samedi 14 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Musique de vieux synthétiseur, on se croirais aux portes du firmament pour le jugement dernier. J'entend parler les anges de Lucifer, les flammes brûlent le peu de sérénité qui me reste. Je hurle, je hurle mais personne n'entend ce seras comme ça pour l'éternité un lourd marteau cogneras à un rythme infernal. Kraftwerk? Satan est il allemand, suppôt de l'industrie lourde qui disparait. Je n'étais pas aux portes du firmament mais bien à celles de l'enfer, on rive, on rive des poutres de métal sans qu'il soit question d'un pont, le mal ne va pas vers le bien c'est un pont sans fin aux innombrables rivets d'acier, un pour chaque pèché de l'humanité, on rive et on tombe pour remourir éternellement, l'agonie perpétuelle. Je brûle mais ma chair se régénère dans des douleurs atroces. Mes entrailles se vident, je ne peux me résigner ce ne seras pas toujours comme ça mais oui! Même les malheureux se réincarnent périssent éternellement par la chair en travaillant aux haut-fourneaux de l'univers. Votre gras nourriras les flammes qui brûleront à perpétuité vos congénères. Toute l'eau du monde ne seras pas suffisante pour éteindre les flammes, les vapeurs brûleront ce qui vous reste de corps, ce seras toujours le même début vos cris ne seront entendus que par vos pareils. Vous croirez faire un cauchemar dans la zone industrielle de l'enfer, vous demanderez le syndicat pour placer un grief mais Satan vous feras arroser d'essence et vous puniras de votre outrecuidance. Vous pensez encore vous en sortir ça fait déjà des siècles que vous êtes là, non vous ne serez pas de la résurrection des corps vous êtes damnés. Goddam!!! L'odeur vous prendras à la gorge vous serez désormais incapable de crier mais oui c'est l'apocalypse, la géhenne vous payez pour vos crimes, suppôt de Lucifer. On vous tremperas dans la lave vous ne serez que douleur le corps remplis de pustules, les pores suintant... Finalement vous vous réveillez, le sandwich au porc frais étais de trop, vous demandez pardon à Dieu, promettez de vous améliorer et n'osez pas vous pincer de peur d'y retourner. Vous essayez dans une vibrante prise de conscience de faire l'inventaire de tout le mal que vous avez fait, soudain vous vous assoupissez, vous vous endormez, dehors Satan veille!!!
Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nightly Berny

jeudi 12 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Mon robinet fuit et la nuit s'enfuit, goutte à goutte il m'éveille, me garde les paupières lourdes. Seconde après seconde je ne rêve plus capté par l'insomnie. Léger sommeil du soir en attendant la nuit et puis et puis je rêve au fond du puit somnifère à l'ennui du robinet, vive la pluie. Je suis je suis lourd et transis ai mal à ma vie, ma vie diurne partie. L'éveil nocturne remplis de musique je fait un rami. Je plie je plie dans cet éveil maudit et je prie et vous vous êtes ici a lire cette litanie sur laquelle je m'appuie. Bon! C'est assez les niaiseries en i. J'ai pas le courage de continuer cette mauvaise chanson. Ce soir je vais au théâtre chez Jean Duceppe j'ai hate. Charles Aznavour est à Montréal, on va encore parler du mythique Faisan Doré sur la maine. Je suis trop jeune j'ai pas connus. Ce soir les lampadaires ne clignotent pas, je ne suis pas harcelé par Hydro-Québec. Mes textes forts je les écris toujours au bord de la psychose. Je me dois d'être prudent. Le temps passe vite il est trois heure vingt et une, je trouve que les vrais écrivains passent plus de temps a parler qu'a écrire, c'est comme au marché on fait la promotion. M'sieur Dame!!! Des choux des beau choux!!! Deux pour une piasse!!! Je pense à l'aveugle toujours dans la nuit... Je réfléchis cherche quoi vous écrire. Je pense toujours à la méthode de l'écrivain humoriste. Non merci! C'est pas pour moi, les jokes à tout prix sont les plus mauvaises. De toute façon je l'ai rencontré l'écrivain on avait rien a se dire. Y'a de la musique africaine à la radio. Je me souviens de deux sénégalais sur une job. Ils me trouvaient paresseux mais eux foutaient rien. Tiens "Picture at an exhibition" de Moussorgsky et Emerson, Lake and Palmer de la grande musique entre le rock et le classique. Vous aimez pas ça j'en suis sur quand je fait du remplissage mais les muses sont pas toujours présentes, il faut que je m'arrache chaque mot de la tête, de ma tête de cabochon. J'ai mis la radio sur une station rock matante,l'animatrice c'est plein jour pour elle. Le pire c'est comme maintenant n'avoir tellement rien a écrire et passés à Céline Dion la multi-nationale. Tiens multi-nationale on entend plus tellement ça, les entreprises se réclament maintenant d'un certain savoir faire régional et on débauche dans un pays pour embaucher dans un autre, moi j'ai déjà débauché Céline Dion. Ouais!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Nightly Berny

