vendredi 6 janvier 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Premièrement je veux remercier tout mes lecteurs qui ont fait des commentaires sur mon spécial Douglas. Merci! Aujourd'hui j'ai marché trois heures dans le centre-ville, ai visité la galerie Vav de Concordia une exposition avec des airs de boutique à bois, pour ceux qui savent pas on appellait boutique le petit atelier de l'ébéniste artisan, des oeuvres de Jackson Darby, John Gunner, Gabriel Baribeau, Maxwell Evans, Simon Zaborski, une excellente recherche esthétique entre le grand art et l'artisanat avec comme toujours un questionnement dans notre position vis-à-vis ces oeuvres. Je me suis aussi procuré un disque du très canadian Gordon Lightfoot dont je me lasse jamais et un livre sur l'état du monde. Ce matin à Rédio-Kénada y'avait une ligne ouverte sur la culture générale, ils ont oublié de dire que lire ça permettait parfois de rester vivant. L'invité était Normand Baillargeon le chantre de l'anarchie à l'U.Q.A.M. c'était intéressant. Comme toujours dans ce genre d'émission y'a une autodidacte qui a téléphoné, j'ai pas réussis a me raccorder à elle. Cette semaine j'ai regardé les actualités de cinq heure et les nouvelles française de France. Un français sur sept est seul. Je pense à l'ami Magre qui me fait l'honneur de lire mon blog dans les vieux pays. Semble que j'ai pas réussis à l'intéresser avec mes textes de Noël et de la nouvelle année. Ils ont fabriqué de la neige sur l'île Sainte-Hélène à Montréal pour en faire un château, une sorte d'hôtel pour ceux qui veulent l'exotisme des grands froids et ou on laisse pas un chien coucher dehors. If you could read my mind une grande chanson de Lightfoot que j'écoute et réécoute, parfois j'aimerais que ma douce lise mes pensées ça m'enlèverais un poids. Je pense à ces gens croisés dans ma dérive, j'étais drifter y'a longtemps. J'ai finalement pris racine dans un petit édifice rue Sainte-Catherine. La vie de nomade urbain c'étais pas pour moi maintenant je suis sédentaire et je m'en porte pas plus mal. La photo rend pas justice à l'exposition fallait être là... Du côté des latrines c'est très créatif avec des "libérez les rectums" comme graffitis. Je sais pas pourquoi je lis ça. Le parc en face est tout blanc et le chien blanc disparait, un pelage de camouflage. Je me fait un café. À Montréal quand on reste longtemps dehors ça deviens difficile de ressortir. Le froid toujours le froid... Comme culture générale je me sent abrutis parce que j'ai pas créé le P.C. ni même un logiciel d'exploitation quel sale mot exploitation on en est encore là. Mon blog... Des milliards de blogs qui tente tous de se démarquer, je crois que c'est sur la durée que ça se joue mais bientôt y'auras internet trois point zéro ou je ne sais quoi... Aujourd'hui c'est l'Épiphanie, on rend hommage je crois au Roi des rois, l'or, l'encens et la myrrhe et dans le studio aux odeurs louches je fait brûler de l'encens. C'est Zen l'encens. La musique joue, j'arrête j'y porte attention et je reviens au texte. J'espère que ça vous intéresse... Ouais!!! À l'époque on se remettais des fêtes en écoutant le Blue Rocket Special avec J.D.Slim dans un bar très fréquenté du bas de la ville. Cherchez pas ça n'existe plus vous devrez réinventer vos hangovers. Je me lève jette un coup d'oeil au baton d'encens, j'ai pas envie de foutre le feu... Comme on dis je suis rendus au bout de ma corde. Excusez là!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Snowy Berny

mercredi 4 janvier 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Encore debout au beau milieu de la nuit, il reste quelques jours avant la fête des rois et sa fève. Ça aussi c'est une tradition qui s'est perdue, on risque plus de perdre une dent en croquant la bean Cette fève marquait vraiment la fin des célébrations c'étais le retour au quotidien. Je crois que c'étais le retour à l'école. Y'en a plusieurs qui plutôt qu'être de la rentrée allaient se réfugier dans les arcades pour essayer de devenir des pinball wizard merci au groupe rock The Who pour l'immense Tommy. Les pinball machines un ticket pour l'enfer, la machine qui tilte, game over et on recommence ça sonne ça brille, je suis jamais arrivé à