vendredi 25 mai 2012
Here is something for you and me
Bonjour! Bonsoir! Printemps érable sur bruit de fond de climatiseur. Je vais pas encore écrire sur les manifs... Cette nuit j'entend des voitures klaxonner devant chez noi, j'ai le drame d'Aylmer, tout près de chez mes aimables lecteurs, dans la tête.... C'est calme, j'ai pas de réaction à mon blog. J'écoute Rédio-Kénada des extraits d'émissions de la semaine. J'ai regardé le film Network qui reste toujours d'actualités sur les gourous télévisuel, un vieux film sans cellulaires, sans internet rien pour contrebalancer ce pouvoir de la télévision. Je participe à ce nouveau réseau... Le prince est repartis chez lui, bye Charlie!!! C'est vendredi, lâchez pas la fin de semaine arrive. J'essais de faire de la proésie... Je lis l"histoire du surréalisme, mais oui il faut tout détruire, tout laisser derrière et repartir sur une table rase... Pourtant j'ai pas la tête vierge pour rendre hommage à Duchamp je dirais que j'ai la tête dans l'urinoir, on est plus à l'époque des ready-made, tout est désigné mon désigner à la retraite dans l'Outaouais pourrait nous en parler... Je cherche un mouvement artistique à lequel me rattacher, y'en a pas je vais en fonder un, les beaufs gros gras, ça fait pas très sérieux. Il est pas question que je prenne la pose, je suis pas modèle nu aux beaux-arts... Voilà Ikea s'agrandis à Montréal y'a pas un foyer sans un meuble Ikea. J'essais d'oublier les manifestations espère qu'ils vont tous avoir des sorties de crise honorables. J'ai pris mon petit déjeûner... Pense à la compagnie Jean Duceppe et à l'incontournable Nelligan, à toutes les pièces de théâtres qui ont pour fond la maladie mentale. Ma pièce je ne la joue pas je la vie... C'est pas très inspiré, j'essais de croire à un monde meilleur, semble que les super-héros DC et Marvel tournent à l'homosexualité on veux faire plaisir au lectorat? Je m'avance pas trop là dessus on va me traiter d'homophobe. C'est toujours la nuit, le climatiseur ronronne... Un communicateur m'expliquait une façon simple de passés un message, trop simple, digne d'un charlatan. Je sais pas si le médium est toujours le message comme disait McLuhan, on est inondés d'informations, sait plus ou donner de la tête... Je vais peut être vous poster les composantes de mon PC par Purolator, le médium seras vraiment le message, une sorte de consécration de l'in-communicado. Une grève des mots, y'en a trop... Discours de fou... Les fous on préfère qu'ils gravent les murs de la prison et à la limite fassent de gentils dessins, pas question pour eux d'écrire de prendre position dans la folie furieuse. J'en reviens toujours au ketchup, à la saignée du "bon" vieux temps qui soignait tout. Les fous furieux créateurs on les préfère morts ils dérangent moins, la littérature ça reste quand même pépère, y'a pas un livre qui m'a foutu une claque sur la gueule. Je me rappelle ces dessins porno dans les toilettes de l'usine, des oeuvres!!! Fallait quand même prendre le temps, les gogues comme seul refuge de la folie industrielle et on reviens à l'urinoir de Duchamp. Ce seras tout. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Nightly Berny
mardi 22 mai 2012
Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Dificile d'écrire sur autre chose que les manifestations. Y'a quelque "génies" qui souhaitent la présence de l'armée comme dans les républiques de bananes... Moi je manifeste pas de peur de chier dans mes culottes dans la foule. J'ai croisé des manifestants au métro Papineau, ils avaient pas besoin de moi. Les sans-classes, les sans grades comme moi on manifeste pas, baby-boomer raté je reste à la maison comme un mon'oncle impuissant dirais le syndicaliste. Si je garde ma façon de pensée je suis du bord des manifestants en sachant très bien que la principale chose qu'il faut changer c'est soi, ni un bord ni l'autre ne comprennent ça. Les anonymous de la toile, ce groupe d'activistes me font pensés à big brother, on sait pas d'ou ça viens et ils sont partout à prêcher la révolution... "well you know we all want to change the world" -John Lennon. J'ai peur de sortir vous ais je dis qu'on m'a donné une contravention pour avoir traversé au feu rouge. Cette nuit je me répète je crois, le seul nouveau qu'il y a chez moi j'ai installé le climatiseur. C'est pas très populaire mais je regarde les séries finales de la coupe Stanley... Parfois j'ai l'impression d'être prisonnier de Paul et Jean-François des lecteurs assidus, c'est le côté affectif de la patente. J'aime bien quand il y a des réactions et de toi aussi Denise. On a mis sur face le traité du suïcide, je l'ai pas downloadé au cas ou mes idées mortifères prendrais le dessus. Je pense à l'utopie au martyr Saint-Thomas-More guillotinée, c'est le saint patron des politiciens, un exemple? Comme ils disent en anglais pour revenir aux manifestations "they give anarchy a bad name" mais tout de même on est pas en Espagne sous Franco. Y'en a pour qui la solution, c'est une grossièreté et c'est un euphémisme, comme la rafle du Vel D'hiv, comme quoi l'ignorance et l'intransigeance ça fait des ravages... Je pense à la révolution française à Danton et aux misérables de cette révolution. Les sans voix ne se manifestent pas occupés qu'ils sont à survivre entre deux boîtes de Kraft dinner et pour les plus chanceux du saucisson de Bologne." La maudite machine qui m'a avalée à marche en câline faudrait la casser"- Pierre Flynn. Les manifestants c'est du sable dans l'engrenage politique, ils vont cassé quelques dents et après les gens vont retourner dormir. Veillons, veillons faisont nous un semblant de grand soir... Moi qui ai peur je suis de tout coeur avec eux. Je vous écrirai pas un credo révolutionnaire, à la télé on a eu droit à cette saudite monarchie représentée par le prince Charles, la duchesse de Cournouailles et leurs armées, de quoi faire peur aux belligérants, après tout les soldats ils apprennent a tuer des êtres humains. Je reviens à l'armée on se souhaiteras pas le pire. Je termine ici. Le poing bien haut "Power to the people". Merci d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine j'espère.
Sadly Berny
lundi 21 mai 2012
Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! À Montréal les manifestations virent à l'émeute, c'est le printemps chaud. Je crois que le gouvernement devrais aller en élection. Je trouve étrange que des gens qui injuriaient Charest soit maintenant d'accord avec sa loi répressive. Deux poids deux mesures comme on dis. Il est trois heure quarante quatre le goulag est tranquille, je sais que certains vont dire que je suis à droite parce que j'utilise la machine et ne tente pas de la détruire. L'asphalte se réchauffe dans le goulag, j'ai pas envie de marcher ce matin, le quartier latin est trop près, j'ai pas envie d'être confondus à un manifestant pourtant je les appuie. J'ai que les manifestations en tête quand ça va mal les gens ont besoin d'un exutoire, le gouvernement les méprise tant... Je suis certain que les manifestants c'est des gagnes petit, des gens qui ont peux et qui voient les privilégiés "pour le fils du patron