mardi 24 avril 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! J'ai mis la radio sur cité rock matante... C'est étrange j'hésitais a écrire ce soir peut être parce que les étudiants négocient et qu'un certain calme est revenus. Au mois de mai y'a les journées santé mentale... Santé mentale c'est pas nécessairement la folie c'est la souffrance toute intérieure. Je sais à une époque on disait "fait les soufferts" en dérision... La vie est si fragile, une belle chanson... Je racontais à un copain qu'un jour je retournerai en France, la France c'est le pays de mes ancêtres, la France c'est un peu ma mère, bien que je sois pas polyglotte, je trouve que le français est une belle langue, une langue qui mérite un effort pour bien l'utiliser. En français y'a pas grand chose qui vaux une bonne discussion, arguments contre arguments mais avec du respect, le respect du à ses amis. Badinage, souvent je crois que je suis un intello mais c'est du badinage, des propos qui ne portent pas à conséquence. Je suis au café du commerce quoi pas aux hautes études commerciales. Connaissez vous Emmett Grogan? C'est un écrivain qui pour donner a manger à ses semblables discutait "le bout de gras", belle expression qui dis bien ce quelle veux dire pour la soupe. J'hésite a vous parler des "diggers" un groupe très actifs dans la communauté hippies des années soixante Grogan en étais le chef de file anonyme. Vous pouvez lire ça dans son roman "Ringolevio" que j'adore, un grand roman méconnus. Parfois pour être français je pense aux "Illusions perdues" de Balzac, à mon âge on a plus les mêmes ambitions littéraires. J'ai laissé passer pourtant j'écris toujours, je ne sais pourquoi... Je manque d'humilité, je suis toujours a préparer mon discours de refus du prix nobel de littérature. Je refuse le prix mais je prend l'argent. Je deviendrai pas riches a écrire si c'étais le cas ça se saurait, ça c'est très laid comme français. Vous voyez maintenant à quel genre d'ignorant vous avez affaire. J'ai remarqué que je raisonnait à l'envers, je vois toujours le négatif avant le positif, courrir pour moi c'est se faire chier pas s'occuper de son système cardio-vasculaire, dites moi comment ça marche? Je change ma façon de penser ou je passe à l'action? Vous pressez pas j'ai déjà la réponse... J'ai réussis a vous écrire ça en écoutant les chansons mielleuses, à l'époque on disait des chansons bubble gum à contrario de rock. C'est assez pour ce soir! Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Slowly Berny

dimanche 22 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Trop couch potatoe pour marcher à la journée de la terre. J'en bave et je vais crever plutôt que marcher. Mon amie la terre elle m'a oubliée dans un coin perdus du goulag... Quand même je reçois des courriels racistes sur des politiques qu'ils vont prendre en Hollande... Je vous le réécris je suis misanthrope, j'aime pas les foules mais je suis de tout coeur avec ceux qui marchent, je pense à la chanson des Séguin "les enfants d'un siècle fou". On en commence un autre siècle et c'est pas ce qu'il y a de plus joli. Mais oui cet après-midi plutôt que d'échanger avec mon prochain je regarde le hockey, c'est malsain. Ouais! comment dire? La CLASSE manifeste aussi. J'ai de la misère a voir clair dans tout ça mais quand ils parlent de nos enfants je pense à Éloi à Antoine à Alexia à Théo... Si y'a pas de terre y'a pas de rétablissement, si y'a pas de rétablissement y'a pas de terre. Je suis un tarlais à moins que ce sois un tarla... J'écris quand même sans papier, sans filet, comme un monstre je joue avec une plaque brune que j'ai sur la tempe. Je suis vide cet après midi j'ai pas entendu les cloches sonnées, c'est comme si on voulais se refaire les dimanches d'antan, la grand messe place des spectacles à Montréal. Je suis contre tout les rituels mais je prie quand même c'est paradoxal... Le bonhomme est fou, dehors c'est gris et je lui dis quand même merci à Gaïa de m'avoir permis de me rendre jusque là. C'est l'éclosion des feuilles dans les arbres. Mais non je suis pas dans les centaines de milliers de personnes qui manifestent. Je suis pas contre eux on peux pas être contre la vertue, tout ce que j'ai en tête c'est des idées de vieil anarchiste qui veux pas se faire mener par personne. Les travailleurs sociaux qui sont je crois un grand nombre dans cette manifestation traitent les gens comme moi, je suis un "malade mental" et les mentaux ils aiment pas beaucoup quand ça grouille, quand on stimule leurs matières grise, ils aiment le calme, prisonnier de la peur et de la maladie. De toute façon j'étais seul pour y aller j'avais pas de compagnie, y'a rien de plus triste qu'un solitaire dans la foule. La bonne femme de gauche avec sa casquette Nike...elle ne magazine pas chez Whal-Mart. L'écologie c,est aussi faire des choix responsables aujourd'hui j'ai pas dépensé d'énergie, pas usé mes semelles de souliers qui vont me faire une autre semaine, enfin vous voyez que je vais pas bien. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Slowly Berny

