vendredi 11 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! J'ai toujours été assez Elvis Gratton pour regarder les games du CH en reprise... Je parlais avec un ami on se disait que c'étais difficile dans un blog de pas simplement rapporter les mêmes nouvelles que les média traditionnel. Pour éviter ça je crois qu'il faut y aller de sa vie, de son vécu personnel... c'est un pléonasme en tout cas hier je suis allé répondre dans le cadre d'un travail de collège à deux gentilles étudiantes de Brébeuf. Elles voulaient en savoir plus sur la schizophrénie, j'ai parlé de mes symptomes de ce que c'étais avant, ce qu'il me faut jamais oublier. Malgré quelques reculs aujourd'hui ça va mieux... Je sais un peu d'ou ça viens cette maladie, l'abus... Bon!!! On fait une petite chronique maladie, la poteaumanie vous connaissez? C'est boire trop d'eau moi ça me tombe dans la vessie je suis toujours en train d'uriner. Ça intéresse personne... J'ai parfois envie de retourner avant la révolution tranquille et de faire un pélérinage à Sainte-Anne-de-Beaupré, là ou les infirmes ont marchés si je guérissais je devrais y laisser mon cerveau puisque eux y laissaient leurs béquilles. Je pense au très beau film de Bernard Émond La Neuvaine. Comme souvent ces temps ci je vous écris du milieu de la nuit, y'a une petite musique qui joue. Je suis à mon aise en bobette. Dehors la pluie a cessé, je crois qu'il va faire froid. J'ai des déjà vu de chalet. Mes étourdissements sont partis après que j'ai fait mes deux lectures à l'institut de santé mentale. Comment vous dire que j'aime bien faire ça, je prépare une présentation à partir de ma "production" sur les enjeux de la psychiatrie citoyenne dans la culture les loisirs et les sports. Ça me tente pas de commenter l'actualités, les politiciens ils sont déjà à terre on fesse pas dessus... Faut sortir les tuques et les bottes d'hiver bientôt. Je pense au culte du corps de la regretté Nelly Arcan, quand je vous écris ça c'est comme pisser dans un violon, y'a un auteur qui disait que les choses sont plus belles quand elles sont inutiles. Je crois que c'est vrai.Ouais!!! Nos indignés ou en sont ils, quelques activistes, itinérants, malades mentaux,toxicomanes, et alcooliques et des tentes un mélange explosif des gens qui veulent réinventer le monde. Je fait amende honorable, je ne suis pas là mais je les appuis, les luttes pour les avancées sociales ont toujours été difficiles, moi je veux pas qu'on parle pour moi je suis capable d'argumenter. Mes lecteurs de l'Outaouais ils en ont pas de manifestants sur la place de la liberté? À Ottawa ça dors... Ici maintenant trois heure du matin et y'en a qui s'exitent avec leurs voitures. Non je suis pas le gérant général de l'univers, la vie peux continuer sans moi... Ma volonté c'est pas très important. Je vous laisse là dessus et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Kindly Berny

mardi 8 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! C'est le milieu de la nuit, j'ai dormis tout mon saoul. Le téléphone a sonné je ne l'ai pas entendu. Encore une fois je compose, je sais pas si je peux dire que je compose ma vie. Hier je suis monté dans un autobus avec un conducteur irascible. J'ai fait mes deux lectures à HLHL ça s'est bien passé. J'ai hate de voir quel bord vont prendre les indignés. J'ai vu à la télé que maintenant ils batissent des cabanes. Je pense à l'Europe et à l'Euro qui sont dans le trou... Ici aussi ça va pas fort me semble que de mon vivant on a jamais été autrement qu'en crise. Faudrait recommencer tout ça sur une planète neuve avec l'expérience de la terre en tête, l'expérience humaine aussi... J'entend des pas dans le corridor, des portes qui grincent. Je pense au rétablissement, aux avancées aux reculs. Je crois que je me porte mieux. Quoi que quand je suis fatigué je me prend pour un déchet une loque, un pauvre type... Je me rappelle quand j'habitais un sous-sol, une cave, comment c'étais pénible, humide et sombre. On peux toujours faire de la romance mais la vie est dure parfois elle nous donne de bonne leçon, ça prend de l'humilité. Les feuilles ont changées de couleur, elles tombent aidées par le vent. Le froid s'en viens heureusement pas aujourd'hui. Je recommence chaque jour dans ma quête de perfection sachant que je ne l'atteindrai jamais. Je sais pas pourquoi je pense à Zachary Richard... Travailler c'est trop dur? Bon on va prendre ça un jour à la fois, c'est ce qu'il y a de mieux. Je pense