c'est les vacances, pour la serveuse c'est les sueurs pis les clients"-Paul Piché. Ces manifestations ça angoisse mes voisins atteint d'une maladie mentale, ils sont d'accord mais sentent la pression, ils veulent cette paix qui leur permet de généré encore plus d'anxiété inconsciemment. On peux pas vraiment parler de soulèvement populaire, de grand soir cette fin de semaine tout ce que les gens veulent c'est partir en camping ou ouvrir le chalet comme Gérard D. " C'est la lutte finale, l'internationale sera le genre humain" Bein non! Mon'onk manifeste pas, révolutionnaire de salon j'attend la grève générale comme chez nos amis français... Aujourd'hui c'est l'anniversaire de naissance d'une personne très près de plusieurs lecteurs. Je lui souhaite joyeux anniversaire par lecteurs interposés. Évidemment je vais lui téléphoner. C'est la fête de la reine, ou celle de Dollard ou des patriotes, ça jetterais dans la schizophrénie n'importe qui, on peux pas être patriote et prêté allégeance à la reine.... Ouais! Je regarde la révolution québéquoise à la télé c'est pas fort... Sur un autre ton j'ai regardé le premier épisode de True Blood une série qu'un lecteur de Deux-Montagnes m'a conseillé, c'est bon!!! Je crois que je vais les regarder en rafales... C'est toujours la nuit, fait chaud on se croirais dans le bayou pas dans le goulag. Hier je suis allé au métro DuParc c'est impressionnant le parc et la façon de mettre en valeur l'ancienne gare, ça fait un peu architecture soviétique, un monument à la gloire du Canadien National ou Pacifique je sais plus... Pendant ce temps là la banquise fond, le pergélisol aussi, on a commencé a jardiner dans le goulag, je suis bien au sud dans le goulag, avez vous remarqué l'obsession des québéquois pour les tomates fraîches, dans le goulag la faveur va surtout à la patate, les féculents ça coûte pas cher et c'est disponible en toute saison. La tomate d'aujourd'hui elle viens des serres, parfois on dis qu'elle goûte pas la vrai tomate...Avant de m'en faire lancer des pourries, j'arrête ici. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Quietly Berny
vendredi 18 mai 2012
Here is something for you and me
Bonjour! Bonsoir! Ça va pas bein! Des appels à la bombe pour mes amis lecteurs de l'Outaouais, une loi spéciale à Québec, la liberté s'en va, bonjour la police!!! Sommes nous dans une société si complexe qu'il est impossible de se parler? Le Québec c'est pas un gros pays, sept millions d'habitants ça devrais faciliter les choses quand viens le temps de se parler, mais non! Une chose qui me fait rire et sourire c'est les premiers ministres qui veulent passés à l'histoire. L'humilité c'est pas pour eux bien sur leurs lois seras dans les livres mais pour l'histoire je compte plus sur les manifestations populaire des étudiants. Ce matin malgré la loi y'a pas de transformation radicale de la société, on pense aux vacances, au chalet, à la longue fin de semaine... Je vous ai déjà parlé de la poussière du goulag? C'est terible elle est noire comme du charbon et viendras à bout de mes poumons... Ce matin dans le goulag c'est business as usual, l'aliénation fait son chemin comme on aime pas la différence on l'envois vivre dans le goulag avec les vieux, les handicapés, les voitures et les camions. Le goulag c'est un immense asile à ciel ouvert, on y passe, on y vie pour quand même se rapporter au psy qui soigne nos angoisses profondes de n'avoir pas été capable de vivre à Westmount... La fortune c'est pas vraiment nécessaire mais c'est ce que la société valorise, pas de