mercredi 4 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je reviens à une phase diurne. La neige est toute fondue dans le goulag. Ils ont nettoyé les trottoirs. C'est le silence dans ma tête. Avant on appelait cette semaine la semaine sainte. Il y avait un rituel tout les jours à l'église. Une jeune fille à la coiffure de moufette passe devant chez moi... Je prend tout mon temps pour vous écrire. Vous rappelez vous des vendredi saint ou la vente d'alcool était interdite, les soiffars qui n'avaient pas fait de réserve étaient malheureux à sec. C'est de la vieille histoire. Le goulag va être vide pour les congés fériés. Je vous parlerai pas de Dieu de peur d'être accusé de prosélytisme. C'est une journée grise mais y'a des éclaircies. Une voiture au silencieux brisé... Dans le parc y'a de gentils petits chiens. J'essais de descendre dans mon âme pour vous parler de ce qui s'y passe mais j'y arrive pas, c'est pas le confort ni la sérénité c'est un vide existentiel je dirais, ça me prend l'autre, l'autre qui me questionne qui m'interroge vous êtes celui là, l'autre par qui la foi arrive, l'autre avec qui je partage... Les chemins de Dieu c'est pas les plus faciles, j'ai l'air d'un vieux curé défroqué mais avez vous l'âme en paix? Souvent pour éviter d'être en contact avec le côté le moins radieux de notre âme, on met du hard rock le volume au fond et on crie jusqu'a ce que ces cris deviennent des pleurs. Pour certains d'entre vous je sais que les mots sont pas si importants, ce sont les gestes mais moi les gestes sans les mots j'y crois pas. Je suis là j'écoute... J'écoute mon coeur battre, le matin l'angoisse est loin mais faut quand même meublé les heures... Je pense à mon lecteur designer retraité de l'Outaouais. Je crois pas qu'il ais de la difficulté a meublé ces jours. Je le salut ici. Le soleil est là c'est un baume pour l'âme, lentement l'herbe verdis. Ouais!!! La grève c'est pas fort pour ceux qui ont voulus effectuer un retour aux études. Le grand et trop rare Stephen Faulkner à la radio... Le voisin se promène sur la passerelle. Je crois qu'il aime pas le labyrinthe d'escalier intérieur. Je veux trop, je veux trop mettre en mots, les mots ça se manie avec parcimonie elle est là la vrai poésie. À quoi ça sert d'écrire tout ça? Je m'exprime et tente de vous toucher. J'ai perdus le numéro de téléphone de ma douce au travail. Je veux aller au théâtre mais je sais pas quand elle seras disponible. Je vais attendre à la semaine prochaine. Je cherche trop votre affection, je demande la lune, suis puéril, pourtant ça m'apporte du bonheur de vous écrire, y'a des contrôleurs qui montent dans l'autobus pour savoir si vous avez acquitté le droit de passage, ça c'est plus prosaïque. Avec un peu de chance l'écriture m'amèneras dans un ailleurs meilleur. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j"espère!!!