à l'ami qui m'a envoyé des publicités de Viagra en solde, j'ai pas compris le message et de toute façon j'en ai pas besoin ça marche tout seul... Ce soir on fait un brainstorming pour les vingt ans et la six centième émissions de Folie Douce, le temps passe vite. Je dois vous dire que ces temps ci je rencontre des gens sympathiques. C'est toujours la nuit, tout est calme ça permet de méditer de faire un peu d'introspection, d'éclairer les zones d'ombres, d'allumer un autre lampadaire. Il est cinq heure et tout va bien voilà ce que le crieur des temps anciens prononçait, ça devait être rassurant. Aujourd'hui on peux toujours écouter la radio y'a toujours des voix apaisantes même si les actualités sont rarement réjouissantes. J'ai ouvert la radio c'est la chronique du linguiste, c'est intéressant mais il nous met parfois les mots dans la bouche. Je reviens sur HLHL aux stigmates rattachés à cet institut, à Montréal je crois que c'est le dernier endroit ou on veux aller, ça questionne notre étât mental... Pourtant la psychose... Je vous avouerai que la folie je trouve ça beaucoup moins poétique que dans mon adolescense, les poètes c'est souvent les derniers résistants ceux qui mettent en mots le désespoir, le vide, la souffrance, ceux qui nous forcent a regarder notre maudit pays d'un oeil circonspect, le regard sur Montréal avec le doute... Moi je fait pas toujours attention à ce que j'écris. J'essais de vous pondre une finale digne de ce nom. J'espère que vous lirez ceci au saut du lit avant d'être contaminé par la radio, là je pense à mes lecteurs de l'Outaouais et même de partout dans le monde, qui n'ont pas les mêmes émissions ou ne sont pas dans le même fuseau horaire. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Sketchy Berny

samedi 5 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Cette semaine je suis retourné me gaver d'actualités à la télé. C'est étonnant comment tout ça me laisse indifférent vu de mon pauvre Centre-Sud. Quand je regarde les nouvelles je me prend pour le gérant général de l'univers. Je règle ça en trois coups de cuillère à pot Je suis un grand diplomate pas un grand démocrate ma façon c'est la mienne et j'ai raison sur des milliards de personne. Posez moi pas trop de questions sur l'économie comme j'ai la presse à billets plus jamais je serai fauché. J'en entend encore parler du temps de la crise mais laquelle bon Dieu! Y'a des gens pour qui c'est une crise perpétuelle on les paye pas assez pour être chômeurs et créér de la pression sur les pauvres types sous qualifiés qu'on remplace comme des pions. J'ai appris qu'Homa le quartier voisin est contrôlé par deux ou trois familles criminelles c'est rien de rassurant. La question que je me pose c'est on se dope tu parce qu'on est pauvre ou on est pauvre parce qu'on se dope? J'apprend à l'instant qu'on a tué le chef des trafiquants Colombiens mais selon le gérant ça change rien... Un vérificateur général unilingue on s'en crisse tu si il viens vérifier chez moi je vais faire la sourde oreille, je deviens sourd à l'anglais. Oups! Excusez moi je viens de déjeûner en écoutant des commentaires sur le cholestérol, pas trop de gras à mon age les acv et les crises cardiaque c'est fréquent... Je vais ou je fais quoi? Les amis vont m'amener un nouveau futon demain. C'est fou comme on ramasse du matériel. J'aimerais bien avoir la sagesse de Diogène... C'est encore la nuit on parle de piment à la radio... Ça pique ça pique, je vais mettre de la musique Galaxie Folk Roots, les racines ça me fait pensés aux rhizômes de Deleuze... Je sais ça a pas rapport mais on parle de déterritorialisation, d'un dehors du territoire dont il faut sortir, quand on est seul et anonyme le territoire est grand c'est difficile d'en sortir. À quoi bon sortir du territoire on y paye le loyer on y couche on y mange. La pyramide de Maslow quoi!!! Hé patate! Tu confond avec les tubercules. Le chop suy... J'ai écris tubercules pas testicules quoi qu'il soit toujours bon d'avoir des couilles. J'ai une pensée pour mes lecteurs en ce movember, le mois du cancer de la prostate. Pensez-y le toucher rectal c'est pas grand chose et ça sauve des vies. Que dire? Que je me sent comme un trou de cul? Je mêle les choses, j'essais de remonter mon estime et c'est étonnant ça redescend. Avec un peu d'humilité je vais y arriver l'important c'est le voyage pas la destination dirais nos amis manouche. Sur ce je vous remerci d'avoir lu jusqu'ici! À la prochaine j'espère!!!

