dimanche 16 septembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bon matin! Je suis vide au milieu de la nuit. Je tente de vous écrire quand même. Ça vaux ce que ça vaux l'écriture d'un grand veau pourtant je bois plus autant de lait. J'ai une réunion ce matin vas y avoir de beignes et du café c'est une réunion citoyenne. Je vais essayer de partager mon "rétablissement" et de rendre compte de mes différentes activités dans les comités de HLHL. Cette nuit je suis pas vide et je suis pas non plus un gros "parfait". Je pense à la jolie Camaro Z28 de mon lecteur à Deux-Montagnes. "Dans ma camaro je t'emmènerai sur tout les chemins d'été" -Luc Plamondon. Y'a le bébé de Catherine qui s'en viens celui de Kate aussi. Moi je vie comme un ermite un vieux bonhomme isolé de cinquante six ans. Dans mon goulag montréalais ça se mesure pas comme dans le vrai. J'ai pas été déporté ici, j'ai le chauffage et à manger je risque pas de crever sinon d'une intoxication à l'air pollué... Ça parle, ça parle et moi je trouve pas quoi écrire, je pense au Gonzo Writing aux Hells Angels de Hunter S. Thompson aux voisins motards qui m'ont lancé une bouteille et vraiment montré leurs culs. La nuit je m'ennuie pas autant que dans la soirée. Je joue dans mon oreille j'entemd de la musique pop chinoise contemporaine. C'est ardue cette nuit. Réussir qu'est ce que ça veux dire? Retrouver son écriture dans le "Sélection du readers digest"? Whe could be a hero just for one day -David Bowie. Je vous conterai pas de menteries j'ai regardé le football toute la fin de semaine rien de bien édifiant... Y'a aussi cette jeunesse qui passe le temps au terminus d'autobus de Terrebonne, ça me rappelle mes soirées dans les kiosques du parc des Canards sur le boulevard des Braves, ça fait longtemps... Je dérivais déjà, le parc paraissait loin mais aux dimensions de Montréal étais tout près je sais pas pourquoi j'ai cette urgence d'écrire peut être pour compenser cette autre urgence celle de l'hôpital. J'y ai passé plusieure nuit quand je suis chez moi ce sont toute ces nuits des victoires sur le désespoir et la maladie. C'est ma façon de réussir. Ma schizophrénie je la soigne en me tenant loin des bars, de la bière et de la dope. Je prie aussi ça peux pas faire de tort après avoir vendu mon âme au diable je la donne à Dieu. Tiens y'a le mot stigmate qui me viens à l'esprit, on a beau dire que c'est pas écris dans notre front ça parait toujours. Je sais pas comment dire, la psychose laisse une névrose ou peut être le contraire un manque de névrose comme si la maladie nous avait donné l'esprit. Là aussi j'ai une bedaine qui parle d'elle même, une bedaine de malade médicamenté. Je peux pas la cacher. Y'a aussi tout ces milieux aliénant c'est un peu pour ça mon goulag, j'y passe inaperçu échoué parmis les échoués. C'est étrange moi qui aime lire les émissions littéraires ne m'intéressent plus, je dérive de livres en livres me laisse aller au hazard des auteurs inconnus. Tiens! Si vous avez des lectures a me suggérer n'hésitez pas. Pour revenir aux émissions littéraire j'ai l'impression qu'ils s'adressent à des adolescents, incapable d'une critique littéraire adulte, la littérature c'est sérieux faut pas confondre. Ce que vous lisez présentement on peux peut être qualifié ça de para-littérature mais je doute qu'on sache ce que c'est. La littérature c'est réservé aux initiés on nous préfère comme clients lecteurs que comme écrivains en devenir ça se résume à ceci "lis! pis farme ta yeule!". J'ai quand même l'amour des livres, j'espère qu'ils ne disparaitrons pas. À la radio une grande chanson "Osez Joséphine" d'Alain Bashung le regretté. "Plus rien ne s'oppose à la nuit". Ouais! Ce soir c'est farcis de chansons. Je vais essayer de me rétablir ceci participe de mon rétablissement. Je termine comme toujours en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Softly Berny