la battre... Mais nous à la brasserie on avait une machine, une table de ping pong électronique. Quelques un passaient des après midi dessus... À coups de vingt cinq cennes dans le juke-box et dans la machine on s'en gardait juste assez pour tipper le waiter. Parfois on pariait, on gageait, une bière ou deux... ZZ Top qui joue en fond sonone, sharp dress man, m'a dire comme on dis dans ce temps là les hivers ressemblaient à des hivers y'avait beaucoup de neige, on jouait parfois au ballon balais sur la patinoire c'est là que je me suis fait péter les dents, une job pour l'arracheur... On pense à l'amie de notre lecteur retraité de la STM, on lui souhaite la bienvenue et on espère que notre lecteur lui feras lire ce texte qu'elle n'hésite pas a commenter. Y'a un autre de nos lecteurs qui reviens des pays communistes, en tout cas de ce qui en reste disont qu'il passe du calendrier chinois aux cigares cubains, on attend des nouvelles et on lui souhaite un retour en douceur, les restaurants exotiques n'ont pas encore été nationalisé... Tant qu'a parler voyage on salue notre couple de lecteurs à Mérida aux Mexique pour paraphraser le chanteur "y'en a qui ont toutte pis toutte les autres ont rien" mais c'est sans malice, ils savent s'organiser et ils le méritent. Je sais pas si à son retour notre retraité du cegep de l'Outaouais va pouvoir nous chanter la Cucaracha par coeur... Ça ressemble à un courrier mondain ce que je vous écris là... Je vous ai déjà parlé du snack-bar chez Philippe, la quintessence de la libre entreprise si jamais vous êtes dans le bout et que vous avez faim faites moi signe on iras dégusté un burger et une patate... Les artères, les artères municipales sont pas trop bloquées... J'en profite pour me gratter le dos avec un couteau en pensant à ma douce qui le fait si bien avec ses doigts. Je vous écris ça assis en bobette, devant l'écran en écoutant les camions qui passent sur la Catherine. Je fait dur... Je peux pas m'arrêter de pensés au groupe mexicain Los Tres Compadres mais je crois qu'ils avaient comme public Los Tabarnacos qui chantaient Guantanamera en coeur avec eux, je crois que c'était des mariachis, y'a aussi La Bamba "yo no soy marinero soy capitan" quel étalage d'espagnol mais yo tambien autre chose a écrire... Et oui je suis le capitaine de ce blog qui dérive souvent parce qu'il navigue sans boussole bientôt ce seras la pêche aux petits poissons des chenaux, la cabane et le foi comme appât faut pas être dédaigneux mais ce poisson là j'aime pas ça, je préfèrerais pêcher avec des brimballes et des trous dans la glace pas loin d'une cabane sur le lac des Deux-Montagnes... J'ai un lecteur qui habite pas loin... Bon! Je vous laisse là dessus en souhaitant que nos voyageurs nous envoient un peu de soleil et de temps doux. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Mariachi Berny

mercredi 28 décembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Bonne année!!! Je vais essayer de vous pondre un blog du jour de l'an du temps des oranges dans les bas suspendus dans le salon. Faites attention de pas prendre un coup trop fort en écrivant ça je me rappelle de ces partys avec les bars ouvert... Revenons à mon enfance, j'ai eu l'insigne honneur de vivre ce qui est aujourd'hui une tradition perdue, la bénédiction paternelle deux fois plutôt qu'une le grand père et le père... Au jour de l'an dans ma famille on avait aussi des cadeaux, je me rappelle d'avoir reçu de la littérature, des livres et des bandes dessinées, j'adorais ces revues reliées, Spirou, Tintin, Pilote.... La lecture c'est toujours agréable de s'asseoir avec un bon livre même si certains croyaient pas que la lecture de b.d. mènerait à la "grande" littérature... Je devrais lire ou relire Homère... Maintenant je pense à la dinde de grand-mère à ces petits pois vert chaud à la table des enfants et à l'honneur qu'on nous faisait parfois de s'asseoir à la table des adultes... Papa je crois nous donnait une carte avec quelques dollars on était choyés... Pour ceux qui vivent au sud ici c'est vraiment l'hiver, ça fait cinquante cinq hivers que je passe et je trouve toujours les tempêtes de neige moins grave que les tremblement de terre... Je suis allé patiner avec