jeudi 5 juillet 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Nuit de cauchemars, insolations, coup de soleil c'est émouvant. Émission sur l'agriculture autochtone du bas du fleuve, mais non! C'est pas les amérindiens ce sont les producteurs agricoles. Je penses aux signaleurs qu'on va voir sur les routes cet été. Soyez prudents et attentifs aussi. On démarre pour une petite chronique pépère cette nuit. À là radio ils font l'éloge du grano pendant que moi je suis pris dans l'asphalte. Je parlais à ma douce de cette façon d'être quasi religieuse écologique végétarienne, faut surtout pas manger de viande et se soigner avec des herbes du terroir, moi je veux bien me soigner aux herbes mais si c'étais efficace ont le saurait, dans le temps on faisait des saignées pour soigner tout les maux devrait on y revenir? Je suis bien content qu'ils aient découvert les molécules calmantes et anti-psychotique ça m'évite la boucherie du moyen âge. Je sais pas ce qu'elle a la nourriture industrielle, trop de gluten? On passe beaucoup plus de temps a lire les étiquettes et on se promène dans les allées bio du supermarché. Hier on a mangé chez Rumi express entre Marianne et Mont-Royal sur St-Laurent, c'étais bien pas de la grande cuisine mais c'est entre le slow food et le fast food et justement les végétariens sont bien servis. Cinq heure du matin y'a une campagne électorale aux States on souhaite la victoire d'Obama, l'hymne national je suis au garde à vous en bobette la main sur le coeur... Ouais! Je suis sortis du goulag hier, j'ai passé la frontière y'avait pas de contrôle les échanges commerciaux et culturel sont permis avec les quartiers limitrophes, faut bien sortir parfois, on trouve rien dans le goulag des dépanneurs de la bière et des chips c'est le royaume du B.S. soudain il fait jour, y'a pas de vent... Je me gratte le dos au couteau, tiens je pense à cette idée nazi d'un dôme sur la ville on pourrais rapetisser ça et faire un dôme sur le goulag, l'hiver ça attirerais le touriste on chaufferais ça aux piles solaire pour faire plaisir à nos écolos et peut être aussi à l'huile de canola. Ouais! Pour être écologique comme je vois ça faut laisser le moins de traces possibles et je parle pas de vos bobettes. Ça fait deux fois dans ce blog que je parle de bobettes, c'est qu'il fait chaud et votre humble serviteur shabille pas trop. Tiens! La vie c'est un long voyage mais moi j'ai l'impression d'avoir râté le train. Je termine là dessus et vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Bobby Berny