Kindly Berny

lundi 2 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je suis une horloge qui sonne les heures dans la nuit. Insomnie, j'ai rêvé et je ne me rendort pas comme toujours c'est le silence j'entend que le frigo. Je bois mon café en pensant à ce que je vais vous écrire. Je me réveille lentement. Les étudiants sont toujours en grève je les appuie. Chez moi y'a une lampe qui fait de la lumière qui ressemble à celle du soleil. Je souffre moins et mon texte semble moins réel, la lancinante douleur de l'angoisse dort encore, je pense à Léo Ferré, à l'affiche rouge, l'autre fois je racontais à ma douce comment c'étais difficile de raconter l'histoire, on a que des perdants, Montcalm, les patriotes de trente sept trente huit, octobre soixante dix, les référendums on peux pas parler d'un pays avec ça. Les anglais eux racontent la conquête Durham entre autre, magnanime ils nous ont laissé le code Napoléon et le français sans parler de la religion. Je m'égare dans mon goulag du centre-sud, anyway comme dirais l'assimilé je ferai pas le pays avec ma douleur mentale mon angoisse chronique, l'occupant m'éliminerais rapidement. Hé oui! L'occupant! Charest est de ceux là qui brade notre pays au plus offrants plus de claim mais des encans, moé avec ce gouvernement là j'arrête pas de pensés à Duplessis bien que je ne crois pas, j'ai pas d'enfants, que l'argent fasse le bonheur souvent ce qu'ils veulent c'est pas de l'argent mais du pouvoir. Je me fouille dans le nombril me donne une importance que je n'ai pas. J'ai besoin d'humilité... J'aime la solitude du petit matin, je ressent une certaine liberté. Je pense à cette femme au colloque qui m'a traité de pédale, c'est certainement mon imagination un malaise qu'elle avait. C'est difficile de vous parler de ça là, cette douleur de célibataire, cette écriture qui m'assimile aux gays... J'ai parfois le sentiment d'être victime de discrimination. J'ai un ami qui dis que je suis marginal et que je dois vivre avec. La marge j'ai toujours été dedans, la marge comme un mariage pour le meilleur et pour le pire. Je cherche en mangeant les petites menthes qu'on m'a donné au colloque. C'est difficile l'angoisse ne me serre pas la poitrine. Ce matin je veux pas faire trop court, je veux vous en donner pour votre argent. Je sais que notre lecteur sinophile reviens aujourd'hui on lui souhaite bon retour. Je vous fait toujours des confidences j'ai pas de jardin secret, j'étale et j'écris ma vie intérieure du mieux que je peux. J'étais heureux de me réveiller ce matin de savoir que ce n'étais qu'un cauchemar. Je suis big dans rien. Ce n'est qu'un humble blog de beauf comme il y en a des millions. Je vous remercie quand même d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine je l'espère!!!

Lundi Berny

samedi 31 mars 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! De retour d'un court voyage à Québec, ça fait du bien parfois de sortir de son univers, de se faire servir à l'hôtel. Quand même ce matin je réalise que je suis enraciné dans le goulag. À la radio une émission sur le marché Bye à Ottawa, je pense à mes très chers lecteurs de cette région. C'est étrange je suis partis une journée et je sais plus ou ils en sont rendus avec la grève étudiante... La neige est fondue, on a hate aux chaleurs quand on a rien a dire on parle de la température. Je reviens au je. J'ai vu des taxis à Québec partir quand j'ai voulus monter, y'en avait trois j'ai pris le troisième. L'hôtel Loews Le Concorde j'ai été très bien accueillis par le portier en uniforme, un hôtel luxueux, je le répète j'étais loin de mon goulag quotidien. Y'avait des gens de partout au Québec, j'ai raconté un peu ma pleine citoyenneté dans un atelier. Les gens ont ris je pense que j'ai réussis a dire... Le soleil se lève lentement. Je vais déjeûner... Contrairement à ce que vous pensez c'étais pas star académie il y avait toujours en bruit de fond ceux qui souffrent, ceux là pour qui on essais de mobiliser tout ces professionnels. Comment parler de la souffrance psychique, mettre des mots sur la psychose... Ai discuté des pairs-aidants avec une travailleuse sociale, beaucoup d'appelés peu d'élu comme on dis. Un mot sur les magnifiques représentantes des compagnies pharmaceutiques, de très belles dames. C'est plein jour samedi aux actualités ils ne parlent pas des grèvistes étudiants, c'est plutôt les cennes noires qui vont disparaitre. C'est pas fort mon blog ce matin je me rabat sur ce qu'ils disent à la radio, elles gloussent comme des dindes. J'arrête là. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nowy Berny