ma douce, que j'embrasse ici pour me faire pardonner de mon caractère de cochon. Au jour de l'an je perdais pas une occasion de dénigrer la banlieue ses bungalows tous pareils aujourd'hui je me rend compte que c'était une vie de privilégié. Ce qui est quand même pas mal c'est de marcher pendant la tempête de neige dans les rues désertes du jour de l'an, entrer se recueillir dans une église du centre ville en pensant à l'année passée et à l'année qui viens... Y'a certain de mes lecteurs qui vont surement se souvenir de la fois ou on avait mis l'effigie de E.T. à la place du petit Jésus dans la crèche. Y'avait aussi les petits chats qui s'amusaient avec les glaçons dans l'arbre de Noël. Le temps des fêtes c'était aussi les vacances d'écoles, les parties de monopoly jamais finies... Y'avait aussi ce jeu de cartes Mille-Bornes... Les jeux de société après s'être gelé le bout du nez dehors et rentré au chaud. Je pense à l'espèce de chien-loup qu'on avait un malamuth fou fait pour l'hiver avec une toison luxuriante. Maintenant vous pensez, tout le monde fait ça un blog, j'en ai pas besoin, moi je crois que ce serait bien de dévelloper d'autres traditions comme un blog du jour de l'an. Une façon de témoigner de ce qu'on deviens de ce qu'on a été, de partager parce qu'il faut toujours partager ne rien garder pour soi seul surtout au jour de l'an, à la nouvelle année... Moi j'ai un défi devant moi celui d'aller vers les gens de tendre l'oreille et d'écouter, je suis pas très bon là dedans vous devriez entendre ce qui déboule de mon ciboulot. Parfois dans ma tête ça souffle comme dans une tempête de neige, les mots sont comme des rafales qui déportent dans toutes les directions. Au jour de l'an on écoutais nos disques aussi, les Beatles et tout ce qui étais à la mode pour les enfants de notre âge. Maintenant on s'asseois tranquillement sur le bord de la fenêtre et on regarde la neige tomber, les autobus passent et on en profite pour saluer notre lecteur retraité de la Société des Transports de Montréal... C'est blanc avec des traces de pas qui défont la virginité des trottoirs enneigés. Je pense aux temps durs à comment j'y ai survécu... Tiens! Tout à coup je pense à la culture, à comment c'est important parfois de s'accrocher à des oeuvres qui donnent du sens à la vie, qui réjouïssent, qui illuminent au travers de tout ce qu'il y a de judéo-chrétien. Si vous passez sous des feuilles de guï et que vous savez pas quoi faire embrassez vous! Je vous ai pas parlé de mes crises d'eczéma, j'angoissais déjà je ne sais pourquoi, au jour de l'an. J'ai oublié bien des choses de mon enfance suis étonné que la fin de l'année ne contiennent pas plus de souvenirs que ça... Dans tout ça je suis pas seul y'a des lecteurs de ma famille, j'entend encore papa chanter de vieilles chansons du répertoire de La Bonne Chanson... Y'avait aussi les forts que moi et mon frère on creusait dans les bancs de neige fait avec la neige du déblaiement de l'entrée de la voiture et encore les jolis traineaux que pépère avait fabriqué. Quoi vous écrire d'autre mon père disait qu'à la nouvelle année il fallait se réjouïr pas pleurer. Je m'imagine toujours qu'écrire sous le coup de l'émotion ça va donné de meilleurs résultats, c'est pas nécessairement vrai... Je vous ai pas parlé des shots de gin de mon parrain de comment il aimait jouer de l'accordéon... J'essairai pas de faire concurrence avec le Bye-Bye télévisuel, vous pouvez quand même l'écouter en reprise et moi vous pouvez me lire quand vous voulez. Y'avait aussi le jour de l'an chez ce même parrain dans le quartier Villeray, le sous sol était une vrai caverne d'Ali-Baba... Les années passent et j'essais toujours de me souvenir, il ne reste que ça des souvenirs, je serai pas mélancolique et je vous souhaite une heureuse année, du succès dans vos entreprises comme ils disaient et le paradis à la fin de vos jours! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Newy Berny