Mushy Berny

mardi 1 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Ça vous arrive à vous d'égarer des choses et d'avoir toutes les misères du monde pour les retrouver? Moi quand ça m'arrive je me dis que quelqu'un est entré chez moi pour dissimuler la chose de la folie, de la folie pure et souvent ça ne prend que quelques secondes pour que je la retrouve. Bon! Laissons ça en plan et concentrons nous sur la dette grecque. Je sais pas ce que font les restaurateurs de la rue Duluth et Prince Arthur à Montréal pour renflouer leurs pays mais c'est pas beau. Là bas y'a de vrai rouge qui n'ont pas peur d'en découdre avec les autorités, ça aussi j'irai pas loin avec ça je connais plus la Parthenais que le Parthénon... Glissement de terrain, inondations, tempête de neige pendant qu'ici il fait beau temps, le monde est à l'envers on va dire nos prières... Ma folie du moment ce sont les bonbons à la menthe, j'adore ça j'en abuse ça me donne des... Laissons tomber je ferai pas de scatologie. Là je pense aux publicités des mines et au film de Richard Desjardins qui dis vrai? Comment faire la part des choses, cinq milliards à Sept-îles, moi on m'a toujours dis que le Québec donnais ses matières premières mais de toutes façon j'irai pas travailler dans les mines... J'ai regardé le film Laurentie un film grave et dense qui dépeint bien cette sorte de schizophrénie de colonisé qui fait souffrir les jeunes Québéquois. Un film d'images avec de longs plans évoquant une souffrance, un mal du pays tout intérieur, un film littéraire qui présente des extraits de poêmes de St-Denys-Garneau de Denis Vanier et d'autre poètes. Un film dur pas bavard qui fait du désespoir une certaine beauté. Notre maudit pays qui est pas encore là et je pense à mon lecteur de l'Outaouais qui travaille dans un ministère fédéral en anglais ils disent, if you cant beat them join them... Un pays pour qui un pays pourquoi, moi je veux pas me faire bosser par les faces que je vois à la télé et pas plus par Legault. Tout à coup je reviens au début je suis perdus parce que j'ai trop voulu cherché je n'ai pas laisser allé... Pardonnez moi pour les conjugaisons, un pays de fous une langue de fous, je pense à Gaston Miron et à sa madame typically. Vous voyez bien que je radote... M'a dire comme on dis "t'a pas voulu allés à l'école..." envoèye ti-cul tu connais pas de docteur sur le b.s.... Le pire dans tout ça c'est que de l'anglais j'en consomme. Je suis anglotrophage j'en mange et je les chie... Oups!!! Scatologie... Bon! J'arrête de me morfondre je suis un des sept milliars sur la planète ça me donne pas beaucoup de chances pour le gros lot, on va se contenter de regarder la poule à la télé et si vous saviez pas on a droit à une version québéquoise de The Price is Right, vive le capital!!! Michel Chartrand se revire dans sa tombe. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Pricy Berny

dimanche 30 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Comme un étrange je suis debout à six heure du matin un dimanche. Je pense aux Indignés à leurs tentatives de réinventer le monde. Ils sont bien peu y'a longtemps que le Québec est sortis dans la rue. J'ai vu la face des politiciens hier à la télé, y'a rien a faire je veux pas être mené par ces gens là. Je préfère l'anarchie et le partage. Ma façon de vivre est occidentale, les indignés avec leurs campement de tentes sur la place Victoria imitent ce que les chinois ont fait sur la place Tianamen. J'espère qu'on leurs enverras pas les chars. Je comprend qu'en plus d'être indignés ils sont excédés, Wall Steet les rend capables des pires actions mais ça se passe quand même bien ce sont des non-violents. Je pense à la liberté à ce que c'est, certainement pas de donner nos matières premières aux minières et encore je veux pas me faire mené par des activistes écolos qui vont décider ce qui