lundi 2 juillet 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! C'est congé et moi j'écris, ce week-end je suis allé au Mont-Tremblant avec ma douce. C'est tout près de Saint-Donat cette route là j'y suis passé souvent. En revenant on est arrêté manger une poutine et un burger chez l'ultra-moderne Marco, on nous donne un vibrateur pour indiquer que notre commande est prête. Je sais c'est superficiel tout ça mais je sais pas comment vous décrire mon état d'âme. Hier soir j'étais au prise avec la peur mais c'est juste pour aujourd'hui ça sert à rien de faire des scénarios. Je crois que dans mon enfance j'ai déjà campé au camping Kelly qui est sur la route cent vingt cinq. Juillet c'est les vacances pour plusieur Ce matin je me suis levé tard, j'ai fait le lit... Je pense au monsieur qui m'a tenu la porte en disant je vais être poli avec toi, à l'accueil du parc. Une chanson de vacance, "les pieds dans le sable blanc elle marchait sur la plage" chanté par Ginette Reno, vous allez me dire que c'est quétaine mais on vire pas skinhead à mon âge. Le téléphone sonne je laisse sonner, je ne suis pas là. J'ai pas envie de parler. Dehors lentement ça s'ennuage sur le goulag. Je veux pas dire l'indicible y'a longtemps que j'ai plus de jardin secret et ça me fait mal, vous lisez une âme en peine. Je pense aux camelots du journal l'itinéraire qui s'acharnent à la tache par vents et marées. J'ai pas ce courage là. Hier premier juillet c'étais l'anniversaire de notre lecteur designer retraité de l'Outaouais, on sait qu'il est en voyage qu'il en profite, y'a longtemps que j'ai pas communiquer avec lui ça me manque. La semaine passé la reine a serré la main d'un représentant de L'IRA je sais pas quand elle va serré la main d'un représentant du FLQ, faudrait peut être demander à Richard Cross qui ne pardonneras jamais comme le vieux croûton qu'il est. Bon! Je suis pas diplomate, je représente seulement le goulag du centre-sud à Montréal. Le goulag de ma folie émotive, le goulag de ma psychose, de ma névrose... Ma folie des ruelles du centre-sud, le souvenir du Parc DeLorimier de Jackie Robinson, j'étais pas au monde mais je m'en souviens pareil!! On dirais que le bonheur pour moi c'est toujours remis à plus tard, y'a toujours quelque chose qui cloche. Un de mes lecteurs faisait le commentaire suivant, il préfère les losers au moins ils sont drôle. Je veux bien être un loser mais c'est quoi un winner? Un gars avec une maison, une job, une femme, des enfants moi je vois pas ça comme un winner, j'ai oublié la voiture. Expliquez moi tout de suite c'est quoi un winner je veux en être un mais je sais bien que c'est pas pour moi. Je suis un drifter je dérive sur les marées de la vie. Pour terminer je vous permet de rire de moi même si parfois je crois que faire de mon mieux c'est pas assez pour vous. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Sorry Berny

jeudi 28 juin 2012

Here is something for you and me

Rebonjour! Rebonsoir! Je me sent comme un vrai tas de merde, tout ce que je fait ça vaux rien, les autres, l'enfer c'est les autres écrivait Jean-Paul, sont toujours mieux que moi et j'essais d'enlever la jalousie. Un scrappeur, un éboueur, un égoutier sont tous mieux que moi. Comment écrire que je suis découragé votre humble serviteur, humble et plus tout jeune est fatigué. Je vous ferai pas de chantage ce soir demain c'est une autre journée avec ses défis et ses difficultées. J'ai envie d'écrire que vous faites partis des difficultées mais ma vrai difficultées c'est mon caractère de cochon. J'ai de ces états parfois j'ai oublié que tout à l'heure j'ai pris une tasse de café, du café à vingt et une heure trente ça m'excite la neurone, ça me stimule négativement. Ça vous montre quel genre d'oiseaux je suis, une sorte de vautour qui se nourris de charogne nocturne. Faut lire le une charogne de Baudelaire c'est d'une beauté, une, j'allais écrire illumination mais puisque c'est une charogne.. Voilà ils ont tous joué dans la merde de par leurs métiers de par leurs visions. Quand je joue avec mon corps est-ce que je joue dans la merde avec? Pas beaucoup d'estime et vous avez raison. J'ai pas appris, j'ai toujours cru avec raison que j'étais un moins que rien. Je vais voler les vers de la chanson "j'ai mal à l'amour" oui j'ai mal à mes hauts mal à mes bas, pas à mes chaussettes. Je me veux poètes, poète prosaïque faute de vers inédits. Ma pauvre personne dans son univers de paumé a toujours de la difficulté avec les phonys. Je suis pas plus vrai que vous, c'est pas de l'humilité c'est de l'humiliation, toujours forcer à s'humilier pour que le fameux autre se sente mieux se sente bien. Je me réduis et essayez de réduire rien vous m'en donnerez des nouvelles et après et même pendant cette réduction c'est la mort. Partez pas en peur c'est de la littérature et ces pas mon dernier mot. C'est le premier de tout ces maux qui m'emportent, m'emportent avant d'accueillir morphée et de l'étreindre pour tout oublier dans les rêves extatiques, oui! Oui! Oui! L'extase du sommeil, pas celui du juste, j'ai pas cette prétention. Mais le sommeil de l'épuisement. Bonne nuit!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Painfully Berny

