vendredi 18 mai 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Ça va pas bein! Des appels à la bombe pour mes amis lecteurs de l'Outaouais, une loi spéciale à Québec, la liberté s'en va, bonjour la police!!! Sommes nous dans une société si complexe qu'il est impossible de se parler? Le Québec c'est pas un gros pays, sept millions d'habitants ça devrais faciliter les choses quand viens le temps de se parler, mais non! Une chose qui me fait rire et sourire c'est les premiers ministres qui veulent passés à l'histoire. L'humilité c'est pas pour eux bien sur leurs lois seras dans les livres mais pour l'histoire je compte plus sur les manifestations populaire des étudiants. Ce matin malgré la loi y'a pas de transformation radicale de la société, on pense aux vacances, au chalet, à la longue fin de semaine... Je vous ai déjà parlé de la poussière du goulag? C'est terible elle est noire comme du charbon et viendras à bout de mes poumons... Ce matin dans le goulag c'est business as usual, l'aliénation fait son chemin comme on aime pas la différence on l'envois vivre dans le goulag avec les vieux, les handicapés, les voitures et les camions. Le goulag c'est un immense asile à ciel ouvert, on y passe, on y vie pour quand même se rapporter au psy qui soigne nos angoisses profondes de n'avoir pas été capable de vivre à Westmount... La fortune c'est pas vraiment nécessaire mais c'est ce que la société valorise, pas de chance j'ai pas la fibre de l'entrepreneur pour moi c'est des crosseurs... Oups!!! Mes excuses... Je pense à mon père et son désir d'être distributeur de meubles, il n'a pas réussis... C'est de la vieille histoire. Je suis vide comme souvent, terminus tout le monde descend, mais on arrive ou, à quel endroit, goulag, Montréal, Québec, Canada, je crois pas que les gens riches soient honnêtes, c'est un mythe vous me direz mais j'ai jamais vu personne devenir riche en travaillant. Ce seras un week-end chaud dans le goulag, trompez vous pas le goulag c'est pas le quartier gay ou on accroche des boules rose aux lampadaires. Ici c'est la poussière comme je disait précédemment et les voitures qui ne respectent pas la limite de vitesse. Lentement le soleil apparait, des déménageurs roulent un meuble dans la rue, le camion balai brosse passe ça ne fait que soulever la poussière... Je pense aux deux journées de santé mentale, y'a pas de quoi virer fou je le suis déjà. Facebook en bourse, y'en a un qui est riche je peux pas m'empêcher de l'envier pourtant je ne saurais que faire de tout cet argent. Le goulag c'est aussi "bullet under a blue sky" mais les balles ne sifflent pas... Des vieux, des joggers et moi qui regarde ça à la fenêtre. Midi approche, l'heure du diner, pommes de terre, carottes et jambons mais avant je dois laver la vaisselle. Voilà encore une contribution à l'insignifiance. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Foody Berny

mercredi 16 mai 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Hier j'ai rencontré un lecteur psychosociologue qui m'a dis que ce que j'écrivais c'était insignifiant. Hé oui c'est une question de signe et pour ce que ça veux dire c'est à vous de faire le chemin d'y donner un sens. J'ai passé le début de la semaine aux journées annuelles de santé mentale. Ai parlé de mon rétablissement de la pleine citoyenneté et de mes écrits sur le web. Je m'amusais a dire que mon désir le plus grand étais que l'institut de santé mentale devienne un énorme centre culturel en plus d'offrir des soins en santé mentale. Un chercheur ami me demandait ou je plaçais la recherche là dedans j'ai répondu un peu partout, vivement le grand soir pour la révolution... C'est pas simple de pensés à gauche surtout quand on m'achète. La gauche c'est utopique on s'en sort pas mais comme disait un psychiatre à la fin de son allocution c'est que tout ce beau monde parle, se parle c'est pas une guerre ouverte. J'ai serré la main à plusieure personnes. J'étais très heureux de les rencontré, les journées tournaient autour de la rupture et de la croissance. Je me demandait si pour grandir je devais couper mes liens avec tout ça et aller recommencer ma vie sous un autre nom en Californie. Voilà une rupture radicale et comme écrivais VLB "on le sait jamais avant on le sait toujours après". C'est très affolant je crois de recommencer sa vie. Je la recommence chaque matin. Malgré tout j'ai besoin de stabilité du contact avec mes très chers amis, je les nomme pas ils se reconnaitront. Dehors ils réparent le terrain de foot. Le buzzer du tracteur arrête pas il recule. Moi quand je recule j'ai pas de buzzer, je risque de frapper quelqu'un ou de tomber sur le dos. Je m'auto-stigmatiserai pas ici et je tiens a dire encore une fois à mon lecteur psycho sociologue que j'apprécie son commentaire. Ce que j'écris ça a pas de sens pour les autre mais ça a un sens pour moi quel qu'il soit. Bon! Je vous laisse là avec mes insignifiances! Merci d'avoir lu jusqu'ici! À la prochaine j'espère! Socially Berny