est bon pour moi. Ni Dieu ni maître, je pense aux anarchistes espagnols à mon lecteur de Terrebonne qui s'est rendus à Barcelone. Sur un autre plan je jasait avec un psy qui disait qu'en psychiatrie c'est comme dans les autres spécialisations de la médecine une fois qu'on a consulté et si on est vraiment malade on vas avoir un suivis, c'est très rare qu'on parle de guérison mais l'anarchie est que c'est une maladie? Changer le monde c'est ce qu'il faut faire pourtant on vois la révolution qui nous ferais perdre nos pensions et encore la révolution mais pas du genre des khmers rouge pas plus que celle du printemps arabe... La pleine citoyenneté sur tout les plans ça veux pas dire des élections à répétitions mais faire valoir son expérience sur toute les tribunes. Mais y'a une difficulté dans le temps les manifestants disaient de ne pas faire confiance à quelqu'un de plus de vingt ans. L'indignation la révolte vous me direz qu'il vaux mieux accepter c'est ce que je crois quand même j'aime pas les gueules des indépendantistes. Le pays ils ont pas voulus le faire quand il étais temps maintenant soyont anarcho-socialiste à la grandeur du Kénada. J'habite dans un quartier que les bourgeois s'apprêtent a investir, on y bâtis des condos et on chasse l'itinérant comment dire la bourgeoise qui a des vues sur la façon d'habiter de remonter l'évaluation de son immobilier. Je crois que vous avez pas apprécié mon blog précédent mais ce sont des libertés que je prend en espérant provoquer une réflexion chez vous. J'espère que le feu de l'indignation va prendre dans les chaumières que les activistes de tout acabit vont brasser la cage et qu'enfin règneras la justice et l'égalité. Demain l'halloween déguisez vous pas en robineux c'est pas vraiment dans le ton et j'en connais qui sont habillés comme des cartes de mode. Finalement la vie c'est parfois comme un grand bal-masqué ou on sait pas avec qui on danse, on valse et on tourbillonne à s'en étourdir pour découvrir que le plancher se dérobe et qu'on perd la face. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Anarchy Berny

jeudi 27 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Votre humble serviteur a fait deux lectures à HLHL comme souvent je détonnais avec ma lecture en fin de présentation. Au diner j'ai entendu quelques blagues sur Lacan, j'ai pas plus compris les blagues que Lacan... Mais je comprend à quoi carburent les politiciens et les artistes de show-bizz, les aplaudissements!!! Les aplaudissements! On en redemande même si dans ma tête ça dis que je suis idiot... Pourtant je crois que je fait de mon mieux, à l'impossible nul n'est tenus. Je suis content d'être de retour chez moi. Je pense aux indignés qui campent sur le square Victoria... Je vais allé me faire flamber avec une can de gaz juste... Mais non ça sert à rien, les morts ça sert toujours à rien on les enterre et allez ouste! Au suivant! C'est étonnant j'essais de me faire un moral et comme n'importe quel b.s. je commande une pizza. Je doute et je souffre ça fait pas de moi un grand écrivain, l'humilité, l'humilité... Enfin bientôt le mois des morts c'est macabre... Les deux grands moteurs Eros et Thanatos, les immortels y'a rien a en dire de Thanatos c'est une sorte de tyran qui impose sa loi sans partage, il nous tire tous vers lui et on se sauve en se jetant dans les bras d'Eros pourtant Thanatos gagne toujours, rien, rien, tu est poussière et tu retourneras poussière, amenez le balai... Bon ça l'air que j'ai un mauvais karma, je vais recommencer longtemps. J'en viens toujours trop vite à bout de ma vie. "Shut up you face!" Je veux me faire un café mais j'ai plus de lait et ça me tente pas de sortir. Je sais, je sais vous n'en avez rien a faire mais moi ça me rappelle quand j'étais petit et que ma mère m'envoyait à l'épicerie... J'ai croisé le chercheur avant de partir il m'a donné du citoyen gros comme le bras. Votre, encore une fois, humble serviteur est à la fine pointe du citoyen responsable qui aurais cru ça. Je fais un peu ma petite crise d'octobre à moi. Bon! On se mettras pas a crier à l'apocalypse, ça m'énarve, je trouve certains scientifiques aussi crédible que Nostradamus, tough luck!!! J'ai peur de regretter d'écrire tout ça et de vous le faire lire. Je suis pas très fort pour repèrer les gens méchants, je suis bonnasse... Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Heavenly Berny