vendredi 23 décembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Les histoires de Noël il me semble les avoir toutes entendues. Je pense aux coeurs durs qui détaché de tout, sans musique, sans pardon, sans compassion font la même chose que le reste de l'année. Une phrase laide!!! Voilà ce que c'est. Je regarde dehors les gens sont pris dans les embouteillages on est bien loin de la féérie. J'ai un peu la nostalgie de ces émotions que je vivait à l'approche de Noël, on appelait ça l'esprit des fêtes pourtant j'étais souffrant, alcoolisme, toxicomanie, maladie mentale elles ont toutes fait parties de ma vie, la maladie c'est ce qui a longtemps tenue lieu de femmes pour moi. Je sais je devrais pas rendre ça public au cas ou on me stigmatiserait, que dire le stigmate est jamais aussi souffrant que la maladie, malade d'avoir trop rêvé... Maintenant je dois rester dans la réalité de peur que l'illusion me fasse rechuter. J'ai oublié le parfum de bière et de sueur que j'avais dans les célébrations de Noël. C'est pas fort ce que je vous écris aujourd'hui. C'est un noël urbain, un noël sur l'asphalte avec la garnotte et le ciment, un noël de char stallé avec un radiateur sauté... La ville et ses tentations, les gens derrière les vitrines de bar qui semblent s'amuser, je dis bien semblent, l'alcool est plus fort qu'eux... Des histoires d'alcooliques vous en avez surement déjà entendus, l'horreur... Ou qu'on soit n'importe la ville, le village on a toujours ce marginal cette personne qui n'entre pas dans les normes, souvent on les trouves drôles mais pourtant... Je me rappelle de Calixte et de sa moto, il étais très vieux pour rider une moto. La marge au goulag elle passe inaperçu, y'en a tellement de marginaux, des âmes en peine qui pissent sur la tombe de leurs géniteurs, des âmes à qui on a fait des choses impardonnable, des orphelins de Noël... Une culture de la folie urbaine, la défonce à la Bukowsky ça fait mal quand on s'endort la bouteille de Jack Daniel's à la main dans un hall d'édifice à logements. Vous allez me dire c'est toujours le petit renne au nez rouge mais le mien il a trente sept sortes de viande dans le nez et il est multicolore on appelle ça une couperose... N'empêche le p'tit Jésus ils viens au monde pour connaître le pire des bas-fonds, la croix mais il va s'en sortir divinement, si on y croyait juste un peu ça ferait pas plus mal, je pense à mes coeurs durs du début... Mon marginal je le vois aussi rentrer chez lui, une chambre dans une maison de chambres, il ouvre sa bouteille de vin pour alléger sa peine mais ça ne fait que la rendre plus lourde et il pleure, il pleure dans sa dépression de Noël alcoolique. Noël sur la brosse, la même que l'an passée et les années précédentes, ça fait mal et les mites se réveillent dans les tiroirs de vieux vêtements. Je parlerai pas des mythes comme celui du café qui désaoule. Je vous écris ça quelques jours avant Noël. C'est la dernière partie du Canadien avant Noël on s'en va vers une défaite c'est une honte. J'ai fermé la télévision et je vous écris. J'espère un peu de neige, des bonhommes de neige pour les petits enfants Théo, Éloi, Antoine et Alexia, je leur souhaite des fêtes remplies d'amour semblables à ceux de mon enfance. Je peux pas m'empêcher d'avoir un petit pincement au coeur pour nos ainés qui sont partis. J'étais supposé avoir un partage de mon rétablissement sur le site de l'Institut Douglas, je suis déçu il est pas là c'est peut-être parce que je suis un gars de l'est... Dans l'est un "fou" ça fréquente le tout nouvel Institut de santé mentale de l'université de Montréal. Vous vous en fouttez vous avez le droit, quand il s'agit de folie les gens ont peur de ça... Moi j'ai besoin d'un refuge dans la solitude du Goulag c'est là que je risque le plus de rencontrer Saint-Sylvestre. Petite neige, pas assez pour les traineaux, bon! Je me suis mis en mode cantiques de Noël. Je me demande si vous allez trouver le temps de me lire dans toute vos activités. Je me peux pus d'attendre j'ai hate de voir tout le monde... J'essaye de mettre de la viande autour de l'os... Mon partage sur le site de Douglas est à venir il en placent un à la fois pour titiller le monde. Je pense que ce seras ça mon blog de Noël. Je vous en souhaite un joyeux. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Snowy Berny