jeudi 29 mars 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Cet après midi je vais à Québec essayer de faire ma part au colloque inter-établissement. Je suis nerveux... Je pense aux scripteurs de numéros humoristique au Québec c'est comme si on disait hors de l'humour point de salut, rire, rire, ils ne savent que faire ça. Les poètes sont maudits et les humoristes populaire, faut dire sa prière à la grand messe de l'humour de monseigneur Rozon, grand messe de l'évêché école de l'humour. J'essais pas d"être drôle c'est comme ça et je suis pas jaloux. J'écris mes textes dans mon coin et suis très content d'être lu par vous. À la radio l'extraordinaire chanson Aimons nous d'Yvon Deschamps. Je suis triste et émotif ce matin. Il est deux heure quarante trois ça fait longtemps que j'ai pas ris de bon coeur. L'époque est grave les clowns sont pas ou on pense. Je fait maintenant partie du jury d'un concours photo. Ma photo et mon nom sur une affiche, y'a longtemps ma photo circulait pour une publicité et je me suis planté. C'est des niaiseries que j'écris. Je suis un malheureux pourtant la malédiction me frappe pas. J'ai envie de vous parler de la prière comme un pasteur électronique, je vous prie de prier pour moi j'en ai besoin. Mes thèmes sont souvent les mêmes j'ai de la difficulté à me renouveler, tout ça ça se passe dans mon ciboulot et j'ai bien hâte à la ciboulette fraîche. Silence... La police sort les matraques. J'en ai vu une hier recevoir le spray en pleine face c'est pas du gaz hilarant les yeux devaient chauffer. Y'a pas que le pape qui est allés à Cuba mon lecteur polyvalent y étais aussi. J'ai fait mon lit, ça vous intéresse pas, c'est un problème ça trouver des chose qui vous intéressent. Oui! La prière la force supérieure mais je veux pas faire de prosélytisme. Une question, quand on crois en rien qu'est-ce qu'on fait? Je sais je vous en demande beaucoup me lire à cette fréquence mais je peux pas faire autrement et même les écrivains médiocres mettent parfois fin à leurs vie, vous en faites pas c'est tout ce pan là de la littérature qui est occultée, amenez en des Roger Bontemps on préfère rire que de lire les écrivains graves. Sur un autre plan, irritant lui aussi, la façon de parler de certaines personnes, leurs accents adolescent pour parler comme eux je dirais que c'est pas cool que je suis pas su'a'coche... Je pense à la façon assertive de s'exprimer et oui je peux dire non et ne pas perdre mes amis. Je suis un vieux quinquagénaire et c'est difficile de pas faire la leçon. Bein non! Je suis pas drôle, je sort de la douche, je me suis débarassé de mon parfum de fromage bleu... Hier je lisais les propos de Lucien Francoeur sur l'inculture des cégepiens, je pense qu'ils ont une culture mais électronique qui aide pas pour les vrais relations humaines quand on a une vrai personne devant soi. Je vous laisse là dessus en espérant vous rencontrer un jour. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Ghostly Berny

mardi 27 mars 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je vais essayer de vous faire une chronique de l'intérieur, une chronique de l'angoisse qui vous étreins la poitrine quand vous regardez le goulag centre-sud. Cette nuit l'ordi ronronne plus fort que jamais. Je regarde mon triptyque cruciforme. Le frigo ronronne aussi. Je m'habille, je met le décorum pour vous écrire. Je manque de mots, j'espère toujours la poésie quoi dire des menteries pourtant tout est vrai. Musique arabisante à Rédio-Kénada, rien a dire des arabes ils me laissent indifférent, c'est des propos d'extrême droite? Pourtant j'aime bien Amir Khadir notre député de gauche. La semaine passée je me suis fait dire que je suis individualiste, de droite plus que de gauche.À la radio j'entend une alarme feu. Ça me rappelle la sonnerie de la fin de la récréation. Je cherche à vous décrire l'étât dans lequel j'étais en septième année quand j'ai changé d'école, c'était un grand stress une grande angoisse, on n'imagine pas. Bon! Mon lecteur désigner à la retraite de l'Outaouais va pouvoir fréquenter les bordels de l'Ontario et je parle pas de la chambre des communes quoi que les péripatéticiennes sont pas mal communes. J'ai des démangeaisons aux doigts, pourtant... Je croyais avoir tout dis, me manque juste que la grille pour le confessional vous êtes mes confesseurs, y'a pas de féminin mais je vous avoue que je suis plus con fesseurs, je fesse et fesse dans le mur, me fait mal. Je respire de grandes inspirations du nez mais non je suis pas cyrano. Va falloir que je renouvelle mes thématiques, la grève étudiante se poursuit je les appuie mais quand je pense au néo-nazi de mon cours de traduction au cégep, c'étais pas fort, j'espère que le niveau a monté. On souhaite joyeux anniversaire à notre lectrice nouvelle maman et puéricultrice de Saint-Lin Je suis un pauvre fou, pauvre fou qui essais de mettre en mots la nuit, la nuit blanche et c'est noir étrangement la nuit je souffre moins et c'est comme si j'avais plus rien a vous dire. La nuit on se sent moins coupable d'être sans travail et y'a personne qui va me harceler à trois heure du matin mais juste des petites choses comme l'emballage de tisane qui a changé comme si dans ma solitude on avait placé une nouvelle boîte dans l'armoire. Je sais pas si vous comprenez. Cette semaine j'ai eu une réponse par la télévision, y'a quelques années j'ai vu une projection sur les murs de Radio-Québec ça m'avait bouleversé, je crois qu'ils expérimentaient pour Montréal en Lumière mais j'étais convaincu que j'hallucinait qu'on me persécutait avec cette énorme pendule projeté sur le mur. De la vidéo projection sur des écrans urbains. Je crois que je vous ai pas encore parlé de l'effet que ça me fait de voir les petits caractères remplir l'écran. Ça me rend joyeux je trouve ça beau comme si je gravais sur de la pierre... Jean Lapointe à la radio un vieux tough. L'écriture c'est un vieil art, un vieil art qui se dégrade sur internet. J'essais de faire de mon mieux d'avoir mon orthographes correctes. Je vous laisse réfléchir à ça et vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Wordy Berny