vendredi 14 septembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Encore une nuit torride dans le goulag, ça sonne comme le titre d'un film pornographique... J'ai ouvert la porte à la radio un groupe au nom prometteur les "fucked up"! Des punks à la sauce deux milles douze... Les cols bleu nettoient le quartier cette nuit. Je suis malheureux je reconnais pas mon bonheur. Des motos vont à toute vitesse comme si la catherine était une piste de course. Y'a un peu d'air frais qui entre dans le studio, je sais pas si je vous l'ai mentionné le climatiseur est "scrap"... Lentement je me réveille en buvant mon café. Je peux plus parler de ma douce j'en ai plus, la place est vide. Je me rappelle ce clou de voix ferrée transformé en ouvre-bouteille par un ami motard-machiniste. La lumière de l'écran me garde réveillé. Excellente musique sur Rédio-Kénada cette nuit. Je vous ferai pas de révélation choc Je couche pas avec personne d'important. Je continu a défier les muses et a écrire malgré tout. Je me rappelle des nuits du vendredi où je menais le yable dans les bars et les lounge d'hôtel. Je pense au Sommet le bien nommé motel à Terrebonne, j'y criais après les chanteuses qui essayait de donner un spectacle pour ensuite demander aux musiciens de jouer du blues. Mon lecteur designer à la retraite s'en souviens surement. Plus tard je marcherai du centre ville à Cartierville pour dormir dans le taudis ou j'habitais. J'ai rencontré un vétéran du viet-nam insomniaque, les nuits de Montréal ça l'énervais pas beaucoup. J'ai fermé la radio pour être plus zen, dites moi le ying et le yang c'est boudhiste? Je suis pas fort en philosophie orientale, je fait pas de taï-chi. L'autre fois au marché central j'ai vu une énorme épicerie Tau, la bouffe naturelle et macrobiotique c'est devenus très populaire mais je mange pas de tofu cette nuit. Les granolas rides again, je conseille pas les biscuits sodas et les langues dans le vinaigre à personne. Ça me fascine les toxicomanes qui vivent dans le goulag, se shootent à l'héroïne mais ont un régime d'aliments naturel spartiate. Ils veulent pas manger d'animaux mort mais se tuent lentement avec la dope, y'a des toxicomanes marxistes aussi, ça sonne drôle. Disont que je suis plus "Rebel yell" de Billy Idol c'est fou cette impression alcoolique de faire la révolution. J'aurai perdu mon temps, perdu tout ce temps... Bientôt les bars vont fermés, les aliénés vont sortir deux fois plutôt qu'une. J'entend la rumeur du goulag, le bruit de la ville qui ne dors jamais. Je cherche ce qu'il y a de neuf comme costume depuis les punks? Se teindre les cheveux en vert avec quelques piercing? Voilà une chanson "Je voudrais te dire que je t'attend" de Michel Jonaz, a écrire comme ça on va certainement me diagnostiquer bi-pôlaire, le problème c'est que je vois pas les pôles, je vais m'en tenir à la schizophrénie et à la co-morbidité. Je vous invite à l'institut Hyppolite La fontaine le dix octobre journée internationale de santé mentale, si vous voulez en savoir plus. Dehors ça sent l'huile et le compound de machine shop, des mauvais souvenirs, on a voulu me tuer mais je ne suis pas une victime. J'y étais parce que je voulais bien et l'argent comme valeur c'est pas fort. C'est pas fort ce que je viens de vous écrire là. J'arrête. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Merci! Nightly berny

jeudi 13 septembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Trois heure du matin, je pense à ma lectrice de Deux-Montagnes qui est elle aussi insomniaque. Mon bracelet bleu de sobriété va bientôt se briser. J'en profite pour saluer un fervent lecteur de Longueuil, qu'il fasse signe de vie. Hier j'ai regardé un documentaire sur les enfants du goulag, ça montrais comment ils sont hypotèqué, les poqués du Québec se ramassent tous dans le goulag ils ont l'instinct grégaire. Le docteur Julien a de la job pour une éternité. Moi aussi je suis un enfant du goulag. Je me suis battu des années pour pas arriver ici mais y'a rien eu a faire le goulag m'a avalé. Je vous dirai pas que c'est le silence dans ma tête ce serait mentir... Dehors les bars ferment c'est le last-call pendant ce temps là les gens honnêtes dorment... Les "vrais" journalistes dénigrent les blogueurs, ils veulent l'exclusivité de l'information. J'ai toujours la même douleur, le même vide au plexus solaire. Je pense au staff du bar où j'avais mes habitudes, ils ont fait de l'argent mais je crois que plusieurs sont maintenant malade, la belle Hélène entre autre que j'ai croisé maganée dans le goulag. Toxicomanie, VIH je sais pas elle étais sale mais gardais malgré tout de sa beauté. Vous allez me dire que je pense trop, peut être mais ma tête s'arrête jamais, c'est une des choses qui m'a le plus effrayée quand j'en ai pris conscience... Je vais à Québec dans un colloque de l'AQRP. Je m'excuse d'insister auprès de mes bailleurs de fond ça a lieu seulement fin octobre début novembre j'ai le temps de voir venir. Je vais m'asseoir sur mon steak. Tout est calme, c'est la journée de parution