lundi 19 décembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Les fredonneux... Comment écrire que je fatigue quand j'entend à certains endroit des gens qui fredonnent des chansons qui n'ont ni queue ni tête, ça m'irrite et je me sent visé autant que lorsque les portes arrières de l'autobus refusent d'ouvrir... Je manque d'humilité et j'accorde trop d'importance à ces contretemps irritant. Je devrais focuser sur mes amis qui me taquinent franchement. Bientôt Noël avec ces bons et ces moins bons souvenirs, la messe de minuit à minuit pas à dix heure, papa qui préparait son punch et toute la famille qui se réunissait. Maman décorais magnifiquement le salon, les santons et la crèche étaient fabuleux et nous comme tout les enfants on attendait les cadeaux. Moi j'étais très difficile, j'en demande encore pardon, y'a un Noël ou j'ai piqué une crise parce que je n'ai pas eu le cadeau que je désirais. Je m'attendais à une guitare j'ai eu un jeu de dard, c'étais piquant!!! Les Noël suivant mon père me donnait de l'argent. J'ai acheté mes premiers trente trois tours, ça vous donne un peu mon âge, des disques de John Mayall Jazz Blues Fusion et des Allman brothers, Live at the Fillmore East. Je me souviens d'un Noêl ou ma mère était hospitalisé, avec mes frères on était allé prendre une bière au bar il ne s'était rien passé.Je radote, je radote ça fait cent fois que je l'écris cette histoire. J'ai toujours été un bum égoïste c'est difficile de changer ça mais maintenant je sais qu'il vaux mieux donner et savoir recevoir. Je pense aussi aux copains du temps qu'on invitait à la maison pour le réveillon il me semble qu'on avait la plus belle réception de toute la rue. Je sais pas si vous autre vous aviez ça un père qui callait des sets carré, moi j'en avais un. Je crois que les sets carrés sont disparus avec lui. Noël c'est la fête de la lumière, la fête du partage, la spiritualité condensée d'une année, un sauveur enfant nous est né même si on y crois pas c'est une saudite de belle histoire. Moi je suis très malhabile pour dire aux gens que je les aime, à tout ceux qui vont lire ceci sachez que je vous aime mais surtout pas comme dans la publicité de la Honda Civic, je vous aime pas d'un amour cynique et dérisoire mais d'un vrai amour fraternel et quand je vous verrai je vais peut être vous faire peur avec mes hugs mais vous inquiètez pas ça arrive rien qu'une fois par année. Y'a des hivers ou je faisait du sport, de la raquette, du ski de fond, y'avait encore de l'espace en banlieue maintenant faut aller de plus en plus loin. Je dis ça c'est pas totalement vrai on peux patiner et faire du ski de fond dans les différents parcs de Montréal. Je me souviens aussi de m'être trouvé une job juste avant Noël, j'ai pris un coup solide au party et comme c'étais des anglophones j'ai parsemé mon discours de fuck, disont qu'ils n'ont pas beaucoup apprécié, y'avait des dames... Ouais!!! Je pense à la valeur légale de tout ce que j'écris dans mon blog est-ce que c'est une vérité juridique, un document qui prêterais à la poursuite. Je sais pas. Pas tout a fait dans la fiction, pas tout a fait dans le vrai. J'ai passé plusieurs Noël dans le noir, ce qui fait que j'apprécie encore plus ceux des dernières années et je reviens avec ça comment vous dire que je vous aime tous?... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Snowy Berny

vendredi 16 décembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Il est cinq heure trois le matin. J'ai rêvé à un copain que je ne vois plus, il travaillais dans le métro avec un balais et un porte poussière. Je crois que c'est ce qu'on appelle sommeil paradoxal. Avant de me coucher je suis parfois si fatigué que j'ai le goût d'en finir, c'est idiot, je suis un privilégié faut jamais que j'oublie ça. Y'en a beaucoup qui voudrais être à ma place. Avez vous vue le bonhomme Chirac, deux ans de prison avec sursis et les français l'aiment encore... Ici c'est les cadeaux syndicats mafia, à les écouter ils étaient pas au courant que la pègre était dans l'industrie de la construction, bein voèyons!!! Le cash et le pouvoir ça rend malade. J'ai jamais compris pourquoi les bigs arrêtaient pas après un certain montant. Des millions de dollars il me semble qu'un moment donné t'en a assez. Moi je suis pas un exemple je me laisse corrompre par des petites sommes. Je suis cheap. Une jolie chanson