vendredi 20 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! On manifeste à deux pas du goulag aujourd'hui, Charest fait dans l'humour dérisoire... Je sais pas si on a vraiment besoin des sociologues du Black box, casser des vitrines c'est insignifiant mais je comprend la frustration, c'est pas le grand soir, la police est forte et bien équipées. Les casseurs ils brisent aussi la sympathie de la population. Le grand Nord c'est le vrai goulag ou on veux envoyer les diplomés, ça me fait rire quand ils disent qu'ils vont s'asseoir et travailler, on bâtis pas grand chose assis. Je sais pas... si je cotise chez les libéraux ils vont me trouver une job dans les mines? C'est pas joli les images télé, on parle de mouvement radicaux... La S.Q. est là pour protéger Charest de toute façon vous pouvez voir tout ça à la télé. Je sais pas qui vas écrire "Si tu savais comme on s'ennuie dans le grand nord". Je pense qu'il y a une vision de la démocratie, la violence chez les manifestants ne permet pas la négociation ce serait un dénis de démocratie. Veux veux pas y'a une majorité de personnes qui a voté libéral... Moi je suis plutôt de l'option Québec-Solidaire, pour le monde avec le monde. Je dis ça... je sais pas trop, je suis plutôt misanthrope, je vous l'ai déjà écris... Je pense aux courses de camions en Abitibi c'est idiot mais remplis de monde... Dans le goulag les camions passent à la journée longue en nous empoisonnant les poumons. Je me prépare un spaghatt... Mes lecteurs de Gatineau ont d'irréductibles manifestants. Ici la police passe son temps a déclarer les manifestations illégales... J'aime pas beaucoup comme disait le regretté Michel Chartrand le "human interest" c'est certain que manifester c'est pas bon pour la business. La S.Q. loue ses camions chez Jean Légaré un fleuron du Goulag... Je sais pas c'est combien sa contribution au partis. C'est drôle la misère, manifestation, criminalité, itinérance, drogue c'est toujours dans le goulag du bas de la ville. C'est comme fido qui va faire son petit besoin dans le parc et après retourne tranquillement chez lui, dans la banlieue. Les habitants du goulag ont est pas respecté on est la lie de la société. Je suis tellement mêlé je viens d'apprendre que c'est la fête du pot dans l'ouest du Kénada, bein oui! Qu'ils en fument du weed et qu'ils nous câlissent la paix. La question c'est si on faisait les choses de façon civilisé ça donnerais des résultats? Une certaine innocuité? Quand je vois les images des policiers anti-émeute de la S.Q. et le mauvais humour de Charest. Je me sent comme sous la pire des dictatures. Tiens tout à coup je pense à Mai soixante huit en France, à comment ça avais fait naitre l'espoir, sous les pavés la plage, il est interdit d'interdire des slogans sur lesquels ont vécu bien des gens. J'ai mangé mon spaghatt et tant que les gens pourront manger des poutines chez Lafleur, je pense à mon lecteur de Terrebonne, il n'y auras pas de changement, ventre plein n'a pas de rage... Une sage de Mascouche m'a parlé de l'augmentation de prix des médicaments et de comment nos octogénairées aimés était obligé d'encaisser, on sort pas dans la rue à quatre vingt ans... C'est global mais les plus faibles restent toujours sans revendications sans mots et parfois respectent la démocratie bien que d'autre dénigrent la politique. C'est tout pour aujourd'hui. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Frenzy Berny

mercredi 18 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! L'été a été court... Je vous reviens cette nuit. Vous vous en doutez je dors mal pourtant j'ai pas de problème de conscience. J'ai un problème avec mon écriture j'essais de faire beau plutôt que vrai. Cette nuit à Rédio-Kénada ils parlent de littérature érotique, trop intello la fille lis on a envie de rire. Y'a rien a faire d'autre que de vous écrire la nuit. Lentement je hennis comme un cheval, je vais finir dans un box à l'écurie. Je me rappelle ces nuits au Quartier libre assis sur un fauteuil défoncé, la tête dans la boucane, le nez dans la poudre et cette fausse impression d'intensité trop givré pour rentrer dans ce qui me restais de chez moi je couchais sur le trottoir... Hier un ami photographe de cette époque m'a téléphoné c'est malheureux ses photos sont trop bucoliques. Je pense au regretté Alain