dimanche 13 mai 2012

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Fête des mères en famille, une magnifique journée dans le quatre cinq zéro. J'ai rencontré de fervents lecteurs et des lecteurs occasionnel. J'étais heureux de voir ma mère et comme extra y'avait la pontiac vintage d'un lecteur. On a fait le tour du carré et les gens admiraient la voiture en passant des commentaires. Ce soleil cette chaleur ça me remonte le moral et étrangement quand j'ai le moral c'est tout comme si j'avais rien a dire. Vert et vert c'est la couleur de l'espoir, j'étais aussi avec ma douce on a lavé ses fenêtres et eu beaucoup de difficulté a placer un moustiquaire, on y est arrivé après quelques jurons. Dehors on entend les cris des enfants, la musique dans les voitures et c'est le bonheur printanier. C'est le retour des pétaradantes motos enfourchées par les trompes la mort. Dans le parc ils jouent au soccer ce que dans le monde entier on appelle football. Le soleil chauffe a travers la fenêtre que j'ai laissée ouverte. Je pense qu'il y a moyen d'être heureux, ç'est la deuxième fois que j'écris ce mot, c'est pas juste un mot c'est un état et je me rappelle pas avoir vécu de si beaux moments, c'est pas grand chose quelques mots, des sourires un peu d'écoute voilà!!! Énervez-vous pas c'est un jour à la fois. J'ai mes hauts et mes bas disont que c'est un haut et dehors ils applaudissent. Ma douce me faisait remarquer que je manquais de souplesses. Je peux dire que parfois j'ai tellement peur de perdre mes moments de bonheur que je ne veux pas bousculer des choses, que pour moi c'est fragile mon humeur change comme les feuilles qui virent de bord avant l'orage. Laissons là l'orage... Y'a des araignées chez moi, des araignées au plafond... On entend les trains, les avions c'est le goulag urbain, celui de l'exil accepté, de la solitude partagée. Vous m'auriez dis un jour que j'allais trouver les bruits d'échappement d'une voiture réjouissant, je vous aurais pas cru, mais c'est le cas les vieilles voitures me réjouissent c'est ce qui nous reste de la grande Amérique, une sorte d'étandard à la Elvis qui quoi qu'on en dise avait du talent. Je souhaite bonne fête à toute les mères qui me lisent et à toutes celles qui auaient voulus l'être. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Bluesy Berny