lundi 24 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Tout le monde est au boulot, moi j'essais de pondre une autre chronique. À la radio de Radio Kénada ils parlent du Tintin de Spilberg, semblent que les américains sont respectueux de l'oeuvre de Hergé. Je pense à ma ferveur pour les bandes dessinées, ferveur que j'ai perdue aux profit de la "vrai" littérature... Hier dans une galerie une artiste me parlait des manga japonais... Je regrette de pas avoir le temps. Je pense aux films de superhéros, l'animation, la transposition en "réel" mon préféré c'est Capitaine América dans la scène avec les danseuses en tournée pour l'armée Américaine. Spiderman est pas pire aussi côté psychologique. J'aime bien la vrai bande dessinée pas ce que c'est devenus des carrés avec des filles pulpeuses à poil. J'aimais le côté naïf de tout ça. Dans la littérature sérieuse on parle de para-littérature qui a pris naissance avec la tapisserie de Bayeux que mon lecteur designer presque à la retraite et quand il y seras on le prie de prendre contact avec son humble serviteur, je disais donc tapisserie début de la bande dessinée. Le pire c'est que je ne lis même plus les comics strip dans les journaux. Je suis devenus une sorte de Andy Capp que les lecteurs de b.d. les plus chevronnés connaissent surement, les prestations, le pub, les dards, la bobonne grincheuse et la sieste en après-midi voilà Andy.. Je pourrais vous faire une nomenclature de différents bédéïstes mais le propos est pas là, je pense aux superbes planches avec Corto Maltese, ça fait une excellente imtroduction à la lecture s'agit de commencez a lire peu importe ou ça nous mène. Dans mon enfance les gens avec des livres on disait que c'étais des maniaques c'est pas faux la manie de tourner des pages de se faire conter une histoire. La littérature comme un refuge, j'en ai tellement tournée de pages j'en tournerai encore comme si la vie était un grand livre sans fin que je lis avec parfois des avancées parfois des reculs mais ou j'apprend toujours quelques chose. Ce que je vous dis c'est que j'adore les livres et j'espère qu'ils ne disparaitront pas aux profits des e-books. J'ai de la difficulté a qualifier mon rapport avec le livre autant qu'avec la littérature je fait pas toujours la différence. Pour la b.d. je sais pas si en vieillissant la vision deviens moins bonne mais certains dessins semblent pas aussi artistique c'est vrai que la ligne claire c'est dur à battre quand même on peux passé de la b.d. à la vrai peinture c'est pas un univers fermé. Je sais pas trop ou je vais avec ça, la nostalgie, la nostalgie des rubriques-à-brac de Gottlib des planches centrales du pilotorama magnifiques, d'une enfance aux bandes dessinées de guerre italienne qui me rendaient si heureux. Les bons étaient meilleurs que meilleurs et la guerre était encore dans un cadre humain moins cruelle qu'aujourd'hui. Mais non je porte pas des verres fond de bouteille et oui je suis un nerd. Trente cinq cennes voilà ce que ça coutais un comic book, des rêves de petit garçon gardé jalousement. Plus tard on parleras du livre de comique de chômage par dérision. En terminant je vous souhaite une passion pour moi c'est les livres et la b.d. en est, une passion et du rêve y'en a jamais trop. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Bédy Berny