Bonsoir!
Bonjour! Voilà on est le premier août, je suis debout, la clim s’est arrêtée ça
reste quand même frais, je lui donne une pause… Ai mangé un croissant et un
autre… Mais non j’irai pas me faire tatouer. J’attends de voir le montant qui
va rester après avoir payé les communications et le loyer… Y’en a plusieurs qui
attendent pour passer au guichet et faire un retrait mais vous savez tout ça…
Ce matin y’a un petit déjeuner dans le local communautaire… Quand je me lève la
nuit pour écrire je suis moins angoissé… Je crois que c’est la journée où on a
assassiné Jean Jaurès pour l’histoire de France que vous pouvez consulter. https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_JaurèsY’a pas mal de circulation automobile cette
nuit on pense à notre lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord… Je me
suis calmé pour mon histoire de gugusse de frigidaire… Lentement j’avance dans
les mots… Ai fait quelques petits calculs ça devrais être o.k. Hier j’ai un peu
discuté avec la matriarche, bientôt on va demander des cueilleurs de pommes à
toute les fois que je l’ai fait on m’a renvoyé, je voulaisêtre digne j’en étais incapable… C’est la
raison pour laquelle j’ai été longtemps sans manger de pommes. J’ai souvenir de
cet hélicoptère qui passait au-dessus de
la frontière américaine dans les vergers de Frelighsburg. J’écris pour ceux qui
se couchent tard, je sais qu’il y en a d’entre vous qui regardez les late show
à la télé… Je pense à mon prochain voyage, à l’attente réjouissante à l’aéroport.
J’ai pas encore trouvé ma destination, le temps file là aussi, y’a pas
longtemps j’y étais j’attendais un vol d’Air Canada… Ce soir j’enregistre l’émission
télé des Racines et des Ailes que je vais visionner en fin de semaine… Semble
que ce sont de nouveaux épisodes c’est ce qu’ils annoncent… Je suis loin de mon
sentis, y’a des voitures qui freinent leurs pneux crissent… Dites, vous savez
comment faire pour être poète? Je suis bien d’accord le destin m’a amené là
dans la prosodie, tout à coups ça sent bon le savon… Je vous illustre ça avec
une photo d’aéroports de je ne sais plus ou… Je réfléchis à ce que je vais dire
au Colloque de L’Association Québécoise de Réadaptation Psychosociale c’est au
début novembre… Je pense au stigmate à mon combat. Je reste convaincus que les
moins accueillants sont les red necks… Tout le discours autour du travail
comment j’en fait et c’est pas nécessairement calculer comme ça… J’ai terminé
mon café, les vrais écrivains écrivent dans des revues, des magazines pas sur
un blog… Quelques mots encore j’en suis à cette difficile chute, cet épilogue…
Je vous écris pas agamemnon ni même l’apocalypse c’est juste la fin d’un texte…
Ce que j’écris ça ressemble quand même à Babel vous pouvez lire vous serez pas
changé en statut de sel. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!
J’en souhaite une prochaine et je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! Un collant de réfrigérateur pour accrocher des feuilles viens de se
briser, l’aimant ne tenait plus il est tombé par terre séparé en deux, pour moi
c’est comme si un envahisseur étais passé et l’avais fait tomber… Je suis fou, d’une
folie douloureuse et anxieuse. Je sais pas pourquoi les choses brisent et ce
que j’ai fait au bon Dieu… Cet après-midi j’y arrive pas si vous me lisez et pouvez
m’aider faites le… Jusqu’ici tout se passait bien et voilà la journée de la
pension et je suis démolis… Je remercie les lecteurs qui sont maintenant sur
Facebook… Ce qui viens de se passer cet aimant c’est que de la pacotille c’est
normal que ça dure pas… Je bois pas, je fume pas, je me soigne et pourtant l’angoisse
me harcèle. Je crois être O.K. y’a longtemps que quelque chose comme ça était
arrivé. J’en ai parlé à l’intervenante devant deux voisins qui ont du se dire
que je suis un vrai fou, l’intervenante trouvait pas ça grave… Ça m’agresse ça
me harcèle pourquoi ça me fait ça? La schizophrénie? Pourtant je me rétablis,
je veux pas y retourner j’ai pas envie. J’aurai jamais la paix… La bébelle a
sauté et c’est laid. Quand des événements insignifiants comme ça arrivent j’ai
envie de mourir, ça me fait quelque chose à écrire mais… C’est peut-être du à
la chaleur à l’expansion des matériaux, dehors rue Sainte-Catherine ça roule en
fou. Le climatiseur me calme chez moi maintenant il fait frais mais la matinée
a été chaude. Tout ça c’est des niaiseries, quand je serai mort ils vont tous
ramasser ça pourquoi faire je sais pas… Ils ne resteras plus rien de moi. C’est
lugubre aujourd’hui ce que j’écris, je vous dirai pas que c’est la maladie j’aime
pas dire ça… Ce matin j’ai fait des courses au supermarché, j’y suis allé pour
l’essentiel, voilà que je vous raconte encore l’ordinaire de mes journées… On y
va pour la prosodie d’épicerie, la journée chez soi et les ennuis… Lentement je
me calme, il y a des choses devant lesquelles je suis impuissant… Quand viens
le temps de parler au groupe d’entraide j’oublie tout j’arrive pas à mentionner
ces petits événements angoissants. Je pense encore partir, un séjour à l’hôtel
où je sais que la femme de chambre va passer, ici personne est supposé… Cultivé
mais oppressé voilà ce que je suis. J’ai conscience de mon malaise, c’est ce
qui m’aide pas, j’ai que cette maudite folie maladive pourtant demain çe seras
autre chose… Rien de très poétique là-dedans, j’entends le poète alcoolique
actif c’est pas très… Moi je préfère l’abstinence même si les mots sont pas
très évanescents. Voilà! Tout ça pour écrire de la mauvaise prose et répéter
les malaises hebdomadaires. J’espère quand même que ça vous plait… Aujourd’hui
c’était la douleur mentale, j’en suis à l’épilogue à la chute. Comme toujours
je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au
revoir!!! À bientôt!!!
Bonsoir!
Bonjour! Cette nuit je cherche je vais essayer de pas y aller avec mes sujets
de prédilection. J’ai découvert une autre magnifique émission sur TV5 ça s’appelle
Cap Sud-Ouest c’est magnifique… Lundi y’en avait une autre sur des petits
trains de France, je vous en nomme deux, le train de Montenvers en Haute-Savoie
et le train jaune des Pyrénées Orientales c’est extraordinaire… Je vous parle
de ça parce que mon senti fournis plus, tant qu’à être dans les trains je vais
vous illustrer ça avec la grande gare de Milan. Les trains c’est pas Cap
Sud-Ouest… Souvenir aussi d’un voyage entre Besançon et Lille… De l’avion je
passe au train, souvenir de ces voyages dans l’Outaouais assis dans le wagon
restaurant qui n’existe plus, j’y buvais de la bière… C’est ça quand tu veux
voyager sans voitures c’est l’autobus, le train, et l’avion… J’aime pas
beaucoup les voyages organisés… J’en finis plus d’écrire tout ce que j’espère c’est
que je suis lu à chaque fois c’est comme une angoissante plongée dans le vide…
Comme un vieux fou je répète ce que je me rappelle, aujourd’hui il devrais
faire plus frais… Je pense toujours à mon lecteur de Hull qui me fait pas signe
souvent… Je mange des biscuits Oreo en pensant à ceux dont les plombages
dentaires tombent quand je réfléchis trop ça donne pas de la « bonne
littérature » J’essais de me rappeler ces longs été d’enfance ces fins de semaine
où on partais en camping toute la famille on avait donc hâte de rejoindre le
club de camping et caravaning… Je sais pas comment ils font ceux qui
réussissent tout c’est peut-être juste une illusion ils ont leurs échec eux
aussi… La nuit avance je prends soin de moi comme je prendrais soin d’un enfant…
Quand je vous écris j’essais de reproduire une émotion, un sentiment d’enfant
si agréable et longtemps oublié… Elle est loin l’enfance… Je me souviens plus
sur quel rang à Sainte-Jeanne-d’Arc habitais ce grand oncle. J’avais pas
nécessairement de plaisir quand j’y allais j’avais peur que les parents m’abandonnent
là… J’aurai pas fait les grandes écoles juste un autre péquenot arrivé en ville…
J’aime pas beaucoup ceux qui pensent à leurs carrières moi j’étais tellement
idiot je regardais les postes de cadre dans les annonces classées du mercredi
dans le journal… Un jour j’ai abandonné je n’entrais plus dans aucune case mon
avenir se résumait à la plonge dans une cuisine. Cet univers le marché du
travail je l’ai toujours trouvé difficile probablement parce que c’est un
marché, on y vend sa peau, on y vend son âme… J’approche de la chute, j’espère
encore je ne sais quoi quand j’écris, une satisfaction, un plaisir le sentiment
d’être un artiste. Encore quelques mots pour la conclusion que je trouve toujours
difficile, je m’arrête et j’y pense à cet épilogue. Voilà comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas! Lâchez pas! On y est. À la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bonjour!