vendredi 11 mai 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Désolé pour le blog précédent, j'étais pas dans mon assiette. Même si certains de vous me trouvent maillet je continus. J'aime pas beaucoup les gens qui vendent leurs semblables à la police. Quand ils ne se passe rien ils sont pas content arrive quelque chose on donne tout de suite au policier, c'est la culture de délation, un crime de lèse sa majesté le peuple, on veux que les choses avancent mais sans que ça fasse trop mal un accouchement sous épidurale. Dans la vie ça se passe pas comme ça y'a souvent des dommages collatéraux, ceux qui ont le pouvoir le savent et ne s'en font pas. La petite madame de Rosemont va toujours voter pour la coupe de cheveux de Charest, y'a tu l'air fin!!! Y'a des violences dont on ne parle pas les trente milles itinérants à Montréal ça indigne personne, les banques alimentaires, les soupes poulaire, l'analphabétisme pour n'en nommer que quelques unes, ces violences là on les acceptes elles font partie du quotidien, c'est quand la dernière fois que vous vous êtes humiliés en allant à la Saint-Vincent-de-Paul c'est là qu'on perd sa dignité et qu'ils deviens temps de s'indigner. Les indignés que la police a mis sous arrêt ils risquaient pas de les trouver à Westmount. Ça m'étonne toujours la rapidité avec laquelle on trouve des suspects, y'a des stools partouts. Comment dire les gens veulent du métro-boulot-dodo et une petite dose de Normand Bratwaite pour rire un peu, "lui c'est pas pareil il nous ressemble tellement" ma petite madame de Rosemont prend jamais de chauffeur de taxi noir, elle le précise quand elle appelle. Est-ce que c'est dans une société pareille qu'on veux vivre, ça part dans tout les sens mon affaire c'est ce qu'une grève étudiante permet selon moi, des prises de conscience on a besoin de gens qui étudient pour travailler dans le social, social dans tout les sens, sociale comme socialiste pour héberger nos itinérants, social pour s'entendre avec ses confrères et consoeurs de travail, social comme d'accepter les différences, sociale comme dans une société plurielle ouverte qui permet à tous de s'épanouir dans ses valeurs, ses devoirs, ses droits et ses choix mais pas sociale comme dans danse sociale, la définition que notre gouvernement accole au social... Et surtout pas comme dans bien-être social le stigmate qui colle au plus malchanceux. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Socially Berny

jeudi 10 mai 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je crois que ce seras mon dernier bonjour! Bonsoir! J'ai peur, la violence gagne toujours sur la parole. Je sais que j'ai pus être méchant dans mes blogs mais je croyais pas avoire affaire à des rancuniers. Comment disais le gars tout à l'heure "tais toé maudit baveux!". Je croyais que la liberté d'expression c'étais toujours valide. Pour certains vaux mieux se taire et engourdir son mal avec une bière devant la télé, comme toujours on préfère consommer que d'utiliser les mots dans un sens constructif, faut tu avoir une vie plate pour s'en remettre à l'industrie de l'humour pour rire... Remarquez que je ne ris pas souvent et les rire que j'entend sont souvent dans ma direction. Je me rappelle ce policier qui disait que j'étais suceptible il avait raison. Ceux qui désirent m'appuyer encore dans ma démarche d'écriture web2 faites le moi savoir. Ce soir je suis découragé et j'ai envie de tout sacrer ça là.. Le graffitti disait "Dieu est gland..." le reste je m'en souviens pas, enfin des mots d'abrutis on a pas à retenir ça. Ouais! En finir avec l'écriture et en finir avec ma vie, je me fait vieux et j'ai pas construit grand-chose dans mes multiples maladies. Cette saloperie d'orgueuil si elle disparaissait... Ce malaise en présence des autres, ces mots là je vous les écris, je suis incapable de vous en parler de vive voix, c'est finis... Si ça vous intéresse encore je le répète faites le moi savoir! Merci! Berny