chance j'ai pas la fibre de l'entrepreneur pour moi c'est des crosseurs... Oups!!! Mes excuses... Je pense à mon père et son désir d'être distributeur de meubles, il n'a pas réussis... C'est de la vieille histoire. Je suis vide comme souvent, terminus tout le monde descend, mais on arrive ou, à quel endroit, goulag, Montréal, Québec, Canada, je crois pas que les gens riches soient honnêtes, c'est un mythe vous me direz mais j'ai jamais vu personne devenir riche en travaillant. Ce seras un week-end chaud dans le goulag, trompez vous pas le goulag c'est pas le quartier gay ou on accroche des boules rose aux lampadaires. Ici c'est la poussière comme je disait précédemment et les voitures qui ne respectent pas la limite de vitesse. Lentement le soleil apparait, des déménageurs roulent un meuble dans la rue, le camion balai brosse passe ça ne fait que soulever la poussière... Je pense aux deux journées de santé mentale, y'a pas de quoi virer fou je le suis déjà. Facebook en bourse, y'en a un qui est riche je peux pas m'empêcher de l'envier pourtant je ne saurais que faire de tout cet argent. Le goulag c'est aussi "bullet under a blue sky" mais les balles ne sifflent pas... Des vieux, des joggers et moi qui regarde ça à la fenêtre. Midi approche, l'heure du diner, pommes de terre, carottes et jambons mais avant je dois laver la vaisselle. Voilà encore une contribution à l'insignifiance. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Foody Berny
mercredi 16 mai 2012
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Bonjour! Bonsoir! Hier j'ai rencontré un lecteur psychosociologue qui m'a dis que ce que j'écrivais c'était insignifiant. Hé oui c'est une question de signe et pour ce que ça veux dire c'est à vous de faire le chemin d'y donner un sens. J'ai passé le début de la semaine aux journées annuelles de santé mentale. Ai parlé de mon rétablissement de la pleine citoyenneté et de mes écrits sur le web. Je m'amusais a dire que mon désir le plus grand étais que l'institut de santé mentale devienne un énorme centre culturel en plus d'offrir des soins en santé mentale. Un chercheur ami me demandait ou je plaçais la recherche là dedans j'ai répondu un peu partout, vivement le grand soir pour la révolution... C'est pas simple de pensés à gauche surtout quand on m'achète. La gauche c'est utopique on s'en sort pas mais comme disait un psychiatre à la fin de son allocution c'est que tout ce beau monde parle, se parle c'est pas une guerre ouverte. J'ai serré la main à plusieure personnes. J'étais très heureux de les rencontré, les journées tournaient autour de la rupture et de la croissance. Je me demandait si pour grandir je devais couper mes liens avec tout ça et aller recommencer ma vie sous un autre nom en Californie. Voilà une rupture radicale et comme écrivais VLB "on le sait jamais avant on le sait toujours après". C'est très affolant je crois de recommencer sa vie. Je la recommence chaque matin. Malgré tout j'ai besoin de stabilité du contact avec mes très chers amis, je les nomme pas ils se reconnaitront. Dehors ils réparent le terrain de foot. Le buzzer du tracteur arrête pas il recule. Moi quand je recule j'ai pas de buzzer, je risque de frapper quelqu'un ou de tomber sur le dos. Je m'auto-stigmatiserai pas ici et je tiens a dire encore une fois à mon lecteur psycho sociologue que j'apprécie son commentaire. Ce que j'écris ça a pas de sens pour les autre mais ça a un sens pour moi quel qu'il soit. Bon! Je vous laisse là avec mes insignifiances! Merci d'avoir lu jusqu'ici! À la prochaine j'espère!