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Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui j'ai fait le veau devant la télé, Euro 2012, Allemagne contre Italie et j'ai pensé au quartier Petite Italie de Montréal, il y avait une foule en liesse. Au Québec je crois qu'il y a plus d'amateurs de pêches que de football, soccer s'entend. J'ai remarqué une chose j'ai toujours plus de lecteurs lectrices quand j'utilise des gros mots accolés à des célébrités, la controverse toujours la controverse mais mon nom c'est pas Jeff Filion. Je crois que cette semaine je vais avoir une nouvelle lectrice enseignante de profession. Je lui souhaite la bienvenue. Je suis dans un drôle d'état, j'essais de mettre en forme un long texte, c'est pas facile et j'ai peur de déplaire... Dans le parc en face c'est le Goulag 2012 avec autant de nationalités que l'Euro. Je sais bien que vous avez autre chose a faire que me lire, c'est rien mon blog dans ce monde hyper-médiatisé. Les bloggeurs, ceux dont on entend parler c'est toujours des malades ou des délinquants. Je reviens souvent aux moines et à la calligraphie, ce sont les écrivains fondateurs qui tenaient les annales. Cette semaine je me suis mis a pensés aux annales de Sainte-Anne on recevait ça à la maison paternelle avec le sélection du reader's digest ça faisait son lot de textes édifiants. Y'a aussi les publicités télévisées sur Notre-Dame-du-Cap un beau lieu de pélérinage ou je suis allé dans mon enfance. Je mélangeais ça avec Sainte-Anne-de-Beaupré près de Québec, je pense aux béquilles, aux chaises roulantes et à toutes les prothèses des miraculés mais j'ai jamais entendus dire que des dents avaient repoussés. Mon intention c'est pas d'écrire comme un moine mais d'essayer de garder ma langue maternelle vivante et attrayante, malheureusement je suis pas un humoriste et comme je l'écris souvent j'ai pas le sens de l'humour du moins pas celui de Rozon et de l'école... Lentement le soleil se couche, j'ai entendus dire qu'à l'époque des colonies anglaises le soleil ne se couchait jamais sur le commonwealth, mais il se couche bel et bien sur le goulag de Montréal. Je me suis fait un café il est un peu tard, je sais pas si dans un blog il faut rester intemporel me semble que ça déshumanise que c'est moins vrai. Cette "littérature" là en est à ses débuts et je pense toujours aux innombrables analphabètes du Québec. Je pense à vous tous qui êtes si patients avec moi et qui choissisez de me lire. Je suis pas un prix Nobel de littérature parfois je suis, je sais pas comment on dis, odieux? Niaiseux? Je sais que les gens sérieux sont à l'hôpital ce soir à prendre soin des malades d'autre a sauver des vies, moi je vous propose ces petites choses un peu pour faire réfléchir et sortir de mon égocentrisme maladif. Je termine en vous disant, c'est un peu moraliste, de prendre soin de vos proches dans ce si bel été. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Quietly Berny

