mercredi 22 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je vous écris du milieu de la nuit, l'ordi ronronne voilà ma prose encore une fois. Je regarde dehors il ne neige pas. J'ai les mains qui démangent, c'est de l'eczéma. Je pense à la pleine citoyenneté dans le rétablissement à comment faire fi de la maladie. Ce chemin que j'ai emprunté c'est parce que j'étais malade comment je me suis brisé pour l'amour de mes amis. Lentement je me rétablis avec un peu d'esprit est apparue une accalmie. Je sait bien que dans l'actualité y'a des choses plus intéressantes que ma petite personne. Je n'est pas un autre c'est moi, tout moi. Je suis réveillé très réveillé, les muses de la nuit me poursuivent pour que j'essais de dire. Dire! Un éditeur français a dis que l'écriture c'est pas de l'expression mais qu'est-ce que c'est? Je suis probablement l'idiot congénital qui comprend rien, on ne s'exprime pas mais quoi!!!? J'aimerais savoir les platitudes que ce monsieur a pondu, mais oui on ne s'exprime pas on pond et on caquette comme une poule sur la grenaille littéraire. Je crois que je vais cesser de lire ça raconte trop, on s'exprime trop ils ont pas le génie de travailler le style et la forme, je dis ça c'est de la bêtise. Les écrivains ça n'existe plus on a que des marchands de romans construit comme au dix neuvième siècle, y'a rien de mal ça vend et bientôt l'académie. Pendant ce temps là je me gratte les testicules. Je vous laisse quelques minutes pour faire bouillir de l'eau pour le café. Malheureusement j'ai pas de visions comme les grand poêtes, je peux pas vous écrire des anti-psaumes... Voilà j'ai mon café, je pense à cet ami qui a un bec-de-lièvre ça fait des années que je l'ai pas vus, il habite en banlieue sur la couronne nord et j'y vais jamais. Je crois que j'ai un lecteur mouleur qui travaille dans une avionnerie je le salut ici. J'aime bien les avions ça me fait rêver me donne le désir de partir mais pas en Tunisie comme ce gay que je croise parfois. Les pays du maghreb c'est beau mais instable. Mon texte aujourd'hui c'est un bébé mort-né on entend même pas le cri et le cordon ombilical sert à rien. Mon nombril, mon nombril sans placenta, l'écriture a crevé les eaux mais je suis pas assez fort pour survivre à l'air ambiant, le texte il est pas prématuré il est juste mort à la naissance. J'accouche de rien...Dolly Parton à la radio, I will always love you, c'est ce que je dis à ma douce qui j'espère va me lire. Je mange des bonbons à la menthe, pourquoi je vous raconte ça? Je sais pas pourquoi je suce des bonbons... Je pourrais écrire candy's suck mais c'est pas ça j'aime les bonbons. De la musique brésilienne comme au carnaval de Rio... "si tu vas à Rio n'oublie pas de monter en haut". Je me répète j'ai déjà écris ça sur un autre post. Cette nuit je vois des étoiles entre les mots, elles filent, elles filent laissant traîner les mots. Bon voilà c'est un texte nébuleux... C'est pas finis tant que c'est pas finis disait le coach. Ils se passe rien, dehors y'a pas de circulation dans quinze minutes c'est la fermeture des bars, le last call, il y en a qui vont sortir saoul sans savoir ou coucher, ils vont attendre l'ouverture du métro pour aller s'étendre sur le sol au chaud... Le vrai désespoir la nuit c'est de n'avoir plus rien a boire pour endormir, geler, cette douleur indicible....Et moi je sais pas quoi faire avec le code, je sais très bien qu'ils viennent chercher de l'information, "Twenty first century schizoïd man" Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nightly Berny