Bashung... La musique, la musique produit parfois de la mélancolie malsaine, des souvenirs rock'n'roll pourtant je suis un nerd ou si vous préférez un macramé. J'étais pas un vrai rocker juste un souffrant à lunette. J'avais des bouquins avec des photos de motards des années soixante, je les croyais libre mais ils étaient totalement aliénés à leurs machines. Vous voulez savoir pourquoi je me lève si tôt? Je lis mal mon cadran plutôt que de lire 2h30 je lis 3hrs. C'est triste j'ai pas de style d'écriture, j'aime pas les gens je déteste l'humanité comme un adolescent gâté. Au Québec pour écrire faut aimer les gens, foutaise! Elfriede Jelinek aime pas les gens mais elle écris de la grande littérature. Détester les gens ça permet d'en inventer des aimables... Quand je regarde les nouvelles je trouve que le monde a pas de bon sens. Y'a des jours ou j'ai envie de tout laisser là, de m'étendre et de mourrir pourtant la mort c'est pas simple. Falardeau dirais "les êtres humain c'est tough en tabarnak". Gerry Boulet qui chante "qui te soigneras? Qui te guériras?". Je guérirai jamais, quand a me faire soigner les hôpitaux sont pleins et c'est pas là que ma neurasthénie va se résorber. La vrai vie, la grosse vie sale elle est finie. Maintenant j'écoute de la musique indienne et je me fouille dans le nombril. Y'a différentes déclinaisons sur lesquelles je me joue dans le nombril. Ça reviens souvent dans ce que j'écris, un problème d'ego... Vous souvenez vous de la chanson My sweet Lord de Georges Harrisson, je voudrais bien le voir, je voudrais bien être avec lui pas Georges mais Lord. C'est musical cette nuit j'ai toute ces musiques là dans la tête. Je termine là dessus et vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Slowly Berny

lundi 16 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Fait beau! Fait chaud! Un parfum de fin du monde comme chante le chanteur. Y'a une camionnette devant l'édifice. On lui a donné une contravention bientôt ils vont la towingner comme disait la fille, c'est trop simple de dire remorquer. Le ciel est gris le temps est lourd déjà... La fenêtre est ouverte, un gars est passé en gueulant, j'ai rien compris. Les étudiants ont mis de la pression dans le métro... Je pense au porc frais, j'en suis un, je pense à Yvon Deschamps a comment ne pas le blesser c'est un grand et vieux monologuiste... Dans le goulag aujourd'hui on a un répit, même les révolutionnaires sont en culottes courtes, je cherche la garde nationale on en a pas, pas de nation a garder. Stoned cold fever sur la céramique de la salle de bain, la tête dans la bolle... Devant il y a une femme qui ressemble au guitariste du regretté groupe Offenbach, pour mes amis français juste signaler qu'il ne s'agit pas de Jacques Offenbach le compositeur mais d'un vieux groupe rock québequois éponyme. Vous pouvez chercher et entendre sur You Tube. Bon! Je sais pas comment on place ça éponyme mais j'espère que vous avez compris. J'écris pour... remplir?... vider?... dire un étât de folie expressionniste... Bon voilà qu'on me demande pour qui je travaille, pour moi simplement pour moi... Je m'égare, j'essais de traduire mes pensées les plus intimes sans verser dans la banale sexualité...La rue Ste-Catherine c'est bruyant et poussièreux, quand je serai mort j'aimerais bien qu'on mélange mes cendres à la poussière du goulag centre-sud. Vous allez me dire "ménage tes transports" pourtant ça grouille pas tellement dans mon for intérieur. Un ami viens de me téléphoner pour me dire qu'il a fait son testament. Je crois que je suis une estie de tarte. Voilà! J'y suis dans l'intime dévalorisant, dénigrant. Un pauvre cave voilà ce que je suis. Vous pouvez m'indiquer une façon simple de remonter cette estime? De toute façon les gens lisent pas du moins pas autre chose que la boîte de céréale le matin. Ils ont trop de soucis et j'en suis le moindre. Je, ce Je avec un j majuscule narcissique... Vous savez pas de quoi je parle c'est parce que vous êtes moins égocentrique que moi, ce Je fait mal... dans tout les sens. Vous pouvez rire, le rire c'est l'humilité et laissez moi vous dire que je ne ris pas souvent. Ça a ni queue ni tête, si au moins j'avais une cour comme les cols bleu mais j'ai que ma case comme celle de l'oncle Tom, ma case dans le goulag la fenêtre donnant sur le garage de la STM maintenant vous savez ou j'habite mais je crois l'avoir déjà écris dans un autre blog. Je termine et vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Fuzzy Berny