mardi 10 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je digère mon brunch de Pâques, c'étais bon. J'ai de la difficulté avec mes grandes envolées politique. Ce matin je vais réfléchir sur la spiritualité et les soins en santé mentale. J'accepte toute les prières même les profanes. Pour le blog c'est de durer dans le temps et moi aussi à cinquante cinq ans j'aimerais durer dans le temps. On est vraiment au printemps maintenant. Il est quatre heure du matin c'est le silence. Il faut écrire tôt le matin avant d'être pollué par les petits évênements insignifiants de la journée. Je force mon écriture tout ne coule pas de source. Je pense à la prière comme dans prière de rapporter vos canettes vides parais qu'on en perd pour des millions de dollards. Ce matin les gars seront au supermarché pour rapporter la récolte nocturne. Je bave mon café c'est dégueulasse. Je salut tout les lecteurs qye j'ai vu ce week-end. Je suis plus tartiste qu'artiste, écrire c'est pas de la tarte. Je souffre et j'ai le goût d'en finir mais le pense à Pierre Perrault "Pour la suite des choses". Ce que j'écris c'est une avarie, j'en fait tout un bateau. Je pense à Fred Pellerin à Lisa Leblanc deux beaux artistes. Je me fait les ongles d'orteils, c'est dégueulasse l'hygiène dans un blog. Je suis condamné à l'exil au goulag métropolitain, condamné a survivre dans l'univers de ceux qu'on dis marginaux, mais plusieurs marginaux font ils la norme? Je suis seul avec mes bêtises mes niaiseries. J'attend la journé de la terre le vingt deux avril on doit avoir une surprise je ne sais quoi. J'oublie souvent que je dois vivre et laisser vivre, pour moi vivre c'est écrire même si c'est malheureux. Des excuses j'en ai jamais assez fait, ça me sert à rien de rêver de gloire, vaniteux je suis. J'irai maintenant vers l'humilité. Je suis votre humble serviteur. Bientôt j'irai m'asseoir à la terrasse d'un café en cherchant, paranoïaque, qui m'observe. Hier j'ai reçu un courriel d'Adam Brown de Fitzroy Harbour à propos de t-ball pour les enfants. Je le connais pas et je crois que c'est l'un de vous. La technologie qui a des ratées? Je temine là dessus ce matin. Merci d'avoir lu jusqu'Ici! À la prochaine j'espère!!