lundi 20 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Lundi trois heure trente sept. J'ai pris un café mangé un yogourt. C'est la nuit, une émission sur l'histoire des noirs à Rédio-Kénada. Je suis somnolent. Ai finalement retrouvé le début de ce texte. Je pense à Verlaine et ses vents mauvais, à une chanson aussi. J'enfle...saloperie de metamphétamine, ce fou qui a tué le bon samaritain qui l'hébergeais. Tout le monde est sur ses gardes on a peur de l'autre, la schizophrénie a encore frappé, un mort avant de bouger. Je pense à la virilité ça aucun rapport avec ce qui précède. J'avais un voisin gay qui recueillais de jeunes garçons, il y avait souvent des problèmes chez lui, la police passait souvent... J'ai une blessure dans l'oreille je la soigne avec un bâtonnet de coton. Ce matin j'ai une réunion du groupe d'entraide, il y a une personne à qui les réunions sont contre indiquées, je devrai présenter la question et en discuter. Y'a des gens qui n'arrivent pas a gérer l'intensité, nous ne sommes qu'une étape dans le rétablissement. Comme toujours c'est décousu j'aurais besoin de petites mains comme on les appelles dans la confection vestimentaire. C'est pas de la dentelle... La ville dort encore, la neige a fondue c'est un étrange février. J'ai plus de lait je bois mon café noir, je veux pas vous inventer d'histoire c'est que moi avec moi, la nuit qui bat, hier au hockey on a perdu la course aux séries est difficiles. Sur la toile on ne dois rien dire que sa mère n'aimerais pas. Je cherche encore a savoir si ce que j'écris c'est de la littérature, y'a pas un éditeur papier qui oserait m'éditer et je médite faute d'être éditer. La table est remplie de kleenex utilisés, des papiers mouchoirs souillés, j'ai un gros nez et tout ça c'est des niaiseries y'a des choses plus importantes dans la vie mais quoi? Y'a de nos lecteurs de l'Outaouais qui déménagent, on leurs souhaite la meilleure des chances et bravo pour la grande cour pour les enfants. Je rajoute à la pléthore d'informations qui nous sollicitent. Je me gratte avec toujours la première personne du singulier. Je suis pas si singulier plutôt pôtache. Je sais pas si ma lectrice puéricultrice est en grève, si oui on lui la souhaite courte. Je crois que j'ai terminé pour aujourd'hui. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nighty Berny

vendredi 17 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Quatre heure du matin, j'écoute les actualités Garry Carter est décédé, ça me rappelle les expos et le parc Jarry... J'étais mauvais joueur mais excellent fan, à la radio Nuance et Vivre dans la nuit. On l'entend bon an mal an une fois par année celle là. Une chanson qui viens de l'Outaouais je salue donc mes lecteurs de cette région pour cette grande oeuvre... Vivre dans la nuit j'ai connus ça le bar qui ferme à trois heure, les visages que tu distingue à peine et le désir que la nuit ne s'arrête pas, les after hours un genre de speakeasy ou tout le monde délire noyé dans l'alcool payé le prix fort. C'est pas vivre mais mort dans la nuit, en nourrisant sa toxicomanie coulant comme une épave, a living wreck... Tout ça c'est de n'être jamais à sa place toujours dans des junks sales et louches, on sait pas qui vole qui, le jour arrive et nous prend épuisé sous tension, impossible de dormir à moins d'avoir des médicaments. La vie de junkie c'est pas la vie de mon père, ça longtemps été la mienne mais j'en suis sortis. Ils s'en trouvent certains qui vont juger mais je demande plutôt de pardonner. Je fait amende honorable. Y'avait une porte pour sortir de tout ça et je l'ai pris, maintenant ça va mieux, j'ai rien a caché, j'ai tout raconté et on m'a pardonné. Pour paraphraser la chanson maintenant mes blues passent dans la porte, je suis un homme sobre et libre. Je pense aux stygmates de psychiatrisés comment c'est difficile d'être sur le même pied autant y aller à fond et se couvrir du manteau de la maladie pour être bien pour être mieux. Je veux surtout pas être une victime à tout les jours je fait des choix qui ne concernent que moi, victime, persécuté je tiens ça loin de moi. Des histoires comme la mienne y'en a des milliers, ce matin c'est pas très inspiré, la nuit je m'ennuis, j'attend la lumière du jour et je me réjouï de pouvoir vivre une autre belle journée. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Slowly Berny