samedi 14 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Musique de vieux synthétiseur, on se croirais aux portes du firmament pour le jugement dernier. J'entend parler les anges de Lucifer, les flammes brûlent le peu de sérénité qui me reste. Je hurle, je hurle mais personne n'entend ce seras comme ça pour l'éternité un lourd marteau cogneras à un rythme infernal. Kraftwerk? Satan est il allemand, suppôt de l'industrie lourde qui disparait. Je n'étais pas aux portes du firmament mais bien à celles de l'enfer, on rive, on rive des poutres de métal sans qu'il soit question d'un pont, le mal ne va pas vers le bien c'est un pont sans fin aux innombrables rivets d'acier, un pour chaque pèché de l'humanité, on rive et on tombe pour remourir éternellement, l'agonie perpétuelle. Je brûle mais ma chair se régénère dans des douleurs atroces. Mes entrailles se vident, je ne peux me résigner ce ne seras pas toujours comme ça mais oui! Même les malheureux se réincarnent périssent éternellement par la chair en travaillant aux haut-fourneaux de l'univers. Votre gras nourriras les flammes qui brûleront à perpétuité vos congénères. Toute l'eau du monde ne seras pas suffisante pour éteindre les flammes, les vapeurs brûleront ce qui vous reste de corps, ce seras toujours le même début vos cris ne seront entendus que par vos pareils. Vous croirez faire un cauchemar dans la zone industrielle de l'enfer, vous demanderez le syndicat pour placer un grief mais Satan vous feras arroser d'essence et vous puniras de votre outrecuidance. Vous pensez encore vous en sortir ça fait déjà des siècles que vous êtes là, non vous ne serez pas de la résurrection des corps vous êtes damnés. Goddam!!! L'odeur vous prendras à la gorge vous serez désormais incapable de crier mais oui c'est l'apocalypse, la géhenne vous payez pour vos crimes, suppôt de Lucifer. On vous tremperas dans la lave vous ne serez que douleur le corps remplis de pustules, les pores suintant... Finalement vous vous réveillez, le sandwich au porc frais étais de trop, vous demandez pardon à Dieu, promettez de vous améliorer et n'osez pas vous pincer de peur d'y retourner. Vous essayez dans une vibrante prise de conscience de faire l'inventaire de tout le mal que vous avez fait, soudain vous vous assoupissez, vous vous endormez, dehors Satan veille!!!
Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nightly Berny

jeudi 12 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Mon robinet fuit et la nuit s'enfuit, goutte à goutte il m'éveille, me garde les paupières lourdes. Seconde après seconde je ne rêve plus capté par l'insomnie. Léger sommeil du soir en attendant la nuit et puis et puis je rêve au fond du puit somnifère à l'ennui du robinet, vive la pluie. Je suis je suis lourd et transis ai mal à ma vie, ma vie diurne partie. L'éveil nocturne remplis de musique je fait un rami. Je plie je plie dans cet éveil maudit et je prie et vous vous êtes ici a lire cette litanie sur laquelle je m'appuie. Bon! C'est assez les niaiseries en i. J'ai pas le courage de continuer cette mauvaise chanson. Ce soir je vais au théâtre chez Jean Duceppe j'ai hate. Charles Aznavour est à Montréal, on va encore parler du mythique Faisan Doré sur la maine. Je suis trop jeune j'ai pas connus. Ce soir les lampadaires ne clignotent pas, je ne suis pas harcelé par Hydro-Québec. Mes textes forts je les écris toujours au bord de la psychose. Je me dois d'être prudent. Le temps passe vite il est trois heure vingt et une, je trouve que les vrais écrivains passent plus de temps a parler qu'a écrire, c'est comme au marché on fait la promotion. M'sieur Dame!!! Des choux des beau choux!!! Deux pour une piasse!!! Je pense à l'aveugle toujours dans la nuit... Je réfléchis cherche quoi vous écrire. Je pense toujours à la méthode de l'écrivain humoriste. Non merci! C'est pas pour moi, les jokes à tout prix sont les plus mauvaises. De toute façon je l'ai rencontré l'écrivain on avait rien a se dire. Y'a de la musique africaine à la radio. Je me souviens de deux sénégalais sur une job. Ils me trouvaient paresseux mais eux foutaient rien. Tiens "Picture at an exhibition" de Moussorgsky et Emerson, Lake and Palmer de la grande musique entre le rock et le classique. Vous aimez pas ça j'en suis sur quand je fait du remplissage mais les muses sont pas toujours présentes, il faut que je m'arrache chaque mot de la tête, de ma tête de cabochon. J'ai mis la radio sur une station rock matante,l'animatrice c'est plein jour pour elle. Le pire c'est comme maintenant n'avoir tellement rien a écrire et passés à Céline Dion la multi-nationale. Tiens multi-nationale on entend plus tellement ça, les entreprises se réclament maintenant d'un certain savoir faire régional et on débauche dans un pays pour embaucher dans un autre, moi j'ai déjà débauché Céline Dion. Ouais!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Nightly Berny