Paranoï Berny

samedi 7 avril 2012

Here is something for you and me


Bonsoir! Bonjour! L'évènement Nous? Se termine, de beaux textes, de belles lectures. J'en ai pleuré de cette parole. J'ai retenus celui de Maxime-Olivier Moutier qui mentionnait la peur. Je veux pas être mené par ces gens là , pas plus que ceux des partis officiel. Je suis anarchiste, je peux me défendre seul. Comment dire? C'est Pâques on veux nous faire croire à une nouvelle résurrection. Je pense souvent aux rapporteurs infiltré dans ce genre de choses, les gens font preuves d'une belle naïveté. L'indépendance se feras comme pour l'Algérie avec du sang. Ceux d'en face ne discuteront pas trop occupé qu'ils sont a compter leurs belles piastres. Je sais très bien qu'il n'y a pas d'avancée sans lutte. Je veux être plus radical que les radicaux. Je me retrouve a faire comme eux sans leurs moyens. J'y crois quand même au pays. Je suis rouge anar et bien seul. Que feront ils quand on simuleras une noyade quand on leurs arracheras les ongles ou brancheras le groupe électrogène à leurs couilles. Ça prend des hordes de combattants pour remplacer ceux qui tomberont incarcérés dans les Guantanamos de l'ennemi. Ils ont la main sur nos richesses ils ne les rendront pas facilement. J'ai l'air d'un singe qui imite les discours militant de Nous? Libre mais comment? Libre de faire des courses de camions dans les rues de l'Abitibi, libre d'avoir une voiture polluante, libre de me dire quoi penser parce que je suis du peuple des fous des aliénés et que je collabore avec ceux qui veulent me réinsérer. Hé oui je suis un pauvre fou mais je prend la responsabilité de ce que j'écris. Je sais très bien que ce n'est pas une question d'argent et que dans les chaumières d'Hochelaga-Maisonneuve ce soir on écouteras Star Académie sans trop se poser de questions. La loi et l'ordre règneront, sans se gèner ils me couperont les pouces pour faire de moi un vrai invalide, un vrai estropié. Je me donne trop d'importance je ne suis rien j'ai aucune importance pour la suite des choses. Je veux être du nombre, de la cohorte de ceux qui inventeront le pays, le pays du bout des mots a réinventer malgré les malicieux, les sans scrupules. Je ne ferai pas un pays avant de m"être transformé, avant d'aller mieux, quand je me soigne c'est en vrai mégalomane tout le Québec que je soigne. Je veux un pays pour aimer les gens qui y vivent. Je m'excuse de m'inspirer de vous les grands les vrais artistes ça viens après coup. C'est difficile cette "parole" sur le web ça compte pas. Nous les petits nous le peuple des blogs on a pas droit à l'existence, eux avec leurs subventions du conseil des arts parlent pour nous, notre engeance ne devrais pas exister, la parole par ce moyen on y a pas droit et surtout faire le béni oui-oui, le consensus parce qu'eux ont les beaux mots, les belles formes et que je ne peux les attaquer. Je ne vous attaque pas je saurai bien partager le grain de l'ivraie. Je vous l'avoue l'argent me corrompt. Je ne suis pas parfaitement honnête. Je cherche les coeurs purs pourtant je le répète je suis fou, fou d'un pays faute de village, peut-être artiste plagiaire... La folie ne me dédouane pas, je suis responsable, responsable d'habiter décemment le pays, le pays du Québec a venir... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Berny