de l'hebdo culturel, il a perdus de son panache depuis que les grands rédacteurs, Barbe, Martineau, Saulnier, n'y sont plus, il a mal vieillis... Cette nuit la chaleur est revenue c'est collant... Je me creuse la tête pour vous trouver quelque chose d'original. Je crois que vous préférez quand c'est court. Y'a des années à cette heure ci j'étais souvent dans un after-hour à boire, c'étais pas une vie les choses ont changées. Je me relis et ça tourne beaucoup autour de la consommation, le monde de la nuit. Je veux pas de cette petite mort qu'est le sommeil, je dors peu mais bien. J'ai la conscience tranquille. Étrangement y'a une odeur de steak cuit dans la poêle. À Rédio-Kénada ils nous diffusent une émission européenne, vive la France!!! La nuit j'ai moins de difficulté a vivre ma solitude, je veille pendant que tout le monde dors. Les bus attendent dehors c'est le dernier trajet de la nuit. Je vais terminer ce texte et ensuite je vais retourner dormir. Une vieille chanson de Beau Dommage "Heureusement qu'il y a la nuit quand la raison est endormie, on sait jamais tu peux gagné, tu peux rêver au Parc Belmont, à un pic-nic près du Vermont, as't'heure j'ai jamais peur de m'endormir tout mes cauchemars passent à six heure à la télévision". Je veux pas faire du remplissage et je parlerai pas de politique... Je sais pas si j'ai des lectrices, lecteurs qui vivent la rentrée je crois que oui dans l'Outaouais. Moi je rentre nulle part le Goulag est pas instruit, on apprend en lisant les placards communistes sur les poteaux. Les communistes ont une permanence dans le goulag la maison Normand Béthune, mais je vous l'ai déjà écris. J'écoute de la musique j'ai un léger "spleen". Je vais crever et dire ce n'étais que ça, c'est sans importance... Je vous laisse là dessus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Nightly Berny

mardi 11 septembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je sais pas comment écrire sans parler de mon quotidien, y'a une lectrice qui veux pas que je là mentionne pour des raisons d'intimité, d'accord!! Aujourd'hui ça fait onze ans que les tours sont tombés tiens!!! Voilà que je tombe dans l'actualité. Je veux que cette blog écriture se tienne près de moi, près de moi dans le goulag. On déjêune de pain et de fromage dans le goulag. J'ai plus de lait pour le café. Je sais bien que la lecture que vous faites est coquine à la limite du voyeurisme. Cette semaine j'ai un examen de la vue si on est punis par où on a péché je devrais être aveugle. Je baille, dehors c'est frais. Je pense a m'acheter des menthes. Ce matin c'est difficile d'écrire. Mon climatiseur devrais être réparé bientôt. Pour une littérature de l'intime c'est pas fort. Mon malaise m'embête. J'ai mangé le hamburger steak dont je vous parlais dans un blog précédent. Bon! Je vais vous parler de quelque chose de plus tabou que l'inceste, l'hygiène buccale dont on parle seulement dans les publicités télévisé. C'est pas drôle de puer de la gueule mais à la télé y'a pas l'odeur et on brosse on brosse et on mâche et on mange des menthes. Je vous ai jamais parlé des grandes rasades de Scope que je prenais à l'époque je savais pas que c'étais de l'alcool. J'avais la bouche fraîche mais j'étais saoul. Ha oui!!! Je vous ai jamais parlé des fredonneux, ceux qui vous passent leurs angoisses en fredonnant n'importe quoi. C'est difficile a expliquer quand je les entend murmurer je trouve ça agressant, irritant... Y'a plein de chose sur lesquelles je vous ai pas écris, là je doute de mon "talent" d'écrivain. Il est sept heure trente cinq. J'essais de faire de mon mieux même si ça plait pas à Pierre, Jean, Jacques. Parfois je pense à prendre un agent mais je crois que c'est trop cher. J'ai pas les moyens, l'idée c'est de créer pas de payer.. Ce matin je vais au groupe d'entraide ça devrait être bien. C'est court aujourd'hui. J'arrête. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Shortly Berny