italienne à la radio, ils font pas que de la merde les italiens, je pense aussi à leurs potagers dans Villeray... Pas de Kyoto pour le Canada, les épais conservateurs croient pas au réchauffement de la planète. Je les exilerais tous sur un morceau de glace qui fond dans l'arctique...Québec fait un bon mouve avec sa bourse du carbone. Je sais pas pourquoi j'écoute les actualités, y'a rien qui change... J'ai du pain dans les cheveux, bébé requin de France Gall à la radio ça me ramène à mes douze ans à la revue Salut les copains. J'en ai passé des heures a lire ce magazine. Je m'en servait même pour des travaux à l'école. C'est dégueu je me cure le nez et je suis pieds nus, vous allez me dire c'est quoi le rapport? Y'en a justement pas... L'institut Fraser qu'il me kalisse la paix avec cet institut conservateur. Selon eux on est bon dernier pour les dons, ce qu'ils disent pas c'est qu'on a les meilleurs services sociaux. C'est toujours le même principe apprendre a pêcher plutôt que donner le poisson. Pis je vous parle pas du voile au travail pour les femmes si vous voyez ça allez acheter ailleurs. Ça fait une période des fêtes ou je manque d'indulgence. Combien de mots? Combien de maux? Je viens de faire mon lit, c'est pas J.P. Sartre qui écrirais une phrase pareille. J'ai jamais vraiment compris l'existensialisme à part peut être que c'est une philosophie adoptée par des dépressifs qui ont mal compris. Ou c'est que je m'en vais je le sait pas. Je lisais sur face que la mauvaise orthographe est souvent l'apanage du psychopathe, c'est probablement mon cas quoi que l'écriture sur le web est souvent primaire. Et on décore Montréal pendant que des itinérants dorment au métro Beaudry. C'est facile de chiâler, j'ai pas de solutions ils vont continuer a bâtir des maisons en carton. J'ai changé de station radio, l'actualité c'est de l'hystérie. Bon je vous quitte là-dessus entre deux baîllements. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Yawny Berny

mardi 13 décembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Un bravo à notre lecteur designer qui a donné son dernier cours cette semaine. On le félicite pour cette retraite bien méritée. Je crois qu'il va embellir l'Outaouais avec des dessins architecturaux à faire rougir d'envie les plus grands architectes. On peux peut être l'appeler le Haussman d'Aylmer mais ce serait sans pensée à ses talents de peintre et de sculpteur, c'est un grand voyageur aussi qui a trouvé le temps dans ses trente cinq ans d'enseignement d'élever une famille dont les membres font partie de mes lecteurs et à qui on signale qu'ils sont toujours les bienvenues. Hé oui un homme aux multiples talents qui a rénové différentes maisons. Comment dire? Sa douce je crois, va lui fournir une liste de travaux. Je crois pas que c'est un homme a s'ennuyer. Je suis toujours heureux de discuter avec lui et toujours impressionné par son érudition. J'allais passer sous silence sa maitrise de photoshop, une photo prise à l'intérieur et vous vous retrouver en forêt. C'est aussi un homme à l'humour cinglant et un grand raconteur ses petits enfants on pas finis d'en entendre des histoires. La photo cette semaine c'est la magnifique maison de notre lecteur ou j'ai eu l'honneur d'être accueillis plusieurs fois. On sait qu'il s'en va au Mexique en janvier avec sa douce moitié j'espère qu'il va en profiter et qui sais nous ramener quelques dessins. Je sais plus vraiment quoi écrire, je pense a tout ces designers industriels qui vont je l'espère nous faire des beaux et pratiques endroits ou travailler. On a une autre lectrice designer aussi et qui elle aussi enseigne on lui souhaite une aussi longue carrière que son mentor. Je me suis fait un café en pensant à l"époque ou je vadrouillais, non! Non! Pas préposé à l'entretien ménager mais vadrouiller dans le sens, si elle en a un, de Francine Grimaldi, hors donc je vadouillais de tavernes en brasseries avec mon lecteur designer heureusement il étais plus sérieux que moi ou peut être que j'avais plus soif mais à cette époque j'avais encore du plaisir. Je sais pas si ça existe encore les Raftsmen à Hull on y a passé du bon temps. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Berny le beauf