samedi 24 mars 2012

Here is something for you and me


Bonjour1 Bonsoir! Je sais bien n'être qu'un gros bébé pourtant écrire c'est pas un jeu d'enfant. L'autre jour je parlais avec ma douce du long soliloque dans ma tête, ce "discours" toujours présent et de comment j'aimerais faire autrement, ça parle tout le temps. La nuit comme ça j'écoute en écrivant. Je fais le tri dans mes pensées ça me donne l'impression d'avoir un certain contrôle sur les "voix". Ça discute ça se dispute dans mon ciboulot depuis des années. Je me bat moi contre moi. Je ne gagne jamais la morbidité est toujours présente. La folie c'est ça. J'espère que vous n'avez pas peur cette voix c'est parfois un ami imaginaire un peu comme un adolescent autiste. J'arrive toujours a me concentrer a jeter mon mal sur le clavier. Cette nuit j'ai fermé la fenêtre et j'ai dormis, encore là je suis somnanbule et je rêve bonsoir sommeil paradoxal. Certaines personnes croient que je fait les choses parce que je ne les trouves pas intéressantes. Je trouve tout le monde intéressant mais j'ai de la difficulté a communiquer dans la réalité. Quand la nuit arrive je suis fatigué et je me dénigre. J'ai pas besoin des autres pour le faire c'est une fausse humilité, une humilité de malade qui s'abaisse, s'auto-flagelle. Hier je me suis couché en réfléchissant sur le pardon, le pardon à soi et aux autres c'est difficile. Ce matin je trouve pas ça va à gauche à droite, ça rebondis comme une balle de ping-pong. J'aimerais bien trouver la paix m'asseoir et n'avoir que la sérénité dans la tête, que tout va bien, que tout va bien aller. Y'a une moto silencieuse qui passe dans la rue, de la discrétion... Cette semaine on m'a demandé si je faisait de la musique, si j'étais musicien, parfois oui mais j'ai pas envie d'aller jouer dans les C.H.S.L.D. j'irai bien assez tôt, les sens cognitifs sont pas trop amôchés malgré tout ce que j'ai pu écrire. J'ai encore un sens moral, hier y'a eu ce vieil idiot qui s'est adressé à un ami d'une façon dénigrante, les gens sont parfois méchants. Grève à Air Canada, grève des étudiants y'a de l'action ce printemps, le progrès, le vrai progrès est en marche. L'hymne national, Rédio-Kénada moi je vous veux sur ma fréquence blog avec votre modulateur démodulateur, Michel Rivard à la radio. Je crois que les artistes aiment pas qu'on les nomment sur les blogs pourtant y'a pas de copyright sur leur patronyme. Je me sent toujours au bord des larmes y'a longtemps que j'ai pleuré. Ça me ferais du bien, les sanglots longs, pour aujourd'hui la folie je la laisse derrière, les gens aiment tellement crier qu'ils sont normaux mais qu'est ce que le normal? Je m'accroche au quotidien faire mon lit, déjeûner, une lecture spirituelle et voilà la journée est partis. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Kindly Berny