mardi 14 février 2012

Here is something for you and me


Bonsoir! Bonjour! Je suis en grave crise d'expression... À la télé j'ai vu la France sous la neige, ici il fait à peine zéro. Le goulag est doux, mon exil psychique a des sursauts maladifs. J'ai envie de pleurer, je suis fatigué de cette folie douloureuse. J'aimerais être un peu sensé et pas mettre les mains dans le guêpier. Je sais plus on monte plus la chute est dure... Je tomberai pas je suis déjà écrasé comme une crêpe tournée cent fois. C'est terrible cette absence de mot cette impossibiltée de nommer ce qui me fait souffrir, cette incapacité a vivre certaines émotions sans distortions. Mais non! C'est pas une chanson c'est une plainte un long cri de douleur parce qu'as's't'heure, justement cette heure qui fout le camp vite remplacée par une autre qu'on ne vois pas venir et qu'il y a la fin et je ne suis que ça un pauvre blogueur dépendant de sa machine comme l'homme dans les cavernes de Lascaux. Je grave le virtuel, je peint l'écran de symboles alphabétiques. Oui cyberdépendant pourtant je ne cherche pas a me matcher, dans le parc en face ils promènent les chiens on parle pas de caninodépendance... Quoi dire encore? Ça fait mal une douleur sourde un malaise d'être qui essais de me faire tout abandonner, j'ai de la misère a croire que tout est perdu. Vous ne vous en faites pas, moi si, j'aspirais a quelque chose de bien je ne suis devenus qu'un pauvre type qui cherche l'approbation et l'amour, c'est quoi ça? Fuck la romance!!! Aujourd'hui on m'a demandé ce qu'étais un narcissique, j'ai pas su quoi répondre, il étais pas question que je me noie dans la mare, à toute les fois que je vous écris c'est de moi qu'il s'agit mon sujet le moi narcissique, je me vois dans ce que j'écris et c'est de la folie, de la folie de civilisé, de la folie acceptable pas de la folie regrettable. J'aimerais bien qu'elle disparaisse cette douleur au fond de mon âme, dire et dire pour panser mon mal pour suturer la plaie. C'est pas rigolo aujourd'hui, comment ça s'appelle une angoisse existentielle? Je vous en veux pas les angoissés on les aime pas beaucoup ce sont des gens a faire des saloperies... Mais non, mais non... Ce soir combien somme nous a bloguer, a étaler nos étâts d'âme sur la toile, la toile ça fait pensés à la peinture. Bon j'arrête de vous faire ch...!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Anxiety Berny

dimanche 12 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! On écoute de la belle musique des familles, dehors c'est le vrai février, froid et sec. J'aimerais beaucoup vous toucher aujourd'hui, je suis pas dans le désarroi, je crois toujours que la souffrance est un moteur pourtant j'ai pas mal. Y'a une chanteuse pop qui est décédée, Dieu ais son âme... J'ai pas regardé la nouvelle en détail... La mort on en parle toujours sans savoir, personne n'est venu nous raconter comment c'est l'autre bord, parfois on se fait des idées bien infantiles du paradis. Moi j'ai cessé de vouloir mourrir ça viendras bien assez vite. J'ai lavé mon manteau d'hiver comme Raphaël Nadal avec des balles de tennis voilà que je tombe dans la niaiserie heureusement je suis pas neurochirurgien, y'a pas de vie en jeu. À moins que vous soyez désespéré et que lire ceci soit votre dernier recours. Si ça va mal contactez moi j'ai de bonnes oreilles, parler ça peut faire des miracles. La crotte sur le coeur que vous avez partagez là. Je sais tout ceci est bien moral on dis souvent ce qui ne s'exprime pas s'imprime, là je pense à ce psychanalyste qui ne crois pas aux vertues curatives de l'écriture comme disait ma douce, il prêche pour sa paroisse pour lui écrire si c'étais suffisant on aurais plus besoin d'analyste mais de toute façon on guéris jamais, on s'apaise, on se calme, on accepte, l'écriture aide a faire tout ça et encore mieux quand on a des lecteurs. Une fois dans sa vie il faut faire l'inventaire et le raconter à sa confidente, son confident, ça allège, ça enlève un poids, on est bien peu de choses, l'univers continu de tourner même si on a avoué toutes nos bêtises. Quand même il me reste un peu d'orgueuil, je vais pas vous raconter mes gaffes sexuelle ici c'est matière à rigolade mais entre initiés. Quand on va mal faut se demander si c'est grave, souvent je dirais même la plupart du temps ça l'est pas la vie suis son cours. Je sais bien que vous pouvez tous continuer a vivre sans ce blog, ici y'a rien d'indispensable, c'est de la fantaisie, du superflu, un clin d'oeil que je vous fait, on croirais entendre le célèbre Boubou, Jacques Boulanger à son émission télé du midi. C'étais y'a longtemps à l'époque des midis perdus dans l'éther et les absinthes... Bon! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Coffee Berny