jeudi 5 avril 2012

Here is something for you and me


Bonsoir! Bonjour! Minuit trente trois, vendredi saint le symbole religieux le plus sanglant de la religion chrétienne. J'écris symbole mais pour ceux qui ont la foi c'est la réalité, le Christ est mort pour nous sauver. Un long calvaire mais pour certains c'est de l'ordre de l'anecdote. Les religieux ont tellement abusés de l'Histoire je pense à la toute puissance de l'Église à une certaine époque et même au Pape conservateur Benoît XVI. Faut jamais oublier que Dieu est amour qu'Il n'exclus personne qui qu'il soit quoi qu'il fasse. Un petit cours de pastorale... Je crois qu'on a tous notre chemin de croix, qu'on meurt tous pour revenir à la vie, Dieu veux veux pas il nous rattrape, il attend juste qu'on fasse appel à Lui. La prière on néglige tous ça mais avec un peu d'humilité on y arrive. On rend grâce à plus grand que soi en espérant que notre petite voix soit pas comme une bouteille à la mer mais se rendras directement à Dieu. Que sa volonté soit faite et pas la mienne. Je pense au Vendredi saint gris de ma jeunesse sans le vouloir on étais déjà mortifié, on la trouvais bien longue la messe du vendredi saint parfois on jouait avec les bancs d'église. C'est tellement grave ce jour les enfants comprennent pas et prient faute de mieux. Je pense au pardon à comment c'est important quoi que je n'ais pas subis de grandes offenses dans ma vie. J'essais quand même de pardonner même si mon pardon n'est pas absolu y'a que Dieu qui peux faire ça. Je cherche la sérénité le calme, un peu de méditation ça aide. Le goulag est calme cette nuit, le goulag c'est presque le quartier gay et on recycle Pâques dans un bal en blanc à la musique techno tonitruante. Faut croire que les hommes ont toujours besoin d'un rituel, sacré ou profane. Hier dans l'autobus j'ai vu un jeune gay si magané, je crois que la dope qui fait aussi partie du rituel, l'avait atteins neurologiquement. Pour moi c'est bien de faire la fête mais ça prend une raison, la meilleure c'est de savoir que je suis sauvé. Le bal en blanc selon moi c'est pas un sauvetage c'est une fuite dans le mode de vie festif. En blanc, comme un oeuf? Les lapins, les poules en chocolat en voilà un symbole profane qui viens je ne sais d'ou, bon une petite recherche sur Google... Les cloches sont à Rome, j'essais d'imaginer ce que c'étais Pâques à Montréal quand toutes les cloches de tout les clochers sonnaient ça devait être beau. Je crois aussi que c'étais l'équinoxe le vingt et un mars, le printemps et toute sa joie, les outardes qui reviennent et les érables qui coulent. Je vous parlerai pas trop de sirop au Lac-Saint-Jean ma terre natale y'en a pas je crois mais y'a quand même le chocolat des pères trappistes. Je pense que je mène une vie de moine a me lever si tôt, j'attend juste l'office et les chants grégoriens. Bon! En ce vendredi saint je vous dirais de faire une prière pour moi même si vous croyez pas. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Eggy Berny

mercredi 4 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je reviens à une phase diurne. La neige est toute fondue dans le goulag. Ils ont nettoyé les trottoirs. C'est le silence dans ma tête. Avant on appelait cette semaine la semaine sainte. Il y avait un rituel tout les jours à l'église. Une jeune fille à la coiffure de moufette passe devant chez moi... Je prend tout mon temps pour vous écrire. Vous rappelez vous des vendredi saint ou la vente d'alcool était interdite, les soiffars qui n'avaient pas fait de réserve étaient malheureux à sec. C'est de la vieille histoire. Le goulag va être vide pour les congés fériés. Je vous parlerai pas de Dieu de peur d'être accusé de prosélytisme. C'est une journée grise mais y'a des éclaircies. Une voiture au silencieux brisé... Dans le parc y'a de gentils petits chiens. J'essais de descendre dans mon âme pour vous parler de ce qui s'y passe mais j'y arrive pas, c'est pas le confort ni la sérénité c'est un vide existentiel je dirais, ça me prend l'autre, l'autre qui me questionne qui m'interroge vous êtes celui là, l'autre par qui la foi arrive, l'autre avec qui je partage... Les chemins de Dieu c'est pas les plus faciles, j'ai l'air d'un vieux curé défroqué mais avez vous l'âme en paix? Souvent pour éviter d'être en contact avec le côté le moins radieux de notre âme, on met du hard rock le volume au fond et on crie jusqu'a ce que ces cris deviennent des pleurs. Pour certains d'entre vous je sais que les mots sont pas si importants, ce sont les gestes mais moi les gestes sans les mots j'y crois pas. Je suis là j'écoute... J'écoute mon coeur battre, le matin l'angoisse est loin mais faut quand même meublé les heures... Je pense à mon lecteur designer retraité de l'Outaouais. Je crois pas qu'il ais de la difficulté a meublé ces jours. Je le salut ici. Le soleil est là c'est un baume pour l'âme, lentement l'herbe verdis. Ouais!!! La grève c'est pas fort pour ceux qui ont voulus effectuer un retour aux études. Le grand et trop rare Stephen Faulkner à la radio... Le voisin se promène sur la passerelle. Je crois qu'il aime pas le labyrinthe d'escalier intérieur. Je veux trop, je veux trop mettre en mots, les mots ça se manie avec parcimonie elle est là la vrai poésie. À quoi ça sert d'écrire tout ça? Je m'exprime et tente de vous toucher. J'ai perdus le numéro de téléphone de ma douce au travail. Je veux aller au théâtre mais je sais pas quand elle seras disponible. Je vais attendre à la semaine prochaine. Je cherche trop votre affection, je demande la lune, suis puéril, pourtant ça m'apporte du bonheur de vous écrire, y'a des contrôleurs qui montent dans l'autobus pour savoir si vous avez acquitté le droit de passage, ça c'est plus prosaïque. Avec un peu de chance l'écriture m'amèneras dans un ailleurs meilleur. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j"espère!!!