mardi 26 juin 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Pas de répit, je vous écris de ma nuit en pensant à tous les marmots en vacances, à ceux qui sont en camp de jour et qui s'amusent. Moi je me souviens je jouais au baseball et je me rappelle que notre lecteur de Deux-Montagnes plus aristocrate jouais au tennis. C'est vraiment l'été et je suis accroché à cette machine. Je suis dans le silence au métro Frontenac ils ont installé un moulin à prières moderne, des rouleaux avec des photos de Montréal reste qu'a les faire tourner. Vous pouvez vous rendre sur Facebook ou sur Reverbnation pour écouter ma dernière toune déjantée. Le goulag l'été c'est pas mal mais dans ma grande peur des espions de sa majesté j'ose pas sortir. Je disais à ma conseillère de Mascouche, une sage dame, je disait donc que je n'aimais pas les rassemblements, les foules. Une foule c'est pas très intelligent et ça prend pas grand chose pour se faire piétiner à mort. Je sais pas si vous suivez l'Euro 2012 mais là on a droit à du jeux de grand calibre mes favoris sont l'Espagne et le Portugal avec une grande admiration pour Ronaldo. Bon! On y va dans l'ordre de l'intime y'a rien de pire pour dormir que de vieux draps contour qui tiennent pas le matelas et qui sentent le vieux pogo. Mon blog est pas très interactif je vous garde captif, je sais pas pourquoi j'écris ça, c'est pas fort cette nuit du fond de mon ennuis. J'ai finalement trouvé comment faire le u accent grave voilà ù, mais c'est où? Je sais pas. J'entend les trains, les trains du matin dans la gare de triage tout près. J'ai parfois envie d'en jumper un mais j'ai peur de rater et d'y perdre les jambes. Je suis pas un hobo à la Woody Guthrie. Dehors des voix, c'est l'heure où on ne peux plus se réfugier dans les bars licites faut chercher les illicites tant qu'on a quelques dollars ça va. C'est étonnant comment ce courraillage dans les blind pigs vous donne l'impression d'être plus vivant pourtant la mort est là tout près dans les abus de substances trouvées dans la rue... Ça fait longtemps que vous avez mangé deux ordres toast au restaurant, on dirais que ça existe plus on en a que pour le petit déjeûner californien. Bon! J'ai mis les actualités c'est le bordel en Europe. Soudain j'ai l'auriculaire engourdie, à Rédio-Kénada on fait des économies on rediffuse les émissions. Y'a longtemps un gars me traitait de Led Zeppelin en référence au groupe rock, disont que j'avais une attitude rock intenable avec le temps je suis devenus plus smooth. J'ai une saveur de hot-dogs dans la bouche, à la radio ils parlent de la merde de castor dans l'eau. Soudain j'ai un parfum d'after shave viril ça sent pas la poupoune. C'est l'été enfin j'espère que tout le monde joue dehors. Je termine. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Summy Berny

dimanche 24 juin 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Bonne Saint-Jean-Baptiste!!! Je sais que vous célébrez tous ça d'une façon différente, camping, pêche, B.B.Q., spectacles, terrasses y'en a pour tout les goûts. Moi je me suis tranquilisé, les grands rassemblement je passe mon tour, ce matin au dépanneur on m'a souhaité une bonne Saint-Jean le gars avait plus de lait il s'en servait pour faire fonctionner sa crêmerie... La Saint-Jean-Baptiste pour moi maintenant c'est un peu une fête de beauf, un beauf qui fête une nation qui ne veux pas advenir... Soudain je réalise que je n'ai plus de café. Je sais pas si l'épicier est ouvert aujourd'hui, je crois pas. S't'ostie de Québec qui me fait brailler à tout les étés ce pseudo pays que je partage avec les ivrognes nationalistes. J'en rêve plus du pays je sais très bien que l'humain québéquois ne s'amélioreras pas même avec l'indépendance. Les nationalistes abrutis y'en a aussi, à la radio un vieux folklore, le curé de Terrebonne que mon père chantait avec sa chorale. Jean Baptiste a perdus la tête, un pays qui perd la tête ne deviens pas nécessairement indépendant çe serait plutôt comme une poule qui gigote et saigne trépidante. Cette année c'est beau temps pour la Saint-Jean. Je vous raconterai pas mes saouleries, la Saint-Jean ça servait aussi à ça. J'étais toujours seul jamais d'amie, jamais de compagne et j'avais mal à ma solitude dans la foule du petit frisé. Comme des moutons, des agneaux ils vont regarder la parade en agitant le fleur-de-lysée moi je préfère le drapeau noir, la vraie anarchie pas celle de nos petits casseurs occasionnel. Je pense à ma douce qui veux sortir mais je suis casanier, c'est une journée de réjouïssances pourtant... Faut pas oublier les fumeux de pot qui se croient tout permis à la Saint-Jean!! On dis les feux de la Saint-Jean il est pas question de mettre le feu. C'est ardus aujourd'hui mon blog... Y'en a qui prennent de l'avance pour leur déménagement, la vraie date c'est le premier juillet et tout ce qui a rapport coute beaucoup plus cher. On garde ça pour la semaine prochaine. Des shows gratis ça reste toujours du pain et des jeux ça marchait fort sous César l'empereur. On va voir beaucoup de mon'oncle en bedaine et de ma'tante permanentée. De la bière pis des hairdo... Étrangement je pense à Bob Dylan "it's a hard rain gonna fall". Je veux vous donnez a lire aujourd'hui. Je pense à une Sain-Jean ou j'étais étendue dans la boue j'entendais plus l'orchestre trop saoul dans le terrain de balle transformé en parterre de salle de spectacle. À Rédio-Kénada ils font jouer les parapluies de Cherbourg par Louise Forestier. Je crois qu'elle est porte parole pour la fête cette année. Moi j'aime beaucoup quand elle chante Montréal avec l'accent montréalais. Pouquoi chanter, une chanson de Luc Granger, une grande chanson, je viens d'avoir des problèmes avec mon clavier canadien français... j'avais retrouvé le u accent grave maintenant je l'ai plus. Je sent que je m'en viens plate. Je vous laisse à votre Saint-Jean, merci d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine j'espère!!! Wooly Berny

