aussi, il les a envoyé chier... Je peux pas arrêter d'écrire trop longtemps l'écran noircis. Le bas de la rue Saint-Dénis ça longtemps été le night life. Je me souviens d'un gars qui y avait une chambre et qui bummait à la journée longue, il se faisait passer pour un étudiant, lentement le café s'éveille les clients entrent... Je pense à la chanson café Rimbaud de Faulkner " je t'attend au café Rimbaud je sais que tu ne viendras pas " . Un gars joue dans la neige en finissant sa cigarette, il entre et fait comme chez lui. Lentement je me prépare à quitter le café. J'espère qu'on va me téléphoner pour confirmer les propositions qu'on m'a faites. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine j'espère. Travelly Berny

mercredi 13 février 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! De retour au café c'est bondé. Mélange de pluie et de neige c'est déprimant et dans le métro y'a plusieurs néo-dépression site. Tout près de moi y'a un gars qui écoute sa musique hyper lourd... D'autre parlent d'Ariane Moffat ... C'est pas à point y'a des erreurs de frappe... En face de moi y'a une femme qui lis le journal dans sa voiture...Ça parle,ça parle je voulais pas écrire dépression site mais dépressionniste. Je suis assis tout près de la porte heureusement ça circule pas beaucoup. Toujours étonné de voir de si jeunes gens la cigarette au bec... Cordes vocale... C'est le quartier latin entre deux cours et travaux. Je suis aussi droit devant la vieille bibliothèque nationale C'est un bel édifice les vitraux sont superbe. Tout à coup un silence, un gars dehors devant moi fume une cigarette, la neige fond... Si c'est bon pour elle dans son travail... Bribe de phrases dont je ne connais pas le sens ni la portée.... Étrange ce mot idéalement, c'est un anglicisme. Je crois qu'ils font une demande de subvention. Bonne chance! Dans ces temps de vache maigre.... Je sais, je sais c'est pas polis d'écouter aux tables voisines. J'entend Neil Young il me suit partout celui là... Je suis. pas dans la recherche intérieure ce matin. Mon goulag fait moins mal. En revenant je vais acheter mais faites vous en pas dans le goulag on va plus à la laiterie.... J'ai chaud, ai enlevé ma tuque, je pense au Velvet Underground j'avais six sept ans à leurs apogée. Lou Reed et son Wild side le matin c'est pas tellement wild tout le monde à un hang over . Bon! Je vous laisse là dessus. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Wildly Berny

mardi 12 février 2013

Hère is something for you and me spécial

HBonjour! Bonsoir! Ce matin je vous écris de mon ipad , comme j'ai un brunch et que j'attend des téléphones, je préfère pas aller trop loin. D'habitude je suis pas trop fort sur l'actualité mais "on cause pour la cause" ça viens me chercher. Je vais t.éléphoner aux gens de l'Outaouais y'a pas de petites actions pour la santé mentale. Ce matin c'est gris il pleut, un matin à se désâmer. C'est tout c'était juste un extra. Bye! Sicky Berny

samedi 9 février 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! C'est février neigeux et frette. J'ai l'âme en bataille avec pour ennemi le temps et on s'entend pour dire que le temps y'en a déjà plus derrière que devant. J'ai vécu des quarantaines de plus de quarante jours est-ce qu'on appelle ça des neuvaines? Déporté dans des lieux de perdition physiquement tout près mais si loin des valeurs qui font du bon monde. Ai mangé un yogourt, dans la littérature on invente souvent des personnages, le mien est seul et réel dans le goulag nord-américain. Ce que j'invente c'est cette référence au goulag mais ici on creuse pas de fosse dans le sol gelé on entrepose les corps dans des charniers. Je suis condamné à la retraite dans les quartiers froids... Me suis fait un café avec le temps la solitude me fait moins mal y'a comme un esprit qui m'accompagne dans mes délirictions. La glace, la glace j'ai plus de scotch et plus de glace quoi que je le buvais sec le Saint-Léger et je devenais lourd et empâté. Je vous les dois ces virées sèche et sereine. Je suis sortis des enfers du goulag c'est pas pour y retourner. La matriarche m'a dis de féliciter notre lecteur retraité de la S.T.M. parais qu'il est à la fine pointe de la technologie avec son cadeau un ipad, il est pas seul son humble serviteur en a un aussi... Moi la technologie je m'en sert pour ce que vous lisez ici ce serait bête de s'en passé. J'écoute comme souvent de vieilles chansons folk "farewell to my father". Le père il est partis, je l'ai remplacé par Dieu le père, bien que j'ai toujours eu de la difficulté avec les patriarches. Je pense aussi à une lectrice retraité je crois, elle était enseignante dans un collège privé qu'elle me fasse signe pour me dire qu'elle me lis encore c'est un privilège de l'avoir comme lectrice et tant qu'a y être vous tous qui me suivez dans les méandres de l'écriture je vous apprécie. Bientôt les impôts ça reviens à tout les ans, le fisc on peux pas y échapper mais combien ça vaux une âme, une âme errante dans le non-dis sans plaisir coupable...Ouais! Je crois que demain je vais mettre ma tuque et mes mitaines pour arpenter le goulag et me rendre dans les beaux quartiers coin DuParc et Laurier. Je vous écrirai peut être quelque chose à partir du café. Je sais pas si l'animateur de rue y est toujours par ces temps froid. Souvent le samedi après la game je partais m'épivarder dans le wild side du goulag. J'y ai jamais rien trouvé de durable juste de l'éphémère et de la douleur pour le lendemain. La nuit je gueulais malade jusqu'a ce que des vrais durs me disent de la fermer. Je me taisait de peur de manger une volée. Enfin j'ai changé de vie c'est moins difficile mais j'oublie pas. C'est ma police d'assurance. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Milky Berny

jeudi 7 février 2013

Here is something for you and me 2

Rebonjour! Rebonsoir! Je vous écris d'un café rue St-Denis. J'ai l'air d'un robineux cybernétique le manteau tout sale et Je sais pas comment Je l'ai salis. Dans ma paranoia Je soupçonne les agents de sa majesté, Je Suis si important. Saviez vous que c'est Gaston. Miron qui a mis ça au Monde la rue Saint-Denis disont que l'U.Q.A.M. L'a un peu aidé. Dans le café la musique est angoissante,des touristes viennent d'entrer, c'est des allemands. Je Pense que ce blog vas être plein d'erreur de Fautes. Tout le Monde est devian un écran sauf les touristes qui discutent de Je ne sais quoi. c'est babel. Cinq hommes avec une Jolie dame au rite éclatant .Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir Lu!!! Streety Berny