Bonsoir! Je m’inquiétais à propos du format d’un document que je reçois. Je
pensais que j’étais le seul mais le voisin aussi a le même format… La voisine d’en
bas la chinoise est déménagée… C’est toute l’action dans l’édifice pour le
moment, c’est l’été août arrive… J’essais de vous écrire quelque chose, je sais
pas si ça seras fort… Je pense aux amis qui ont eu des accidents cérébraux
vasculaire… Je sais pas comment ils s’en tirent avec l’écriture?L’écrivain avait de la difficulté avec l’ordinaire,
les péquenots qui s’enlisent dans la routine… Le commun des mortels n’a que ça
la mort… J’aime pas beaucoup l’attitude de baba cool, je sais faut pas l’écrire
moi je suis qu’un bum… J’ai cessé d’écouter de la musique, j’en ai trop entendu
quoi que j’aime bien les vieux classiques rock… J’écoute le dernier Springsteen,
Western Stars, ça me touche y’a quelque chose dans cette musique là… Je pleure
un peu… L’évidence c’est que je suis américain, je vie en Amérique du nord… Je
sais pas comment vous raconter que le centre-sud est aussi très américain… Je
me fait pas d’accroire l’Europe est loin, quand même l’Amérique est grande. Le
Québec, le nord c’est aussi la solitude des grands espaces, de la forêt… Là-bas
en haut de la carte on ne peut s’y rendre qu’en avion, Western Stars c’est une
musique de cow-boys pour le festival de Saint-Tite ça raconte, les trucks, les
routes et les trucks stops… Des portraits aussi comme Springsteen sait si bien
les faire. À l’écoute la première fois ça le fait pas mais ensuite c’est très touchant…
Ça accompagne bien la solitude, les longues journées d’été où on ne sait que
pleurer, toujours cette idée du highway… Au nord de Nashville… Je les vois
assis au bar du truck stop sifflant lentement une bière pas pressé de partir
parce que pas pressé de revenir… Au truck stop y’avait cette femme qui voulais
m’envoyer à la guerre plutôt que de glander au bar de la grande Amérique. Je me
vois encore faire du pouce, hitch hiking, pour aller je ne sais où juste
regarder le temps… et manger de la poussière… Parfois sur l’asphalte sur la
route on essais de tuer l’émotion, mais il faut la vivre sans toujours avoir
raison. Le ciel s’est couvert et on entend gronder les camions qui ne s’arrêtent
pas, de toute façon on s’en va nowhere et pourquoi pas… Parfois on sait pas
quand s’arrêter on couche sous un viaduc où dans le fossé, fatigué la tension à
l’extrémité… Tout ça c’est à l’ouest à l’est la Nouvelle-Angleterre est très
urbaine… J’ai mis mon pied à terre je ne traine plus le long des autoroutes…
Ici y’a pas de désert juste un fleuve le long de la route. Voilà! C’est la
chute, je partirais mais c’est du luxe… C’est l’épilogue, comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour bien finir. À
la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bonsoir! Bonjour!
Me voilà dans la nuit je cherche quoi écrire… J’ai rêvé à un camarade décédé…
Je vous illustre ça avec une œuvre de deux mille neuf de Daniel Vincent Bernard
intitulé Manana en câble coaxial béton et acier créé dans le cadre du
cinquantième anniversaire des habitations Jeanne-Mance… Je me suis toujours
intéressé à l’art urbain tenté de saisir et de comprendre, Manana c’est
peut-être demain une main qui nous élève qui nous soutien vers un futur
meilleur des appartements qui font grandir qui transforment le tissu urbain… Ce
respir ce souffle qui reviens quand on arrive dans une habitation à loyer
modique pour les ainés. C’est juste mon point de vue mon senti de cet art… Les
habitations Jeanne-Mance qui ont longtemps été au cœur du quartier latin et du
Red light et qu’avec d’autre
institution, Université du Québec à Montréal, Collège d’enseignement général et
professionnel du Vieux Montréal pour n’en nommer que deux ont réussis à
transformer le tissu urbain. Une main qui supporte qui soulève… Étrangement j’ai
longtemps fréquenté le quartier latin mais j’ai jamais rencontré personne qui
habitais là… Une sculpture avec du matériel moderne qui me fait penser que j’ai
jamais été capable de gosser un bout de bois, la main support et labeur… Dans
la nuit de dimanche à lundi on a brisé ce bel idéal à coups de poignards on
reviens au quartier dur et louche du centre d’ailleurs je m’y suis fait voler une tablette
électronique… La nuit est encore dure rue Saint-Denis, je sais pas si les gangs
qui la fréquentent viennent des habitations… On y croyait on y crois encore on
veut pas tomber dans le désespoir… Cette nuit j’entends beaucoup de voix et de
musique… Les quartiers du centre-ville ont toujours été difficile… Je souhaite
que la main réussisse à soulever l’altérité… C’est une main qui nous pousse
vers le mieux vers le ciel, une main de géant qui a toujours fréquenté ces rues…
Vous voyez c’est mon senti cette nuit autour d’une broderie en câble co-axial…
Ça joue dur dans le centre sud, c’est la raison pour laquelle j’ai nommé le
Goulag, un lieu d’exil de déportation qui demande mieux… Je pense au mobilier
urbain à comment il peut bonifier le quartier… Je sais bien que les gangs ne
veulent que de l’argent, au centre-ville les valeurs sont pas les bonnes, j’espère
qu’on me la tend cette main, qu’on me soutiens…Y’a la main et ce qui était la main pas loin, le red light maintenant
transformé… Les gars cherchent l’argent facile, c’est quand même épeurant ces
coups de poignards je crois quand même que la main elle est vierge… Elle pousse
vers les cieux… J’en suis presque à la chute, j’ai écris sans trop savoir sur
cette sculpture ce n’est que ce qu’elle évoquais
pour mon senti… Plutôt que se poignarder
vaux mieux tendre la main. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!
À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! Pas de réunion ce matin, hier le Bell m’a téléphoner pour réduire ma
facture de communication ça devrais être O.K. Ce matin je suis allé au
supermarché, il fait très chaud… On a pas toujours le souvenir de comment c’est
la canicule, on a la mémoire courte comme on dis… Je souhaite un bon retour à
la famille de mon neveu à Hull, je sais même pas si ils me lisent… Tout le
monde est revenus de vacance on reviens à la normale… Je suis les conseils du
ministère je reste au frais et je bois beaucoup d’eau… Je suis allé voir si j’avais
du courrier… J’espère que vous appréciez encore de me lire, moi j’essaye
toujours d’apporter du nouveau avec mon senti… Je lis pas trop les chroniques
gourmandes dans le journal, ils y parlent trop de vin et je peux pas en boire…
Je suis un de ceux qui a le vin triste… En ce moment je lis des extraits du
journal du regretté Hank toute une plume, il avait laissé la machine à écrire
pour l’ordi à soixante-douze ans faut le faire… Il avait aussi diminué l’alcool
bien qu’il aimait vider les bouteilles en bonne compagnie… Je suis loin de mon
senti je vous parle pas de moi… Les écrivains que je connais et que j’ai
rencontré font dans l’humour et dans la télé… Je sais pas si c’est de vrais
écrivains… Je préfère ceux qui écrivent des livres. Pourtant moi j’arrive pas à
être édité…J’ai toujours la même
tonalité qui tourne autour de mon senti, je révolutionnerai pas l’écriture, le
mode, le ton… J’ai pas de proposition. Je veux pas être scripteur juste écrire
en essayant de pas trop m’arracher l’âme… Je suis déjà vieux pour avoir des
ambitions littéraires. Ça reviens toujours à ma pensé pour ceux qui ne savent
ni ne veulentpas lire… Jusqu’ici j’ai
tenu le coup avec la lecture et l’écriture je vais continuer… Je me suis
préparé un café… Je vois encore les écrivains ivrognes qui écrivent leurs
delirium tremens… Semble que ce sont de vieux mots pour dire la psychose…
Encore une fois je retombe dans mes démons de prédilection, je sais pas si on
peut écrire ça… Un vingt-six onces par jours c’était suffisant… J’admire plus
ces gens incapable de « travailler » à jeun faisant l’éloge de l’alcool…
J’en ai connus qui se cachaient pour boire leurs gros gin. Rien de productif… En fait je buvais de la bière avec un scotch
double pas de glace, soir après soir je travaillais que pour ça… Avant d’arrêter
j’ai écopé ma barque coulais et près de moi on laissait faire, j’ai toujours
trouvé étrange que dans un monde où on buvais tant que ça personne voulait
arrêter… Bon! Je vais terminer ça là-dessus, je vous en aurai parlé de l’alcool,
j’espère ne pas vous avoir trop fatigué. Comme toujours je termine en vous
remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Aujourd’hui avant de passer au senti j’ai fait un peu de plomberie. J’ai
débloqué la cuvette… Pas de sortie ce lundi matin, on avait pas quorum. Me suis
préparé un café, j’ai beaucoup apprécié vos commentaires sur le texte précédent…
Je pense à l’auto-sport de mon lecteur de Deux-Montagnes, méchante machine… J’écoute
ce que ça me dis, comment travailler sur le bâtis. Il fait très chaud. Je dis
merci au climatiseur, je pense au vieux Hank dans son bain tourbillon après une
séance d’écriture… À la fin il était bien il vivait de ses écrits… Il se
permettais quelque considération psychosociale. Cette semaine c’est la paye,
les shylocks et les pawnshops vont se faire aller… On emprunte jusqu’au premier
du mois… Le climatiseur viens de s’arrêter automatiquement. J’aime pas beaucoup
jeter ma bile sur mes collègues pas plus que les imiter… Y’a des logements à
louer mais ils sont pas abordables, hier y’avait quelqu’un dans l’édifice qui
déménageait… J’ai encore l’atmosphère du film dans la tête… J’aime bien en
avion avoir ma place du côté de l’allée, on se fait servir on dirais que le
personnel est plus gentil au retour qu’à l’aller.Je vais attendre plus longtemps avant de
partir… Peut-être trouver quelqu’un pour partir avec moi… Hier j’ai eu le
souvenir d’être partis sur un road trip avec un copain, Charlevoix pour ensuite
revenir par la Beauce, Acton Vale je crois et les cantons de l’est si je me
souviens bien on était passé par Asbestos… Ça aussi c’est en Estrie maintenant
je me souviens de Saint-Georges-de-Beauce… Je m’égare je suis loin de mon senti
je crois que le copain était malade lui aussi, il va apprécier la légalisation
du cannabis il ne croyait qu’à ça pour se soigner, il était devenus paranoïaque
et semblait pas conscient de sa psychose avec son couteau… Je pense que en me
rétablissant on croyais que je voulais mourir , j’en sortais de l’enfer de la
mort je voulais me rétablir… Y’a des copains comme ça que j’ai « perdus »,
ils étaient trop sérieux dans leurs délire ça a pris un moment avant que je le
réalise… Ça fait longtemps tout ça, je sais pas trop comment et pourquoi j’étais
rendu là? Le climatiseur viens de redémarrer, c’est bien, c’est une façon de me
soigner… Ma lectrice secrétaire de syndicat à la retraite m’a conseillé les
voyages en petit groupe à partir d’Aix-en-Provence… Je sais pas… Souvenir d’avoir
travaillé sur des pièces d’avion comme mon lecteur technicien à la Rolls Royce…
Maintenant je voyage bien que les médias veuillent qu’on se sente coupable de
prendre l’avion, on utilise trop de pétrole selon eu et le tourisme qui à les
écouter est une malédiction, on oublie qu’il y a des endroits où les gens ne
vivent que de ça… Je pense à ces bistros ces cafetiers où on prend plaisir à siroter
un café. Voilà c’est la chute, comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bonjour!