jeudi 9 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Rédio-Kénada nous paye la traite avec les Cohen, le père et le fils. Je les aime bien mais faut pas abuser. Aujourd'hui je sais pas trop quoi dire, j'écrirai pas Alléluia y'a un copyright dessus quoi que le copyright et internet c'est antinomique. Il est trois heure trente sept, j'ai rêvé à un ciel bleu de nuit et à un projecteur très puissant qui m'éblouissait. Aujourd'hui c'est la journée de l'hebdomadaire culturel, j'aime bien y lire les chroniqueurs c'est le seul journal que je lis. Ce matin j'ai la tête vide, comme toujours vous allez me dire mais j'ai aussi le nez plein d'une sinusite... C'est tout simplement niaiseux ce que j'écris, à la radio des ateliers sur la violence en français en Ontario... Vous avez compris que c'est dans les écoles. Moi je me souviens pas d'avoir vécu de la violence à l'école sauf quand on est déménagé à Terrebonne mais je l'avais bien cherché après ça c'est placé, au secondaire j'y suis pas allé assez longtemps, je pense à mon ami du temps Pierre Lauzon, il étais gros et fort. j'ai vu de la violence dans les milieux de travail des gars qui se battaient à la sortie de l'usine. C'est vieux tout ça mais j'ai mangé une couple de poings sur la gueule, des dentiers pétés... Chloé Sainte-Marie qui chante Desbiens je crois, c'est magnifique je cherche sur le site de l'émission si c'est bien une chanson de Desbiens enfin c'est bien bon. Ce matin je vais sortir et marcher au moins une demi-heure, je deviens gros... Étrangement je pense à mes mémorables randonnées à bicyclette vers l'Outaouais... Cet hiver je devrais pas être si nostalgique, la shop qui reviens, l'atelier d'inspection super propre... Hier j'écoutais une émission sur la psychanalyse en somme ça disait qu'elle faisait en sorte non pas de guérir mais de réintégrer le monde actif, le langage du travail, non merci! J'ai déjà donné. Comme je disait à mon lecteur designer à la retraite, je veux pas me faire chier, me casser le tronc... Y'avait ce copain, maintenant au conseil des arts, qui habitais un immense appartement coin Cartier et Sherbrooke, un bel endroit ça fait plus de vingt ans de ça, c'est étrange tout ce temps qui est passé, ça fait peur de savoir que je m'en vais vers la fin... En parlant de fin je termine ici. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nostalgie Berny

lundi 6 février 2012

Here is something for you and me


Salut! C'est encore moi, si vous aviez comment parfois j'en ai assez de manger, de me faire à souper, ça m'épuise rien que d'y penser... Je manque d'imagination culinaire et j'ai pas un foutu de livre de recette. Je me fait des soupes que je mange avec des biscuits salés. Les journées s'allongent mais l'hiver m'épuise , j'ai fermé la gueule de Rédio-Kénada, une chose de plus qui me fait chier... Qu'est-ce que vous avez mangé aujourd'hui? Parait qu'écrire sur la nourriture c'est vendeur, moi je me demande comment évoquer le parfum du fromage bleu. Ma douce me dis que je vais crever par ou jai péché. Je mange trop de gras trans quand même mes artères semblent O.K. J'adore cuisiner avec ma douce, je dois faire attention a ce que j'écris sinon on va arrêter de cuisiner ensemble. Chez moi le comptoir est trop petit... J'ai dégelé des saucisses italiennes pour demain c'est pas de la grande cuisine mais ça fait la job, pour boire ce seras de l'eau ou du Coca-Cola, oubliez le vin j'en ai abusé donc je m'abstiens. Carotte et pomme de terre c'est frugal comme disait l'autre y'a des mots dont on apprend le sens qu'au bistro en voulant dire que c'est copieux on dis frugal et on se couvre de ridicule. Ma douce dis que je suis trop dans ma tête mais j'aime pas être physique, je crois que je vais devenir gros a en éclater à me faire sauter la panse. J'aime pas sortir la nuit et me faire bousculer par les passants. Je crois que je vais aller marcher et je vous reviens... Petite marche d'une demie-heure entre le garage de la S.T.M. et la murale de Gaz Métropolitain, je croyais pas que le temps étais si doux... Comme toujours la première personne du singulier est omniprésente, c'est pas tellement que c'est intéressant mais écrire avec l'autre comme sujet ça me dis rien. J'ai ouvert la porte ça gueule ça jappe et je respire les gaz d'échappement des autobus. Madonna est pas payé pour son show du Superbowl disont qu'elle va profiter des retombées. Y'a un petit hic ses dépenses sont payées combien? Bon voilà pour ce soir. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Bowly Berny