jeudi 22 mars 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Quand vous lirez ceci je serai pas chez moi. Je m'en vais à la cabane à sucre. Je sais pas ce que ça fait aux érables une chaleur pareille si tôt dans l'année. C'est épeurant, la chaleur ça toujours un parfum de fin du monde. Chez moi les fenêtres sont ouvertes j'entend la circulation mais vous l'avez déjà lu celle là. J'écris pour garder le rythme pour activer la stupeur. Hier je me suis entendus lire Une charogne de Baudelaire, après ça si j'étais moins orgueilleux j'arrêterais d'écrire. J'ai une toune des Colocs dans la tête C'est Paysage un texte du même Baudelaire mis en musique par DéDé Fortin le regretté. Je sais pas si vous êtes comme ça vous autre mais quand les choses vont pas a mon gout je veux mourrir. C'est idiot ça me rend deux fois plus malheureux c'est une attitude de bébé gâté. Pouquoi je pense à Adjutor en me curant le nez. Je veux être premier dans je ne sais quoi, réinventer l'écriture avec la durée sur la toile. Cette semaine j'ai regardé Vie d'Ange du grand Pierre Harel du grand cinéma avec très peu de moyen, un peu choquant et pornographique mais je ne me suis pas ennuyé. J'entend des pas comme si on écrasait une boîte de Rice Crispies un travail de bruiteur.. Je médite devant l'écran, j'appelle la paix le calme, voilà le Vaisseau d'or, "Que reste-t-'il de lui dans la tempête brève? Qu'est devenu mon coeur, navire déserté? Hélas! Il a sombré dans l'abîme du Rêve! Y'a mon ami Ronald qui étais dans le documentaire cinématographique L'abîme du rêve, un film a voir si vous vous intéressez à la maladie mentale, Ronald et ses angoisses schizophrénique on se ressemble là dessus... Le raisonnement dans la maladie faire la part des choses malheureusement ma folie est bien réelle et soudain John Lennon, une autre chanson que je vais vous épargner. C'est la chronique poétique et musicale cette nuit. Une autre chose que vous ne faites pas j'en suis certain, vous grattez le dos avec un couteau... J'aime la nuit son calme, sa paix, ici il va s'en dire il y a d'autre édifices ou c'est beaucoup plus agité. Je me sent vide pourtant je ne souhaite pas remplir mon âme avec n'importe quoi de blessant comme si je mettais les pieds dans du verre cassé et espérais m'en tirer. J'ai pas de corne sur la plante des pieds, j'ai des pieds de bottes d'hiver, de bas de laine et de feutre mais ce matin je vois arriver le zozo en bas de laine et en sandales. Je veux vous en donner pour votre argent... Argent? J'oubliais je suis pas payé pour écrire ça, c'est moins payant que le crochet d'une de mes espérés lectrices de la rive-nord, qu'ici je salut bien bas sans oublier le petit Théo. Je sais bien que pour certains les considérations familiale c'est pas de la littérature, ici je parlerais d'épistolaire du vingt et unième siècle. Le support est différent mais le propos reste le même. Bon le centre-sud se réveille, le camelot pour les journeaux, les chiens qu'on promène et les gens qui se cherchent un coin pour cuver le vin de la nuit. Ici je viens de vivre un moment de souffrance, une ancienne voisine qui ne va pas bien a sonné à la porte de l'édifice, sans argent pour payer son taxi elle est rachitique. Je sais qu'elle souffre qu'elle tente de sortir de la maladie. C'est triste mais elle y arriveras pas comme ça, l'itinérance, la rue c'est jamais bien... Non c'est pas l'été mais on essais quand même de s'évader. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nightly Berny