Bonsoir! Cet après-midi je me suis fait un cadeau, j’ai regardé un film des
héros Marvel du regretté Stan Lee. Ils m’ont toujours fait tripper ces supers
héros… La dernière fois que j’avais regardé un film comme ça c’est dans l’avion
à mon retour de San Francisco… C’est très distrayant comme film… Faut pas se
déranger avec les lois de la physique et les métamorphoses. Y’a du suspense mon
senti est tout au visionnement… J’ai toujours hâte de prendre l’avion, je pense
à mon prochain départ… Je me vois encore attendre bien en avance à l’aéroport,
j’ai encore rien de réservé ce seras je ne sais où le printemps prochain… Je
souhaite un bon retour aux lecteurs de Hull. J’ai lu un article ou encore une
fois on disait pas aimer les touristes quand ils visitent les incontournables.
Je vous avoue que pour moi c’est difficile de sortir des sentiers battus quoi
que j’aime bien m’asseoir dans un parc ou à une terrasse en retrait… Tout ce qu’on
raconte sur les monuments ça m’enlève le désir d’aller les voir. Aujourd’hui
aussi il fait très beau, on conseille aux personnes souffrant de maladie
mentale de rester au frais à l’intérieur… Demain j’ai une réunion, y’a surement
beaucoup de monde à la plage mais sortir seul je trouve pas ça amusant… Je
délire pas trop, c’est bien mais je suis quand même certain qu’il y a des gens
qui magasinent dans les environnements climatisés. Les actualités me dérangent
tant d’accidents, tant de morts c’est rien d’encourageant… J’aimerais bien
avoir la patte d’un journaliste, d’un chroniqueur… Les supers héros c’est je
crois de l’ordre de la mythologie, on a grandis avec eux c’était assez
mystérieux… Je me souviens aussi des DC Comics, Batman et Superman. On avait
tellement hâte de voir la série à la télévision on savait que les américains
les tournaient… Parfois je regardais ça sur la chaîne embrouillé de Burlington
chez le voisin… Y’a ça d’amusant d’avoir vieillis et d’avoir gardé son cœur d’enfant…
Je pense aussi au Fantastic Four, on nous présentait les dessins animés à la
télévision au retour de l’école… J’ai appris un peu d’anglais à lire ça… Y’avait
aussi Gotham cityla ville de Batman, on
rêvait tant d’avoir son costume… J’étais pas mal schizophrénique dans mon désir
de devenir un super héros et de punir les vilains… J’en ai lu longtemps des
bandes dessinées. Mon écriture est pleine de disgression, des aéroports aux
avions et à tous ces champions. Je vais vous illustrer ça avec une photo
urbaine, la ville que protégeais, Superman, Batman et Robin quand même faut pas
oublier que les superhéros avaient le pouvoir de protéger le monde entier… Les
DC comme les Marvel… J’ai pas le senti très inspiré, je crois quand même que je
vais y arriver. J’en suis presque à la chute, à la conclusion, quelques mots
encore pour terminer comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!!
À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bonsoir!
Bonjour! Je crois que parfois mes humeurs vous irritent… Je fais erreur ma
fidèle lectrice y va toujours d’un j’aime ou d’un commentaire… Hier j’ai
regardé pour une deuxième fois un film de Des Racines et des ailes. C’est sur l’Aude
et les pays Catalan, Carcasonne la magnifique… Un ami m’a téléphoné, on se
disait qu’aprèsêtre allé en Europe une
fois c’est difficile de ne pas vouloir y retourner, je me demandais si c’était
possible de louer un scooter où une mobylette pour me balader en Provence? Le
prochain voyage ça pourrait être une semaine à Paris et une semaine en
Provence, ce serait bien… Pendant ce temps-là ici, le climatiseur fonctionne
très bien… Ce soir j’étais un peu perdus j’avais oublié que c’était soirée de feu
d’artifice… Je pense au fromage français, c’est pas donnée mais c’est bon, faut
pas oublier qu’ici aussi on commence à en faire du bon… C’est déjà dimanche, j’aimerais
beaucoup prendre un café sur la terrasse d’un café de la France profonde… Mais
pour le moment je suis dans le goulag Montréalais, on nous distrait avec des
pétarades de feu… Le quartier latin, le plateau voilà les endroits où il y a des
terrasses… Cette nuit on se réjouit d’être en vacance. Mon premier voyage
Outre-mer c’était en avril avant les jeux d’Albertville, j’étais dans la
trentaine… Bon assez de follerie je reviens à mon senti, dans ma paranoïa je
crois que les voitures klaxonnent à cause de moi… La nuit comme ça me viens des
odeurs de boulangerie, de pain frais mais le boulanger est encore loin… C’est
surement très chaud près du four… Souvenir de cette fille qui dansait trop
bien, on voyait bien qu’il y avait quelque chose qui clochait, une victime d’un
abus? Sa façon de danser était très sexy… C’est une des dernières fois où je
suis allé dans un bar, j’étais déjà trop vieux pour ça, j’étais devenu sérieux…
Souvenir du Ciné-club de Radio-Canada maintenant on peut regarder un film quand
on veut comme on veut et celui qu’on veux… Fifty seven channels (nothin’s on) https://www.youtube.com/watch?v=YAlDbP4tdqcça a vieillis, je sais plus combien de canal télé on peut avoir et je
compte pas l’internet… Je pense qu’on vit dans une époque de névrose, sinon de
psychose de la communication. C’est la nuit de samedi à dimanche on rentre plus
tôt pour du vrai repos, on prend des vacances de ça… Je veux pas me faire du
cinéma, y’en a des millions qui font comme moi pourtant ça me dis que c’est la
bonne chose à faire… Bon! Ça y est on y va pour la chute, malgré tous les
accidents aériens je rêve encore de départ en avion. Encore quelques mots et c’est
l’épilogue, la conclusion… Je sais pas comment terminer mon senti est muet, l’angoisse
se tait, Voilà!!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’en
ferai pas trop pour la conclusion, ce soir encore une fois je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!!
Bonsoir!