dimanche 9 septembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Semble que notre lecteur de Deux-Montagnes est tombé malade devant une Z-28 vintage, on lui souhaite du plaisir... Dans le goulag la nuit s'est rafraichie. Je m'ennuie tellement que je me couche tôt n'empêche mes nuits sont courtes. Je suis sortie un peu de ma tête, pense à l'écrivain qui n'osait pas dire qu'il était écrivain. Je sais pas si c'est la bonne attitude a adopter. J'entend siller quelque chose ça ressemble au bruit que faisait les anciens modem quand on se connectait. Je cherche a mettre des mots sur mon états d'âme. J'ai pas mal et la nuit c'est assez simple de faire la volonté de Dieu. Considérez ça comme une prière, lentement mes rêves se réalisent je sais que pour certains de mes lecteurs réalisez ses rêves c'est quétaines. Le goulag faut en sortir... J'essais de faire "rayonner" mon écriture dans votre lecture à vous là-bas... Y'a des cheveux dans ma tasse de café c'est pas grave c'est les miens. Ça fait trois jours que j'ai envie de manger un bon hamburger steak des familles Hé oui! Je suis carnivore. Je devrais peut être me rendre au restaurant Chez Claudette sur la rue Laurier c'est ouvert vingt quatre heure et tout près d'un poste de police. Je sais pas pourquoi j'écris ça on s'en fout que ce soit près d'un poste de police. Vous l'avez deviné y'a pas de restaurant dans le goulag à part les McDonald. Le thermomètre est tombé à vingt sept chez moi c'est vivable. Je sais pas si je vous l'ai déjà raconté dans une de mes nombreuses hospitalisations on prenait ma tempèrature avec un thermomètre au mercure, moi je croyait que c'était un thermomètre rectal qu'on me placait dans la bouche je l'ai vite enlevé faut être fou!!! Je pense à une petite table au fond du restaurant pour regarder les oiseaux de nuit éméchés, les solitaires avinés tout ceux que la nuit a déçu et qui s'en vont se coucher seul dans leurs quartier. Ces choses là ça se passe sur le plateau, le goulag est pas renommé pour son night life on laisse ça à d'autre... Le robinet de la cuisine fuit c'est pas très écologique. Je l'ai signalé à la concierge. Je pense à ceux qui vivent avec l'obsession alcoolique couché sur le trottoir ce soir, les vêtements humides et sans connaissances de ce qui se passe autour d'eux, ils savent ou ils sont ils ont pas réussis a taire la voix et n'ont plus de chez soi. Voilà pourquoi je dis merci, je suis chez moi je vous écris et je m'évite de gros ennuis en vivant cet autre genre de folie. Je baille c'est le petit matin on est entre chien et loup. J'ai fermé la valve du robinet. Je me rappelle mes fautes d'il y a vingt cinq ans, si jamais vous me lisez et que je vous ai fait du tort je m'en excuse et vous êtes pas obligés de m'excuser, aujourd'hui j'essais de me corriger. Ça aussi c'est une obsession, le passé est dépassé ne reste que maintenant, la nuit exilé dans le goulag centre-sud heureusement mes vêtements ne sentent plus la boucane, dans les bars les buveurs ne fument plus une substance en remplace une autre et on va dehors tiré une puff. Je crois qu'il y en a beaucoup qui boivent chez eux parce qu'ils peuvent griller des cigarettes. Bon! J'ai ouvert la radio, sur Rédio-Kénada, les nouvelles, les informations... Je pense aux "amis" du bistro, à toute ma bêtise, à comment j'étais infréquentable je ne savait pas partir. C'est finis. La nuit je m'ennuie et je vous laisse. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Promply Berny

jeudi 6 septembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui je sue encore dans le goulag. Le climatiseur fournis pas. Je viens de laver le plancher, je devrais écrire un traité intitulé de la poétique et des arts ménagers. Cet après midi j'ai pas mal et il semble que nous sommes très nombreux a écrire nos étâts d'âme sur la toile. Une femme passe sur le trottoir d'un pas militaire. Je regarde les nuages essais de pas trop les pelleter. Mes mains puaient je les ai lavé avec du Ivory. Mon lecteur de P-A-T va me trouver plus insignifiant que jamais. J'écris avec le désir de changer le monde, c'est puéril mais j'espère toujours. Vous me verrez pas employer le mot espoir souvent, je pense aux philosophes à Descartes. Je l'ai lu mais j'ai rien compris, être cartésien ça veux dire quoi? Je crois pas que je le suis. Je crois que je suis baroque et je tourne en rond reviens sur des thèmes fétiches Je me fait un café, treize heure trente sept, le football ce soir, je peux être le père des joueurs, ça me rappelle les jeux de ma jeunesse, les coups de poings sur la gueule aussi. J'aimais aussi faire de longues randonnées à vélo une entre autre avec Pierre le frère de mon lecteur designer. C'étais que du plaisir. J'écris un peu pour montrer aux gens que j'ai changé que je suis pas mort et que si j'ai fait du mal maintenant j'essais de m'améliorer. C'est pas facile de changer mais j'essais. Comme souvent je crois qu'il faut se changer soi avant de changer le monde. Le pardon c'est toujours