Kindly Berny

lundi 2 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je suis une horloge qui sonne les heures dans la nuit. Insomnie, j'ai rêvé et je ne me rendort pas comme toujours c'est le silence j'entend que le frigo. Je bois mon café en pensant à ce que je vais vous écrire. Je me réveille lentement. Les étudiants sont toujours en grève je les appuie. Chez moi y'a une lampe qui fait de la lumière qui ressemble à celle du soleil. Je souffre moins et mon texte semble moins réel, la lancinante douleur de l'angoisse dort encore, je pense à Léo Ferré, à l'affiche rouge, l'autre fois je racontais à ma douce comment c'étais difficile de raconter l'histoire, on a que des perdants, Montcalm, les patriotes de trente sept trente huit, octobre soixante dix, les référendums on peux pas parler d'un pays avec ça. Les anglais eux racontent la conquête Durham entre autre, magnanime ils nous ont laissé le code Napoléon et le français sans parler de la religion. Je m'égare dans mon goulag du centre-sud, anyway comme dirais l'assimilé je ferai pas le pays avec ma douleur mentale mon angoisse chronique, l'occupant m'éliminerais rapidement. Hé oui! L'occupant! Charest est de ceux là qui brade notre pays au plus offrants plus de claim mais des encans, moé avec ce gouvernement là j'arrête pas de pensés à Duplessis bien que je ne crois pas, j'ai pas d'enfants, que l'argent fasse le bonheur souvent ce qu'ils veulent c'est pas de l'argent mais du pouvoir. Je me fouille dans le nombril me donne une importance que je n'ai pas. J'ai besoin d'humilité... J'aime la solitude du petit matin, je ressent une certaine liberté. Je pense à cette femme au colloque qui m'a traité de pédale, c'est certainement mon imagination un malaise qu'elle avait. C'est difficile de vous parler de ça là, cette douleur de célibataire, cette écriture qui m'assimile aux gays... J'ai parfois le sentiment d'être victime de discrimination. J'ai un ami qui dis que je suis marginal et que je dois vivre avec. La marge j'ai toujours été dedans, la marge comme un mariage pour le meilleur et pour le pire. Je cherche en mangeant les petites menthes qu'on m'a donné au colloque. C'est difficile l'angoisse ne me serre pas la poitrine. Ce matin je veux pas faire trop court, je veux vous en donner pour votre argent. Je sais que notre lecteur sinophile reviens aujourd'hui on lui souhaite bon retour. Je vous fait toujours des confidences j'ai pas de jardin secret, j'étale et j'écris ma vie intérieure du mieux que je peux. J'étais heureux de me réveiller ce matin de savoir que ce n'étais qu'un cauchemar. Je suis big dans rien. Ce n'est qu'un humble blog de beauf comme il y en a des millions. Je vous remercie quand même d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine je l'espère!!!

Lundi Berny