Bonjour! J’ai redémarré le climatiseur. Je crois que ça va être difficile de
vous écrire ce matin. Je croyais être plus avancé dans la matinée. Bon! J’y
vais avec mon senti, semble que ça vous plait… Je trouve pas de nouveaux sujets
avec lequel je pourrais bloguer… Y’a ça ce refus d’appeler ça un texte une
chronique, dans les journaux on parle souvent des analphabètes à les lire je
devrais me sentir coupable de savoir lire et écrire. J’ai dormis un peu… Semble
que cette sensibilité pour l’écriture c’est mal vue, on y préfère la bière et
la dépression. Écrivain c’est ce que j’ai toujours voulus être, j’écris je
prends les moyens, je me vois encore faire des gribouillages incompréhensibles
dans un cahier. J’étais dans un bar de la rue Saint-Laurent… Je veux pas écrire
de casse-tête… Ce matin c’est la chronique voyage dans LaPresse+ et j’ai
enregistré les Racines et des Ailes de jeudi, je vais visionner ça c’est
intéressant… Je sais pas si ça peut me causer des préjudices de vous raconter
tout ça… Encore cette nuit avec le beau temps les terrasses sont remplies, je
me vois encore me faire jeter dehors par une équipe de malfrats. Je me relis et
tout ce que je vois c’est des visions du passé… Je pouvais pas écrire avant d’avoir
vécu, mon senti s’est réalisé dans le temps, c’est pas dans les bars qu’on
écris ce sont juste des trous à rats. Des repaires de criminels et de désoeuvrés,
tout ce cash pour payer sa bière on sait pas trop d’où il vient. Le bon payeur
s’occupait de ses obligations et si il en restait il allait le boire. Ça me
fait chier je suis toujours dans ce thème, je vais essayer de rebrousser chemin…
J’ai vidé le sac de chips, Je trouve pas je trouve plus, j’accroche sur ce qu’on
fait la nuit quand on veux pas rester seul, c’est pas de la très bonne
compagnie je m’y suis jamais fait d’amis… Souvenir de ce couple de travailleur
en santé mentale, ils étaient bien habillé tout propre ça m’avais touché. Mes
valeurs étaient faussé comme on dis « l’habit ne fait pas le moine »
je m’était empressé de m’en faire des amis… Quoi que ça veuille dire… Mon senti
je l’investi encore en santé mentale mais je suis honnête, ça change beaucoup
de chose, j’évite la psychose… Il est deux heure du matin, quand j’étais très
souffrant à cette heure-là je signalait le neuf un un, on envoyait la police
pour ensuite faire venir l’ambulance. Je vous écris je suis content j’évite ça…
Voilà! Je vais essayer d’y aller rapidement, de terminer avec le bon sens… C’est
pas simple, quelques mots encore, je sais pas si ce que j’écris à de la valeur,
vous lisez quand même… C’est la chute l’épilogue, je termine comme toujours de
la même façon. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! Il fait beau temps, je cherche une histoire à vous raconter. Je suis
de bonne humeur… Je sais pas si mes lecteurs de Hull sont de retour… Pour plus
d’explication sur les chaises de jardin épilatoire je vais essayer de vous
expliquer, j’installais une rôde et deux braquettes pour assembler le siège et
le dossier pour ce faire je devais donner un bon coup sur le banc de travail et
en faisant ça je frottais l’assemblage sur mes cuisses. Vous savez pas combien
de paire de jeans j’ai usé avant d’être épilé, c’était une job assez débile… À
cette époque là j’avais commencé à me demander ce que j’allais devenir, j’attendais
de retourner à l’école, je l’ai fait mais pas longtemps du désir d’être pareil
j’en suis passé au délire d’être différent. À l’école on m’offrais pas
grand-chose je crois que les autorités savaient que j’allais devenir un bum… J’ai
jamais eu de métier, c’est un peu pour ça que j’écris, c’est la job de ceux qui
n’ont plus rien à perdre… La folie un jour m’a rattrapé… La peur m’a plus
quitter… Je savais pas comment dire pour me faire soigner… Je savais pas
comment utiliser ce mot que je déteste, intégré! Je me relis je vois bien que
je suis ignorant, j’irai pas plus loin dans mon dénigrement… J’aurais bien aimé
faire des études post-secondaire mais j’étais incapable de remplir la paperasse
d’inscription, sans parler des frais d’étudiant et de toute les obligations que
j’étais incapable de payer… Je crois que c’est pas la première fois que je vous
la raconte mon histoire, il est là mon délire sans compter qu’étudier avec un
nazi c’est pas drôle. J’ai jamais compris pourquoi on acceptais ce genre de gars
au collège… Quand même j’ai toujours aimé la lecture, dans ma dérive j’ai
souvent cherché le poète Lucien Francoeur, je l’ai jamais rencontré mais dans
un cours de discours poétique j’ai eu d’excellent enseignants… Maintenant je
suis à la retraite et comme on me l’avait conseillé je prends tout mon temps… J’espère
que vous aimez me lire parce qu’au fond il ne me reste que ça, j’ai pas de
femme ni d’enfants, je regarde aller les parents les plus jeunes, ils sont je crois
heureux, dans le bonheur… Je vieillis, j’aurai pas fait grand-chose de ma vie
si ce n’est que cette écriture… Déjà ça parle de rentrée, je sais pas si y’a
encore cette odeur de cuir cartonné juste à y pensés je suis ému… Souvenir d’un
retour de je ne sais où dans la voiture avec le patriarche qui me demande si je
retourne à l’école, en moins de deux pour une décision si importante et en
pensant aux copains je décide que je n’y vais plus, ça a fait de moi le radoteux
que vous lisez ici…. Voilà! Ce sont quelques pensées répétées pour cet
après-midi. Quelques mots encore pour la chute. Comme toujours je vous remercie
d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Rêve, j’étais en automobile avec un copain quand il a décidé de
prendre un sens unique à l’inverse, j’ai eu peur et je me suis réveillé… C’est
le genre de chose irresponsable qu’on faisait avant, maintenant on est pas parfait
mais on évite le trouble… Dans quelques minutes c’est vendredi… J’ai compris je
crois ce que c’est un animiste, c’est de voir Dieu partout… C’est pas très
grave je crois que c’est mieux que pas avoir de Dieu du tout y’a des gens qui
se font un Dieu tel qu’ils le conçoivent… Je crois beaucoup à la force
supérieure. Ce soir j’ai perdu les photos des différentes peintures dans une
salle de Versailles. Je vais vous illustrer ça avec des chimères dorées dans un
plan d’eau du jardin de Versailles avec la canicule c’est plus approprié… Y’a
beaucoup d’américains à Paris dans les interviews sur TV5 ça me rappelle le
film un américain à Parisune comédie
musicale de Vincente Minelli avec Gene Kelly et Leslie Caron et des musiques de
Georges Gershwin entre autre… Je voulais un peu vous montrer les jardins de
Versailles quand ils sont vides, ces jours ci tous les bassins d’eau sont
réquisitionné pour rafraichir la population… Y’a aussi le Minuit à Paris de
Woody Allen, je vous énumérerai pas tous les films qui ont Paris comme toile de
fond où comme personnage, la ville lumière nous fait toujours beaucoup rêvé… C’est
un peu triste qu’elle soit envahie par les touristes certains parisiensdisent qu’elle est devenue un grand musée… J’y
suis allé une fois à Paris et je rêve d’y retourner dans des temps plus
propice, plus accueillant pour les touristes faut pas oublier on ne reste
jamais que des touristes dans cette ville… Je m’exilerai pas en France je suis trop
profondément Montréalais…Je me berce sur la chaise devant mon écran, j’attends
l’automne et la reprise des activités de rétablissement… Je sais pas pourquoi j’ai
dans la tête un concessionnaire automobile… Puisque vous savez écrire monsieur,
madame faites-le donc et bâdré moi pas, je veux pas donner de leçon juste
exprimer mon senti… Tout à coup y’a une fraiche odeur de savon je sais pas d’où
ça viens… Voilà ça y est on est vendredi, y’en a qui rentreront pas à l’ouvrage
ce matin, ils ont trop cherché et pas trouvé Montréal la nuit on est pas sauvé…
Je termine ça et je retourne au lit… Je sais pas où j’ai laissé ces photos
de Versailles dont je vous parlais, ça m’obsède comme si quelqu’un étais venus
me les voler, quand il manque quelque chose c’est toujours le complot… Quelques
mots encore, ça me désole de savoir que je vais mourir avec cette folie, cette
schizophrénie… Ce texte tire à sa fin, je vous aurai encore une fois raconté
mon senti… Je termine là-dessus c’est la nuit. Comme toujours je vous remercie
d’avoir lu jusque-là!!! On y arrive à la chute, à la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!!
Bonjour!
Bonsoir! Je suis content, j’ai bien mangé, côtelettes de porc au beurre avec
brocoli, carotte et pommes de terre… Avant de diner j’ai rédigé le compte rendu
de la réunion de mon groupe d’entraide. Je me sens bien quand je fais ça… Le
temps est superbe… Aujourd’hui je vous illustre ça avec une photo de la
Transamerica Pyramid que déjà sur les plans de mille neuf cent soixante huit le
directeur de l’urbanisme de San Francisco Allan Jacobs parla de « construction
inhumaine ». Pendant la construction le spécialiste de l’architecture du
Los Angeles Times, John Pastier critiquait la tour « C’est de l’architecture
anti sociale à son pire niveau. Une formed’anarchie et de perturbation comme on en voie se développer à Berkley
et Oakland, de l’autre côté de la baie » Les plans ont été dessinés par
les architectes de William Pereira et associés. L’édifice est d’une hauteur de
deux-cent-soixante mètres « trois-cent-vingt-quatre en comptant l’antenne »
il est de quarante-huit étages c’est le plus grand bâtiment de San Francisco
après le Salesforce Tower. Les travaux ont été achevé au cours de l’été
mille-neuf-cent-soixante-douze. Ça répond aux normes parasismiques et à résisté
au séisme de mille-neuf-cent-quatre-vingt-neuf, il est situé au six cent
Montgomery street entre Clay et Washington streets. Je vous en raconte beaucoup
mais moi je le trouve assez exceptionnel cet édifice une pyramide élevé aux pharaons de
la finance, je verrais bien Cléopâtre au sommet y aller d’un petit air à l’empire…
La photographie montre pas vraiment sa grandeur, il manque peut-être un sphinx
tout près pour qu’elle renaisse, les États-Unis-d’Amérique ont toujours de
grands projets qui n’attendent pas l’autre… Je sais pas trop pourquoi je vous
écris ça, peut-être pour éviter de vous écrire mon senti… La famille de ma
lectrice photographe reviens d’Hawaii aujourd’hui bien mariés… Je trouve plus,
je trouve pas, je pense aux enfants qui dorment dans l’avion. Encore aujourd’hui
j’ai envie de partir pour je ne sais où?... Je suis très urbain, j’ai pas mon
permis de conduire ça m’empêche d’aller me promener dans la campagne française…
Tout ça au fond c’est pour vous distraire, vous amuser pas vous ennuyer… Je
pense au quotidien comment parfois il peut-être plate, la routine… Aujourd’hui
je fais pas la sieste, j’ai pas sommeil… Jeudi déjà, c’est toujours les
vacances… Je sais pas quand les enfants retournent à l’école, septembre? Ils
ont encore du bon temps a passé. L’été j’ai toujours de mauvais souvenirs de
retour en classe raté, souvent ça me rend triste même si ça fait si longtemps…
Je vous ai jamais raconté ma première job d’été, j’assemblais des chaises de
jardin, je les frottais tellement sur mes cuisses que je me suis épilé à vie… J’ai
le devant des cuisses tout brûlé… Parfois ma vie ressemble à un cauchemar.