Socially Berny
dimanche 13 mai 2012
Here is something for you and me
Bonsoir! Bonjour! Fête des mères en famille, une magnifique journée dans le quatre cinq zéro. J'ai rencontré de fervents lecteurs et des lecteurs occasionnel. J'étais heureux de voir ma mère et comme extra y'avait la pontiac vintage d'un lecteur. On a fait le tour du carré et les gens admiraient la voiture en passant des commentaires. Ce soleil cette chaleur ça me remonte le moral et étrangement quand j'ai le moral c'est tout comme si j'avais rien a dire. Vert et vert c'est la couleur de l'espoir, j'étais aussi avec ma douce on a lavé ses fenêtres et eu beaucoup de difficulté a placer un moustiquaire, on y est arrivé après quelques jurons. Dehors on entend les cris des enfants, la musique dans les voitures et c'est le bonheur printanier. C'est le retour des pétaradantes motos enfourchées par les trompes la mort. Dans le parc ils jouent au soccer ce que dans le monde entier on appelle football. Le soleil chauffe a travers la fenêtre que j'ai laissée ouverte. Je pense qu'il y a moyen d'être heureux, ç'est la deuxième fois que j'écris ce mot, c'est pas juste un mot c'est un état et je me rappelle pas avoir vécu de si beaux moments, c'est pas grand chose quelques mots, des sourires un peu d'écoute voilà!!! Énervez-vous pas c'est un jour à la fois. J'ai mes hauts et mes bas disont que c'est un haut et dehors ils applaudissent. Ma douce me faisait remarquer que je manquais de souplesses. Je peux dire que parfois j'ai tellement peur de perdre mes moments de bonheur que je ne veux pas bousculer des choses, que pour moi c'est fragile mon humeur change comme les feuilles qui virent de bord avant l'orage. Laissons là l'orage... Y'a des araignées chez moi, des araignées au plafond... On entend les trains, les avions c'est le goulag urbain, celui de l'exil accepté, de la solitude partagée. Vous m'auriez dis un jour que j'allais trouver les bruits d'échappement d'une voiture réjouissant, je vous aurais pas cru, mais c'est le cas les vieilles voitures me réjouissent c'est ce qui nous reste de la grande Amérique, une sorte d'étandard à la Elvis qui quoi qu'on en dise avait du talent. Je souhaite bonne fête à toute les mères qui me lisent et à toutes celles qui auaient voulus l'être. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Bluesy Berny
vendredi 11 mai 2012
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Bonjour! Bonsoir! Désolé pour le blog précédent, j'étais pas dans mon assiette. Même si certains de vous me trouvent maillet je continus. J'aime pas beaucoup les gens qui vendent leurs semblables à la police. Quand ils ne se passe rien ils sont pas content arrive quelque chose on donne tout de suite au policier, c'est la culture de délation, un crime de lèse sa majesté le peuple, on veux que les choses avancent mais sans que ça fasse trop mal un accouchement sous épidurale. Dans la vie ça se passe pas comme ça y'a souvent des dommages collatéraux, ceux qui ont le pouvoir le savent et ne s'en font pas. La petite madame de Rosemont va toujours voter pour la coupe de cheveux de Charest, y'a tu l'air fin!!! Y'a des violences dont on ne parle pas les trente milles itinérants à Montréal ça indigne personne, les banques alimentaires, les soupes poulaire, l'analphabétisme pour n'en nommer que quelques unes, ces violences là on les acceptes elles font partie du quotidien, c'est quand la dernière fois que vous vous êtes humiliés en allant à la Saint-Vincent-de-Paul c'est là qu'on perd sa dignité et qu'ils deviens temps de s'indigner. Les indignés que la police a mis sous arrêt ils risquaient pas de les trouver à Westmount. Ça m'étonne toujours la rapidité avec laquelle on trouve des suspects, y'a des stools partouts. Comment dire les gens veulent du métro-boulot-dodo et une petite dose de Normand Bratwaite pour rire un peu, "lui c'est pas pareil il nous ressemble tellement" ma petite madame de Rosemont prend jamais de chauffeur de taxi noir, elle le précise quand elle appelle. Est-ce que c'est dans une société pareille qu'on veux vivre, ça part dans tout les sens mon affaire c'est ce qu'une grève étudiante permet selon moi, des prises de conscience on a besoin de gens qui étudient pour travailler dans le social, social dans tout les sens, sociale comme socialiste pour héberger nos itinérants, social pour s'entendre avec ses confrères et consoeurs de travail, social comme d'accepter les différences, sociale comme dans une société plurielle ouverte qui permet à tous de s'épanouir dans ses valeurs, ses devoirs, ses droits et ses choix mais pas sociale comme dans danse sociale, la définition que notre gouvernement accole au social... Et surtout pas comme dans bien-être social le stigmate qui colle au plus malchanceux. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Socially Berny
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