d'actualité bien que parfois on en parle bien légèrement Je vous donnerai pas un cour de morale vous êtes assez grand pour comprendre. Je crois que j'ai des lecteurs qui s'en vont en Turquie, des friands d'aventures j'espère que leurs voyages ne seras pas comme celui du Midnight Express. Je crois que ce sont de bons voyageurs contrairement à moi pour qui tout doit être organisé. Dans le goulag on m'organise j'ai tout à portée de la main mais parfois au supermarché du goulag ils ont de ces airs bêtes au comptoir contrairement à la librairie ou la caissière est avenante. Ça me tue quand j'essais d'être poli et que j'ai même pas droit à un petit merci comme client. Y'en a certainement qui me lisent et qui pensent "ferme ta gueule!". Ce que j'écris c'est pas très grave et je crois que bientôt je vais faire mes courses dans la petite Italie à l'épicerie ils ont de délicieux biscuits. Avec le temps je deviens moins méchant, j'ai moins envie d'étaler mes tripes sur la table et oui! J'ai un petit jardin secret. Je crois pas que vous avez besoin de savoir certaines choses. Je reviens sur la morale, maudite morale! On peux jamais passés à côté, en faire abstraction, faut être confortable dans ce qu'on fait avec soi et avec les autres. Sur ce je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Thinkly Berny

mardi 4 septembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Contrairement à mon habitude je vais écrire sur les actualités. Aujourd'hui c'est jour d'élections. Je me demande combien vont voter selon leurs convictions, tiens! Moi je vous le dis je vote Québec Solidaire, oui je suis de gauche si être de gauche c'est garder et améliorer notre système de santé, faire payer les compagnies minières leurs justes part d'impôts, être pour l'éducation gratuite. Je vous ferai pas la liste des engagements de Québec Solidaire mais ça me touche. Je sais que plusieurs d'entre vous sont péquistes et même péquistes de gauche mais je crois pas qu'avec l'élection d'un vieux partis les choses vont changer, oublions la CAQ cette nouvelles couleuvres conservatrices. Je crois vous l'avoir déjà écris, j'ai de la difficulté avec les chefs de partis, je les trouves loin des gens et j'aime pas me faire mener... Je vote pas nécessairement pour gagner mais pour exprimer mon désaccord avec le gouvernement en place... Pauline va nous faire les rons rons du référendum mais après? Je le répète je veux pas me faire mener par eux. Je suis de tendance anarchiste et j'aimerais bien voir plus de collectifs dans toutes les sphères de la société. Comment vous dire que j'ai des valeurs de partage et d'honnêteté. Je crois pas au travail à tout prix dans des milieux qui ne me conviennent pas autrement dis je suis pas pour le gagner ma vie à la sueur de mon front, le travail c'est fait pour s'épanouïr pas pour s'aliéner... Je vous parlerai pas des enfants j'en ai pas mais mon désir le plus profond est qu'ils apprennent et vivent en français loin du fameux bilinguïsme à la Trudeau des libéraux. Non je trouve pas que c'est être xénophobe à Rome ont fait comme les Romains. Je sais bien que mon blog ce matin c'est le café du commerce et encore pire les brèves de comptoir, on a tous nos opinions on les exprimes un peu partout comme des petits chefs mais elle est ou l'humilité, comment dire je sais pas? Souvent j'ai l'impression que les gens font de la politique pour s'arracher le magot de nos impôts. Vous allez dire Saulnier on en a rien a foutre de tes opinions mais pensez à moi dans mon goulag, dans mon tout à l'égout, les vert sont loin des bandes de bitumes qui m'entourent... Je sais pas combien vont se lever mais je vais suivre le slogan de Québec Solidaire et me mettre debout plutôt que de sucer les libéraux pour quelques cennes... J'ai hate de voir si ces élections vont passés à l'histoire, si les étudiants vont peser fort dans la balance, moi je commence à faire vieux monsieur qui n'a plus rien a perdre mon avenir est derrière moi, enfin!!! C'est pas une grande analyse que je vous offre ce matin mais mon désir c'est celui ci qu'il y ais plus d'égalité entre les gens, que les opportunités soient les même pour tout le monde, qu'on ne juge pas avant d'avoir mis les souliers et marché dans ceux du voisins... Quand vous irez voter aujourd'hui pensés à moi dans vos réflexions, vos luttes, pensés au fou du goulag et voter avec vos convictions ce seras pour le mieux. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Lefty Berny