Voilà! C’est l’épilogue, un peu d’architecture et de senti… Comme toujours,
mais l’éternité c’est long, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Ce soir ce sont les feux d’artifice, on entends les enfants pleurer
parce qu’ils ont peur, ce sont les vacances du commun qui ne peut quitter
Montréal. Ça me réveille toujours, la salve finale entre autre toujours plus
bruyante… Vous me voyez venir j’ai pris une douche me suis parfumé pendant ce
temps-là on essais de m’hameçonner avec paypal… Je viens d’apprendre que ma
librairie préférée, Le Parchemin, fermait. J’y achetais souvent des bouquins
pourtant mais je comprends qu’un client c’est pas suffisant… Le feux est finis
les gens rentrent chez eux en écoutant riders on the storm des Doors…Le rock vintage des années soixante-dix à la
vie dure indémodable on l’entends encore partout… Les nouveaux mariés prennent
l’avion ce matin, un retour d’Hawaii, ils nous ont bien fait rêver… Jeudi déjà,
lentement la soirée avance je lis le parcours final d’un vieil écrivain
célèbre. Je suis malheureux, je trouve plus de musique dans mes textes plus de
rythme, j’arrête trop souvent ça viens pas, j’imagine que c’est plus évident
dans un cahier y plonger le nez… Je crois que c’est une question de forme, je
sais pas pourquoi j’écris sur la machine pendant que d’autre essaient de
frauder… Je vous donne à lire vous me décevez pas, le défi c’est de sortir la
moelle de l’os… J’essais de grandir avec tout ça de pas décevoir les lecteurs
fidèles… Je vais encore écouter ce que mon senti me dis, le goulag après le feu
d’artifice est redevenus désert. Dans ma vie à une époque j’étais incapable de
vivre seul, j’ai donc habité une maison de chambres, je savais pas que c’était
dangereux de m’acoquiner avec n’importe qui c’étais la paranoïa à l’envers, il
était temps que la peur revienne maintenant j’apprécie ma solitude, je déménage
plus je trouverai plus de culasse de balle de vingt-deux chez moi… J’ai un
petit tchat avec une amie sur Facebook,
elle est allée à Terrebonne, la ville qui m’a défait et déchiré, j’y ai
beaucoup souffert, je passe à autre chose ce sont de mauvais souvenirs… Il est
pas encore minuit, les gens vont dans leur bistro où leur brasserie préféré et
discutent devant une bière pour moi c’est finis ce temps là… Je sais vous allez
parler de chaleur humaine mais une fois saoul c’est plutôt la froideur et la
solitude… L’humanité je préfère la voir en voyage où à travers ma machine… L’amie
elle me brise le cœur quand elle répond pas sur Facebook… Je laisse faire ça! J’ai
presque terminé, y’a des gens qui vont se cacher dans le parc, il fait plus
chaud, on va dormir dehors, voilà que je reviens encore avec cette thématique c’est
peut-être que j’ai peur de me ramasser là inconsciemment… Voilà, j’arrive à la
chuteà la conclusion. Je sais pas
comment finir encore ce soir je suis passé au travers d’une gamme d’émotion.
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!!
Bonjour!
Bonsoir! C’est l’après-midi je me souviens plus de rien… J’ai mangé d’énormes
sandwichs au salami ça me laisse la bouche salée… Ai acheté un bouquin de Bukowsky,
à la caisse j’ai eu des problèmes avec ma carte de crédit. J’en ai commandé une
autre… Ce soir je mange des côtelettes de porc accompagné de pommes de terre de
carottes et de brocoli… Je donne dans le domestique mon nom c’est pas Ricardo,
ai lavé la vaisselle vais l’essuyer y’a pas beaucoup d’humour et de senti
là-dedans… J’offre toute mes sympathies à la famille d’un oncle qui est décédé…
Moi aussi je prends de l’âge je vais me dépêcher de partir en voyage, la
semaine prochaine ce seras déjà le mois d’août, l’été qui s’en va… En fait on
est au cœur de l’été, je me souviens de ces étés passés dans l’huile et le compound
de l’atelier, ça collais dans la sueur… Je vous ai déjà surement parlé des
énormes rats dans le coin des boîtes pour le métal de recyclage… Je vais y
aller un peu triste avec le départ de cet oncle, c’est mon senti… Je veux pas
manquer de savoir-vivre… C’est vide aujourd’hui… Je suis pas riche, un
climatiseur c’est accessible à tout le monde… J’essaye d’être responsable je ne
bois plus, je reste quand même égocentrique, veuillez me pardonner. J’ai pas
faim j’ai trop mangé ce midi, je mangerai en soirée… En fin de journée le
soleil plonge chez moi, dites-moi comment pourquoi je réussis pas à vous écrire
mon senti… Je me dénigrerai pas c’est pas le temps, y’a des gens qui souffrent…
Viens de lire un court poème sur la cocaïne, la drogue et sa consommation c’est
tabou, ça laisse un stigmate je veux juste signaler que c’est possible d’arrêter
de toute façon si j’arrêtais pas je serais mort… J’aime beaucoup voir les
enfants avec leurs enfants en voyage… Je sais pas pourquoi comme souvent viens
un moment où j’ai de la peine. Quand je vous écris c’est que je prends soin de ma
santé mentale… Je vais vous illustrer ça avec la photo d’un carrefour à San
Francisco. Me suis servis une SanPellegrino à l’orange ça fait du bien, ça me
désaltère… C’est pétillant j’ai plus ce goût de sel. Je prends toujours mon
temps pour vous écrire… Je sais pas si cet automne en Provence mes lecteurs de
l’Outaouais vont visiter des classes comme ils le font souvent… Je me suis
calmer je veux plus rien briser, rien péter, juste me rétablir je le dis encore…
Encore une fois je souhaite bon anniversaire à mon lecteur de Deux-Montagnes… C’est
difficile d’avoir de l’équilibre entre les sanglots et le rire… Les nouveaux
mariés d’Hawaii vont être de retour bientôt, j’espère qu’ils auront pas trop de
difficulté avec le quotidien. J’ai bien aimé le journal de leurs voyage. Je
leurs souhaite un bon retour. Voilà! C’est la chute, la conclusion comme
toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine!!!
Bonsoir!
Bonjour! C’est une chaude nuit pour trainer dehors, ça chasse tousles mauvais moments passé cet hiver. C’est
moins douloureux de trouver ses sacs vert près à partir… Ce faux sentiment de
liberté, la police qui viens vous chercher obligé de quitter parce que vous n’avez
pas de bail… À l’époque tout se passait Carré Saint-Louis ont pouvait y dormir manger
et acheter ce qui étais pas vraiment nécessaire… Les premières nuits chaudes
ont y fêtais vraiment guitares chansons à la sortie des bars ou restaurant rue
Prince-Arthur, la rue qui faisait le pont entre l’est et l’ouest à l’époque ont
fréquentait beaucoup la salle la Polonaise où chez Swann qui a fait place au
café Campus… Une carrière pouvait commencer là, parlez-en à l’auteur de « Comment
faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer ». Les nuits torrides au
carré on les passait parfois à gueuler d’autre fois on allais s’asseoir à l’unique
table en terrasse du Petit Bar rue Saint-Denis… C’étais le quartier latin à l’ombre
des édifices, ce carré Saint-Louis ont pouvaity croiser des poètes, les vers y étaient à l’abri de la police sauf ceux
écris sur la maison de la regrettée Pauline Julien… On pouvait y somnoler faute
d’ y trouver le sommeil, la poésie y étais aimante mais difficile, difficile
comme l’art d’Armand déposé sur le gazon… La murale qui illustre ce texte a été
charcuté y’a bien des années par les autorités en place, madame Julien, c’était
sa maison, avait été poursuivis, on l’avait forcé à caviardé ce texte. Aujourd’hui
c’est l’anniversaire de mon lecteur de Deux-Montagnes collectionneur d’automobiles,
on lui souhaite encore plein de balades. Ma prosodie est pas très très
originale cette nuit, le parc Émilie Gamelin a remplacé le carré Saint Louis,
maintenant c’est là qu’on trouve les substances louches pour ceux qui souffrent…
Le quartier latin s’est peuplé d’organismes qui viennent en aide aux
itinérants, je dis itinérants mais ils le sont pas toujours, le quartier semble
plus facile pour survivre pour faire la manche… Pourtant on peut y mourir d’overdose
sur le trottoir faute d’avoir fréquenté les sites d’injectionssupervisés. Moi la réduction des méfaits j’y
crois pas tellement, ils s’injectent la mort un peu plus chaque fois, plus la
nuit avance plus la cochonnerie est coupée… C’est plus fort que moi je suis
encore rendus dans cette thématique… Je veux changer de propos… Même le livre
que je vais acheter plus tard ce matin traite d’alcoolisme… Au carré Saint-Louis
y’avait toujours un visage connus, une tête qu’on avait croisé ailleurs… C’était
plus facile de demander sinon de regarder qui faisait les deals. Bon! C’était
une espèce de senti pour cette nuit, on était à l’ombre de l’Institut National
d’Hôtellerie du Québec, on y forme les chefs… Si je me souviens bien un copain
avait fréquenté cette institution…. C’est presque la chute! Quelques mots encore
pour terminer. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bonjour!