mardi 19 juin 2012

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Bonsoir! Bonjour! Je viens d'écouter Francoeur aux Franc-Tireurs, je suis pas d'accord avec lui mais on est pas tous abrutis parce qu'on a un PC. Je les ai lu les poèmes de Francoeur, de Vanier aussi de Jean Basile, de Miron, de Godin. Je peux pas vous les réciter par coeur sauf ceux de Lucien, qu'il me pardonne d'utiliser son prénom. Je pense à Alain Grandbois à Saint-Denys Garneau à Rolland Giguère et a combien d'autre poètes qui m'ont ému. Moi je parle souvent comme un proctologue j'ai un problème avec le trou de cul. Je suis pas aussi fin que Paul-Marie Lapointe. La machine elle me sert à ça écrire et ça me sert à rien de dire que les singes sont capables de faire ce que je fait j'ai pas encore vu un singe écrire. Y'a quelques années j'écoutais les courageux animateurs de poètes vos papiers à Radio Centre-Ville j'aimais ça. La contre-culture Lucien elle est sur la machine ce soir, tu l'a dis en entrevue ça l'air fou un bonhomme de soixante cinq ans en Harley-Davidson. Y'a plus de contre culture motorisée elle est informatisée et on peux parfois si on est chanceux voir une réinvention du langage. Je pense à Claude Gauvreau... Je sais Je sais les grands poètes sont dans les livres pas sur l'écran. Je parlais avec ma douce de l'évènement Nous que j'ai regardé en partie y'avait de la poésie là dedans madame. Je m'essais parfois a écrire de la poésie c'est long et qu'est-ce qu'on peux écrire après Baudelaire Verlaine et Rimbaud. Ça fait de bien pâles poèmes que les miens, ils sont longs a venir quand même Lucien j'ai apprécié que tu nous mette aux parfums des salaires d'un band à Sept-Îles pour un soir, cinquante piastres ça paye même pas le motel on dors dans le truck. Je t'ai vu en show Lucien y'a longtemps avec Aut'Chose à la place des étoiles à la ronde. Y'a pas un de mes chums qui étais venus avec moi c'étais dans les années soixante dix et là je pense aux Jade et cristaux d'un poète mineur Sylvain Campeau que j'ai vu frencher son copain il y a longtemps sur une terrasse de la rue Saint-Denys. Josée Yvon disait qu'il fallait tout écrire et là je pense à José Acquelin à Sonia Coppens enfin le malade votre humble serviteur lis de la poésie en attendant de faire des vers. Je vole les vers de Francoeur pour terminer "le crâne qui gèle la tête qui craque c'est moé le freak de Montréal. J'ai mis des ailes à mes bretelles un stéréo dans mon cerveau j'ai l'univers dans ma cuillère" Merci Lucien! Et a vous tous merci d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine j'espère.


Poetry Berny