mercredi 9 mai 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Les français parlent au français, on est bien heureux de la victoire de la gauche et comme je sais que les français n'aiment pas que les étrangers parlent de la France... Quand même on vous envie dans le goulag du centre-sud on se souhaite une gauche aussi forte et que nos étudiants nous fasse la leçon. Je trouve bizarre ceux qui essaient de nous faire croire que l'égalité sociale c'est dépassé, c'est un idéal a ateindre un point à l'horizon qui semble toujours s'éloigner. Laissez moi vous dire que notre système de santé en prend pour son rhume avec son ticket à numéro pour voir un médecin, c'est une vrai leçon d'humilité et je suis certain que si on paye on vois le médecin dans l'heure, c'est toujours l'histoire du patient mais quand ça va pas on est toujours impatient c'est ce qu'ils ne semblent pas comprendre. C'est qui ils? Le ministère de la santé et des services sociaux grosse machine à laquelle vaux mieux pas trop se frotter. J'ai donc fait un miracle je me suis guéris seul, venez me porter vos béquilles et vos chaises roulantes, je pars l'oratoire du goulag ou on pourras se recueillir sur l'humilité qu'il faut pour attendre les médecins et puisque les gens semblent croire que les cliniques médicales c'est comme un garage, qu'on soigne leurs corps de la même façon qu'on répare une voiture. Je ferai boire et respirer de l'essence ça va les rendre euphoriques en attendant. Je dis ça dans le goulag on respire de grandes goulées de gaz carbonique de quoi anasthésier un cheval, who care's qu'on fasse de l'emphysème, on peux se réjouïr en pensant que le gaz est léger et qu'il monte et que peut être qu'avec le bon vent ont vas en respirer à Westmount. C'est pas bien il est interdit de faire du ressentiment, bein voèyons!!! Pour l'oratoire on va se bénir et se baptiser à même l'eau du fleuve, une cure de jouvence, une aquathérapie avec laquelle du haut de mon studio je vais baptiser et bénir les gens qui voudront bien laisser leurs grabats. Ça fait christique mon affaire aujourd'hui peut être un peu blasphème mais c'est vers ce genre de chose que les gens se tournent quand ils ont tout essayé ça met un baume sur la plaie... On pourrais peut être télévisé les gens qui tombent en étât de grâce enfin ceux qui tombent sur le bon pôle de leur bi-pôlarité. Ça fait de bon prosélyte convaincu qu'ils seront de leurs guérison. Hé oui! Votre humble serviteur deviens charlatan et puisque les gens semblent croire aux anciennes médecines on vas aussi pratiquer la saignée accompagné d'une tasse de thé et d'un scône ou un cupcake. Tout ça m'amène a penser au corps, à ce bel instrument qu'on malmène sans réfléchir sur l'esprit qui y habite. Cet esprit hurle parfois de douleur et on le laisse hurler on l'entend littéralement qui crie et grince avant de s'apaiser au bout de nos prières. Ouais!!! Ce seras tout!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine je l'espère!!! Sicky Berny

lundi 7 mai 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Encore debout la nuit, des cauchemars que j'oublie. Ouais! Je me suis recouché et j'ai dormis. C'est la matinée et il fait beau temps. Ce week-end j'ai beaucoup marché. Je voulais rencontrer un médecin mais j'ai changé d'idée. Samedi on m'a donné une contravention pour avoir traversé la rue sur le feu rouge. Me suis fait un café c'est chiant le lait est caillé. Me suis brûlé les lèvres... C'est terible n'avoir rien a dire... J'ai pas envie d'attendre au CLSC. Je suis pas déprimé. J'aime pas les gens ça fait un freak de plus. J'ai hate de voir ce que les étudiants vont voter... J'ai mis le parlage à la radio... J'attend un coup de téphone pour participer aux journées de la santé mentale J'ai téléphoné j'ai rendez vous jeudi à trois heure pour le concours photo. Les socialistes ont gagné les élections en France, vive la gauche!!! Ici ont a tapé sur les étudiants. Je pense prendre une direction que je n'ai jamais pris, ça devrais faire du nouveau. Je perd mes culottes, christ de bedaine!!! Rédio-Kénada et la couverture du vote étudiant, on espère que nos amis de l'Outaouais vont revenir à la normale. Suis allé chercher un litre de lait, dans le corridor ça sent le pot. J'ai peur que la police se mette sur mon cas. C'est probablement ma paranoïa... Je prépare un voyage avec ma douce... C'est toujours aussi insignifiant mon blog... Have you eard the news there is good rocking at midnight... Le week-end est terminé je suis trop vieux pour rocké. Dites moi, les lundi matin c'est rock'n'roll? Pour moi c'est plus business as usual... Je pense aux rockers sanctifié de Francoeur. Je crois pas qu'après une nuit de bringue poétique il appréciaient le chant des petits oiseaux, les hirondelles, les hirondelles et les chardonnerets, au coeur du goulag on a plutôt droit aux mouettes qui mangent les restes de fast-food. Viens de m'apercevoir que je vous écris avec des polices ça me fait peur... Musique sud-américaine à la radio d'autre diraient musique du monde, la musique c'est planétaire... Quand je regarde la télé je prend plaisir a essayer de deviner qui a eu une chirurgie plastique, qui s'est fait remonter le visage, dans le monde de l'image faut avoir l'air jeune, les octogénaires c'est pas trop télévisuel. J'essais de terminer sur une bonne note, j'ai ouvert la fenêtre pour respirer l'air d'emphysèmes du Goulag. La poussière qui tue, vivre dans le goulag c'est aussi écourter sa vie avec une maladie des poumons mais vous le savez c'est juste un rappel. Enfin on va faire avec c'est toxique mais pas mortel immédiat. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Physie Berny