Bonsoir! Aujourd’hui je suis triste, les années passent et je sais pas trop
comment vous dire… Je suis envieux des gens qui sont en voyage pourtant je l’ai
fait le mien mais je partirais encore… Je fouille dans mon senti j’ai identifié
ça mais peut-être que je me trompe… Je vais vous illustrer ça avec une photo de
la rue Sainte-Catherine ou j’habite… J’ai essayé de faire la sieste mais j’y
suis pas arrivé, j’aime beaucoup voir les photos des lecteurs, lectrices en
voyage avec leurs enfants. Je crois que la super maman va être de retour chez
elle… Moi je suis toujours dans mon quotidien drabe, je pense à l’amie chez ses
parents en France… Puisqu’il faut dire je tente ma chance, j’ai plus la
pression que j’avais dans ma jeunesse, je courrais après l’argent incapable de
payer les obligations mensuelles… Ici non plus je me dénigrerai pas, maintenant
je fais de mon mieux ça vous donne pas de la très bonne lecture… Ce matin je
cherchais un livre de Bukowsky sur ce qu’est l’écriture pour un vieil écrivain…
Le scribe est mort dans sa décadence moi j’étais incapable d’écrire sous l’influence
de l’alcool… Je pense que les écrivains qui boivent soignent leurs dépressions.
Encore dans le même champ lexical, j’essais autre chose, souvenir de ces
longues balades à vélo où j’aimais entendre ronronner les pneus gonflés bien
dur… Chaque matin de beau temps je partais par les petits chemins et je
pédalais quelques kilomètres… À l’époque
mon vélo c’était un Saint-Tropez, pas une mauvaise bécane, pas trop lourde, c’est
certain que ça valais pas une Marinoni sur mesure mais c’était pas dans mes
moyens parfois je sprintais un moment pour prendre un rythme plus régulier, j’avais
pas de coéquipier pour m’ouvrir le chemin… Mon lecteur de Brossard se souviens
peut-être de cette agréable randonnée qu’on avait fait jusqu’à Hull, de bons
souvenirs… Maintenant j’ai peur de rouler en ville, les conducteurs qui ne m’aperçoivent
pas dans l’angle mort… Y’a un de mes lecteurs qui en avais une je crois
Marinoni sur mesure… Il dormais avec dans sa chambre, on s’en était fait voler
tant de vélos… Une chose absurde que je faisais, je partais de chez le
patriarche pour sprinter sur le boulevard des Seigneurs jusqu’à la brasserie du
même nom… J’aimais pas beaucoup les pentes j’évitais le Chemin Gascon parfois
je descendais dans le vieux Terrebonne pour monter sois le boulevard des
Braves, la rue Saint-Joseph où la rue Chapleau… Je salut ici le praticien
ressource à la retraite qui roule encore malgré un âge vénérable… Parfois je
roulais sur la montée Masson à Saint-François jusqu’au boulevard Lévesque et je
traversais le pont Pie IX… J’étais jeune j’avais du temps je savais pas où la
vie allait m’amener, je lisais Foglia… Voilà quelques souvenirs pour ceux qui
comme moi ont connus une belle époque pour ensuite tomber dans le délire. C’est
la chute, je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine j’espère!!!
Bonsoir!
Bonjour! J’arrive pas à dormir. Cette nuit je vous illustre ça avec une
sculpture du bord de l’eau à Lanoraie. L’Iroquoienne et les trois sœurs qui
sont le maïs, les haricots et les courges. L’Iroquoienne pile le maïs dans un
mortier pour faire de la farine. La sculpteure-modeliste est Caroline Bouchard
c’est du fibre de verre. L’intérêt de cette œuvre est le patrimoine elle nous
illustre le mode de vie des autochtones avant l’arrivée des européens. C’est un
intéressant arrêt dans l’histoire… Chez le profane artistique on aime bien le
figuratif, ça parle! Lanoraie était l’emplacement d’une longue maison iroquoise…
Voilà le parcours de madame Bouchard http://www.caboartiste.ca/page-d-exemple/les dimensions de la sculpture sont de
10.2x 12.7x 15.2 cm elle est d’un poids de 158.76 kg le thème de l’amérindienne
est très actuel, les mères toujours très puissantes dans les tribus, la
sculpture illustre très bien le rôle de raffineuse de la femme amérindienne.
Elle nous rappelle aussi que nous n’étions pas les premiers sur cette terre.
Enfin je suis pas ethnologue… Je vais vous revenir avec mon senti, je sais pas
comment les autochtones apprécient qu’on s’approprie leur image… J’aime mieux l’art
abstrait il provoque et parle plus. Une femme dans ses gestes simples de tous
les jours nous ramène à une certaine réalité, c’est le souvenir d’avant, avant
qu’on est déviergé cette terre… Ça me ramène dans l’ouest ces femmes qu’ont a
tué sans raison, la faute qu’a commis l’homme blanc de ne pas protéger nos
mères https://youtu.be/277uXp2_rUQJe sais vous allez trouver ça cliché mais moi
me semble que c’est approprié… Je me rappelle dans mon enfance quand on passait
en voiture dans ce qu’on appelait encore Pointe-Bleue j’avais tellement peur j’en
pleurais, je me suis calmé plus tard plus au sud en allant à la messe à Odanak…
Je trouve pas je trouve plus de quoi vous parler, j’ai peur d’avoir perdus la
photo, cette nuit il fait un peu chaud mais ça s’endure, c’est très laid comme
phrase… J’ai éteins la lampe, je reviens à la lumière blanche de l’écran, quand
je tombe dans une thématique je délire… Souvenir de comment je détestais porter
des vêtements du dimanche, j’y étais pas à l’aise surtout l’été dans les
canicules… Mais non je m’auto-dénigrerai pas, ni ne m’auto-stigmatiserai, je
vous écris c’est pour grandir pour combattre justement ces deux fléaux, souvent
on vois dans ceux qui écrivent sur internet… J’en dis pas plus vous êtes
les juges. Je veux faire du bon, je veux être bien et bon… J’ai peur qu’on
donne un sens contraire à ce que j’écris… Je sais tout ça sonne comme de l’angoisse…
J’ai tout mêlé et je suis tout mêlé de toute façon c’est pas un texte à teneur
scientifique… Je trouve plus, je cherche dans mon senti, je verrai bien où va
la nuit. J’y suis presque, quelques mots encore, je termine comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas c’est presque finis. À la
prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Nuit de dimanche à lundi, y’en a qui vont mieux dormir en sachant qu’ils
vont pas travailler ce matin… Je me demande toujours pourquoi le regretté
patriarche avait décidé d’acheter une maison à Terrebonne. Il racontais
toujours la même histoire, que comme il avait des enfants, six! On refusait de
lui louer un appartement…L’autoroute et les ponts de l’île Saint-Jean étaient
déjà là, nous habitions tout au bout au nord de ce qui étais construit.
Rue Kennedy, les premières années ce n’étaient que des champs… Mais oui! On va
pouvoir trainer tard dans la ville bien que ce soit dangereux… Je pense encore
aux maisons de San Francisco à ces quartiers pour richard… J’aurais aimé être
un vrai Montréalais, je me suis ramassé avec une gang qui venait de Ville D’Anjou
j’avais pas d’affaire là… J’étais perdu la ville est grande, à Terrebonne y’avait
pas de Collège d’enseignement général et professionnel, les gars étaient
inscrit aux arts graphiques à Ahuntsic… Je m’étais laissé prendre par un
gars qui disait se faire payer pour terminer son secondaire, tout ce qu’ils
payaient c’était ma pension chez le patriarche… Pas de métier beaucoup de
misère, en anglais ils disent « jack of all trade master of none ».
Souvenir d’un gars qui boitais, je l’ai croisé deux fois dans ma vie je sais
pas ce qu’il voulait, il est vite disparu, je lui faisait pas confiance... J’en
parle pas plus je veux pas qu’il revienne. C’est la nuit, je vous vois déjà en
chaloupe où sur le bord de l’eau sans téléphone et sans ordinateur… Je pense m’en
passé des vites, j’ai pas conscience de ce que je suis de ce que je fais, il me
manque le regard extérieur. Je suis trop dans l’introspection… Hier
après-midij’ai fait une trop longue
sieste c’est pour ça que je dors pas cette nuit, je sais pas pourquoi j’ai ce
propriétaire de bistro dans la tête, il faisait tout pour me décourager et me
vendait de la bière. Ça été long avant de prendre conscience de mon affect déglingué,
je vous l’ai déjà écrit… Parfois je crois qu’il n’y a que moi qui pleure, ça
fait longtemps je me suis consolé… Ce matin j’ai une réunion, on va préparer
une présentation qu’on va faire cet automne au congrès de l’association
québécoise de réhabilitation psychosociale. Une pensée pour mon lecteur de
Deux-Montagnes qui est de retour au travail aujourd’hui… Semble que la vague de
chaleur est terminé… Souvenir d’un dimanche en famille passé au zoo du parc
LaFontaine il n’existe plus. Je crois que maintenant il est au parc Angrignon…
Déjà plus que la moitié du mois de juillet de passé, j’espère qu’il y auras d’autre
vagues de chaleur… Souvenir de haut-le-cœur dans le Rambler du patriarche, c’était
cet odeur de plastique qui recouvrait les sièges. Voilà! C’est la chute pas
différente de toutes les autres. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!
Quelques mots encore pour terminer, à la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! J’arrive de dehors, il fait très chaud c’est lourd… Je voulais acheter
une édition américaine d’un livre de Bukowsky, y’en avait pas chez Indigo. Me
suis perdus dans le centre Eaton, je pense que nous sommes dans des temps
fertile, prospère y’a des travaux partout. Les ouvriers travaillent même les
dimanches de vacance de travail dans la construction… Je me suis pris au jeu
dans le centre-ville j’ai fait comme si j’étais en voyage, essayé de reproduire
cette amusante émotion… Maintenant je suis chez moi, au frais… Je suis passé
tout près du terrain vague au coin de D’Iberville et Sainte-Catherine y’avait l’odeur
de mauvaise herbe dans la chaleur comme dans mon enfance… Je sais pas pourquoi
ce temps-là cette chaleur ça me rappelle Jean De Florette et Manon Des Sources,
la Provence même si j’y suis jamais allé… Je crois que mes lecteurs d’Aylmer s’en
vont là cet automne… Ça m’a fait du bien de sortir… Y’a juste le pharmacien qui
à marmonné quelque chose que j’ai pas compris… Je pense qu’il y a de l’ouvrage
à faire pour le stigmate même chez le pharmacien… De toute façon cet après-midi
je vie pas de psychose. Je me suis acheté un nouveau portefeuille j’ai fait le
ménage dans le vieux, ça fait du bien… J’irais bien à la plage mais y’a rien de
plus triste qu’aller se baigner seul. J’ai un peu les bleus tout-à-coup, je
sais pas trop pourquoi… J’ai jamais été campagnard, je suis très urbain,
banlieusard même. J’ai passé une grande partie de ma vie là, en banlieue, on
était de la nouvelle classe moyenne… J’ai jamais rien pu faire avec ça… Je
pense à tous ceux qui comme moi ont pas su se faire une vie incapable d’étudier,
pas même la sociologie ni l’anthropologie…Ils ont bâtis des hôpitaux, ont les à
remplis avec la folie, la famille stigmatisante, je voulais juste me faire une
place mais j’étais pas capable de la garder tout ce que je savais faire c’est
pleurer. J’aimerais ça vous en dire plus sur la schizophrénie, on veut même que
le mot disparaisse, moi j’y tiens pas il est lourd de sens et je veux pas
alléger la souffrance… Y’a toute cette idée d’uniformatisation , tous sur le
même pied, mais j’aime bien qu’on prenne en compte mon expérience unique de la
douleur de la souffrance… Je ferai pas comme vous, je vais garder mon unicité…
Tiens, tout à coup je crois que mon lecteur technicien à la Rolls-Royce s’en va
à la pèche, on lui en souhaite une bonne… Dehors c’est grand soleil, les gens s’amusent…
Les terrasses sont remplis, on y bois de la bière fraîche quand on a une chance
de s’y trouver une table une chaise… Pour moi il est finis ce temps-là, je
préfèrerais me retrouver dans la nature. Bon! C’est presque terminé, je vais
essayer de vous écrire une chute différente, c’est une difficulté, j’y arrive
pas. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bonsoir!
Bonjour! J’ai pas beaucoup dormis, l’équipe locale de football canadien a gagné
hier… Quand je termine de regarder ça j’ai le senti d’un parfait abrutis. Je vous écris de la nuit… J’arriverai
jamais à rien avec ce journal informatique de mon senti… Mais oui, je suis « vieux »
et j’ai peur de mourir… J’ai un ami qui s’en va au Nouveau-Brunswick ce matin…
Je sais pas trop avec quoi je vais illustrer. J’ai terminé mon café me suis
rasé et parfumé avec de l’après-rasage, ça fait du bien ça sent bon... Deux
heures du matin j’ai une « sorte » de nausée. Y’a personne qui me
rend visite dans ma tanière du Goulag… Je pense au commis aux fruits et
légumes, je sais pas si on peut faire ça longtemps, y’a le marché Jean-Talon la
récolte du pays directement devant vous, les produits du terroir, Fromage Hamel,
ce matin les restaurateurs vont acheter les primeurs pour le menu d’aujourd’hui,
la fraîcheur… Le dimanche plusieurs ont pris l’habitude d’aller bruncher
parfois j’y allais avec mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord.
Voilà c’est fait! La nièce est mariée on leurs souhaite que du bonheur à cette
famille ils le méritent… Pour revenir au marché je vais peut-être aller acheter
de la charcuterie italienne, c’est cher mais c’est bon… Les parents de l’ami
qui a la sclérose en plaques lui ont amené et installé un climatiseur, je suis
heureux pour lui la nuit va être moins lourde… Chez moi il fait bon c’est juste
bien frais… Je pense à ceux qui ont le syndrome Gilles de La Tourette, à
comment j’étais entouré y’a plus de vingt-cinq ans… Ils sont assez épeurant
ceux qui ont ce syndrome… Partis comme ça je vais être en contact avec toute
sorte de maladie mentale ou pas… Le climatiseur est à vingt-et-un degrés c’est
bien… Quand je pense au marché du travail je suis trop vieux, je suis à la
retraite, je respire par le nez et y’a toute sorte de mélodie qui me passent en
tête… Ça aussi c’est affolant de pas avoir fait tout ce qu’on voulait faire
avant de mourir, c’est pas faute d’avoir essayé, j’ai toujours été un « drifter ».
Faut-être fou pour vous écrire comme ça à tous les jours mais j’aime ça… Douche
et parfum! Je sens bon, ça fait du bien ça me rappelle toujours les voyages. Je
sais pas où je vais faire le prochain, Cambodge? Vietnam? Thaïlande? Je suis
jamais allé en Asie… Je pense au vaccin qu’il faut avoir longtemps avant… C’est
tellement loin je devrais y rester plus que dix jours… Cette nuit y’a des
odeurs de marché européen… La matriarche m’a raconté l’histoire d’un ami avec
une française chieuse qui trouvait qu’on avait pas de bon fromage, l’ami lui a
fait la leçon et elle s’est tue… Je termine là-dessus c’est la chute, la
conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bonsoir!
Bonjour! Les vacances sont officiellement commencé. J’ai compris que les gens
qui ont travaillé plus de trois ans au même endroit auront droit à une
troisième semaine de vacance. C’est bien… Je crois que je vais vous illustrer
ça avec une photo de Cape Cod où je suis allé en camping y’a quelques années, l’orage
est passé et on a été inondé y’avait plus moyen de dormir sur le sol, on a tout
laissé là et on est allé se louer une cabine de motel pas loin… Ici chez moi,
cette nuit je réussis à garder ça frais. On m’a proposé une nouvelle activité
pour cette automne. Je garde ça en réserve… Ceux qui veulent avoir une
représentation de la schizophrénie joué par des actrices devraient demander à
leurs organismes qu’ils invitent l’Espace Potentiel à jouer Au-delà des Marées,
une vision bouleversante de la schizophrénie … Cette nuit j’ai dormis un peu, j’entends
le babil sur les terrasses la nuit c’est en majorité des hommes qui sont dehors,
ils se saoulent en solitude… Y’a pas une femme qui veux d’un alcoolique actif
quoi que ça leurs permet de garder le contrôle sur la maisonnée, elles vont
pleurer pour le bonheur qu’elles n’ont pas eu… Même si on dis que c’est pas
bon, que c’est trop sucré je me suis servis un verre de jus d’orange
à écouter on ne peut boire que de l’eau et pour les plus fancys du vin… Je
pense aux ravages de la maladie mentale, à mon combat contre la stigmatisation,
encore heureux j’ai mon passeport je peux voyager, y’en a qui sont sous le
mandat du gouverneur général. Ils ne peuvent quitter le pays… Y’a ce gars qui
est retourné vivre à l’hôpital de psychiatrie légale, il ne veut plus rien
faire il a brisé sa vie. Y’en a plusieurs d’entre vous qui doivent se demander
ce que je fais, j’ai presque toujours vécu en lien avec la psychiatrie, j’avais
besoin de me faire soigner. Ça été tellement long avant que je réussisse à dire
ce dont je souffrais c’était indicible… Pourtant je me rétablis, ça fait pas
nécessairement de la bonne poésie… Je sais que plusieurs donnent un sens à
leurs vie avec des poèmes… C’est cette écriture quotidienne et nocturne qui me
tiens… C’est pas nécessairement une question de folie, les plus grands se sont
fait soigner pourtant ils ne sont pas resté ils se sont éloignés. Dans mon enfance
à l’école fallait faire attention aux hommes qui lisaient à la sortie, on se
plaisait à les appeler les maniaques alors que c’était tout bonnement des
criminels… J’en suis presque à la chute,
je pense à l’école primaire où j’avais qu’à traverser la rue, où on jouait avec
les copains sur le parterre de l’école. Les mamans avaient pas besoin de nous
surveiller elles nous entendaient crier dans nos jeux… Je vais conclure à ma
façon habituelle en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! J’ai eu les nouvelles que j’attendais de L’Espace Potentiel… C’est
encourageant… Aujourd’hui c’est très chaud… J’essais de composer du neuf. Je me
rappelle qu’à la petite école on nous demandait d’écrire une composition…
Vendredi, vrai début des vacances de la construction, la majorité des
vacanciers les passent au Québec, faut être prudent sur les routes… Ce matin j’ai
rencontré la nouvelle adjointe administrative du comité des usagers, ça s’est
bien passé, elle va commencer bientôt… Aujourd’hui je dirais que c’est la
prosodie du quotidien, je suis un peu gêné d’écrire sur ces thèmes. Je remercie
mon lecteur technicien de la Rolls-Royce qui est intéressé par ce que j’écris à
propos de mon voyage. L’hôtel c’était le Beresford un petit hôtel vieillot mais
propres quand je suis partis on m’a fait la gracieuseté des boissons douces
dans le frigo… J’aime beaucoup visiter des nouvelles villes, à Frisco grimpé
les côtes et les redescendre de l’autre côté pour aller voir les phoques. Je
pense que c’est la ville où je me suis le plus amusé, plus je vieillis plus je
me dis que j’ai le droit de vivre, c’est bien… Je le répète je me rétablis. Je
prends conscience que j’ai été très malade… Encore aujourd’hui j’essaye de
faire, d’écrire de mon mieux. J’ai bien aimé ma dernière journée là-bas, il a
fait très beau je suis allé dans l’immense quartier chinois… Me suis arrêté
dans un parc où ils faisaient du Taï chi… J’ai pris un café dans un bistro pas
loin qui était Italien… Y’avait un jeune homme qui écrivais il semblait
inspiré, c’était un bistro typique sans télé et de beau clients… Je me suis pas
perdus j’arrivais toujours à me retrouver entre la mer et le centre-ville.
Maintenant je cherche une destination au moins aussi agréable. Je reviens à mon
senti, cet après-midi je suis heureux même si j’ai un peu mal aux jambes, je
vous raconte ça comme ça en pensant à la regretté poétesse qui écrivait qu’il
fallait tout dire. Je crois qu’elle voulait nommer les émotions qui la
faisaient vivre, cette célèbre poétesse je l’ai rencontré une fois en sachant
bien après que c’était elle… Depuis elle nous a quitté comme son chum poète lui
aussi et le propriétaire de la librairie le chercheur de trésor, qui a
malheureusement pas eu le temps de vivre la légalisation du cannabis qu’il
aimait beaucoup… En voyage j’ai pas eu le temps de tout voir le San Francisco
Museum of modern art pourtant j’ai pris mon temps mais en regardant un
documentaire télévisé j’ai réalisé que j’avais pas tout vu… Je vous ai encore
raconté, j’espère que je répète pas… C’est presque la chute, je me suis laissé
emporter, quelques mots encore, mon senti est pas trop mal… Vous voyez parfois
j’ai de la difficulté à écrire une phrase complète, je termine où j’ai
commencée. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez-pas
vous y êtes presque. À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bonsoir!
Bonjour! J’espère que vous pouvez lire tous mes post… Minuit viens tout juste
de passer, j’ai regardé l’émission « Envie d’Évasion à San Francisco »
y’avait plusieurs endroits que j’ai visité mais pour le reste ça tournais
autour de l’alcool et des bars que je ne voulais pas visiter, plusieurs resto
et brasseries aussi… Cette idée d’endroit cool où chiller ça m’intéressais pas
tellement… Dix jours à San Francisco sans mentionner Castro le quartier gay ça
me semble impossible, la rue Powell et les cables cars dans les côtes, c’est
touristique mais ça reste à faire… Dans la navette pour l’aéroport lors du
retour cette dame qui disait que je suis « handsome »… Cette nuit
encore tout à mon somnambulisme je
cherchais un câble de tension qui n’existe pas… Y’a des quartiers où je suis
passé qui m’ont semblé tout endormis de Castro j’ai pris le métro jusqu’au
centre-ville, j’ai marché aussi où y’a de jolies maisons ce sont des endroits
riches… Je pense aux « Painted Ladies » ces maisons victoriennes, y’avait
tellement de choses à voir dans Castro je me suis arrêté prendre un café loin
du centre… Franchement c’est un voyage qui m’a marqué c’était tellement
agréable… Pour manger je m’en suis tenu aux « dîners » et aux pizzerias
près de l’hôtel, pas si cher malgré ce qu’on m’en avait dit… Bon! Je reviens à
mon senti d’aujourd’hui, ce matin je fais passer une entrevue à une personne
qui veut être adjointe administrative pour le comité des usagers de l’institut
universitaire de santé mentale de Montréal… Mon senti c’est heureusement la
psychose qui est disparue, le fait d’avoir tous mes sens et de ne pas passer
tout mon temps dans la douche parce que je crois puer… C’est qu’un aspect, je
vous écris pas sur cet état de manque extrême que j’ai vécu… Y’avait ce
camarade de bringue qui passait me chercher au milieu de la nuit, il
travaillait au théâtre et terminais tard, je comprends aujourd’hui qu’il
voulais pas aller se coucher… C’est terminé toute ces sorties nocturnes,
parfois on passait beaucoup de temps à chercher quelqu’un qui nous prêterais de
l’argent pour consommer c’était la galère… C’est finis je ne fréquente plus ces
univers, je me tiens tranquille chez moi. Je suis trop vieux pour m’amuser à
ces choses-là, souvenir de ces bars vides où j’étais heureux de passé le temps
avec le copain. Je suis revenu à ma thématique de prédilection. C’est absurde d’écrire
comme ça, parfois la machine me permet pas d’être lisible… Je vois cette
terrasse à Frisco qui sert des litres de bière importée d’Allemagne, on se
croirais en Bavière à Berlin ou à Munich, heureusement je n’ai pas bu c’est une
difficulté de moins. Bon ce seras une chute sèche, quelques mots encore pour
terminer, dans ma tête j’entends les Doors… Voilà!!! Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez moi pas là, je termine en ne sachant
pas comment conclure!!! À la prochaine j’espère!!!
Bonjour!
Bonsoir! Je rêvais encore que j’étais en voyage dans un marché des Antilles.
Aujourd’hui il fait si chaud on s’y croirais… J’ai fait la sieste c’est
réconfortant, ai démarré le climatiseur… Me suis préparé un café… J’aimerais
bien écrire quelque chose pour les nouveaux mariés malheureusement le mariage
je connais pas ça, j’étais trop souffrant j’ai jamais trouvé la femme de ma vie,
j’espère qu’ils vont faire un couple et une famille heureuse tout ça c’est bien
entamé… Je crois qu’il y a rien comme les voyages pour souder la famille, les
souvenirs qu’on ramène on les garde toute la vie… Je crois que mes lecteurs de
Deux-Montagnes à Myrtle beach reviennent ce week-end… Je pense à partir cet
automne, je sais pas où… On a pas répondu aux messages que j’ai laissé hier à L’espace
Potentiel… Je vais avoir l’allure d’un beau nono… J’ai retenu le théâtre et le
livre vivant comme stratégie de contact… Demain après l’entrevus, je vais me
rendre à la librairie Chapter’s pour acheter un Bukowsky original, illustré par
Crumb… La protection pour mon compte de banque est bien démarrée, je surveille
un peu chaque jour… C’est difficile cet après-midi, je pense aux nouveaux
mariés à Hawaii… Demain ce sont les vacances de la construction qui commencent…
Y’en a qui vont en profiter pour gosser sur leur chalet... J’aurais aimé encore
les voir jouer les jeunes filles. J’aurai essayé… Je crois que la philosophie
des psychodramatistes est différentes de ce qu’on fait avec le Théâtre du
Nouveau Monde… On devrais pouvoir leurs ouvrir la porte… Je pense que ça ferais
une fusion intéressante… Mais jouer l’émotion c’est difficile, nous n’en sommes
qu’à la lecture du texte, le jeu est minimal mais ça marche quand même y’a
quelque chose qui passe… Je pense que tout ça me regardait pas… Ils annoncent
une canicule pour ces quelques jours… Je veux vous donner quelque chose à lire mais
on n’est pas ici chez un grand littéraire il se rabat sur son senti et rêve…
Aujourd’hui je suis parfumé, j’aime mon odeur… Le soleil plombe dans la
fenêtre, le téléphone sonne pas, on m’a demandé de laisser un message mais on
me retourne pas mes appels. Je viens de regarder une vidéo européenne sur le
rétablissement, on y parle de reprendre pouvoir sur sa vie… Je crois que je
suis pas dans le champ mais je suis pas de ceux qui vont demander… Souvent c’est
difficile je crois pour le soignant de remplir les besoins émotifs, peut-être
que je comprends pas… J’essais de me rétablir, j’y arrive mais j’aime pas quand
on parle de travail comme d’un besoin… Souvent c’est le genre de travail pas
payant qui embête plus qu’il rétablis. Ça sert à quoi de travailler si le
salaire améliore pas votre quotidien et si c’est dans un milieu pas stimulant.
De toute façon je suis retraité j’y pense plus. C’est la chute comme toujours
je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!