jeudi 28 juin 2012
Here is something for you and me
Rebonjour! Rebonsoir! Je me sent comme un vrai tas de merde, tout ce que je fait ça vaux rien, les autres, l'enfer c'est les autres écrivait Jean-Paul, sont toujours mieux que moi et j'essais d'enlever la jalousie. Un scrappeur, un éboueur, un égoutier sont tous mieux que moi. Comment écrire que je suis découragé votre humble serviteur, humble et plus tout jeune est fatigué. Je vous ferai pas de chantage ce soir demain c'est une autre journée avec ses défis et ses difficultées. J'ai envie d'écrire que vous faites partis des difficultées mais ma vrai difficultées c'est mon caractère de cochon. J'ai de ces états parfois j'ai oublié que tout à l'heure j'ai pris une tasse de café, du café à vingt et une heure trente ça m'excite la neurone, ça me stimule négativement. Ça vous montre quel genre d'oiseaux je suis, une sorte de vautour qui se nourris de charogne nocturne. Faut lire le une charogne de Baudelaire c'est d'une beauté, une, j'allais écrire illumination mais puisque c'est une charogne.. Voilà ils ont tous joué dans la merde de par leurs métiers de par leurs visions. Quand je joue avec mon corps est-ce que je joue dans la merde avec? Pas beaucoup d'estime et vous avez raison. J'ai pas appris, j'ai toujours cru avec raison que j'étais un moins que rien. Je vais voler les vers de la chanson "j'ai mal à l'amour" oui j'ai mal à mes hauts mal à mes bas, pas à mes chaussettes. Je me veux poètes, poète prosaïque faute de vers inédits. Ma pauvre personne dans son univers de paumé a toujours de la difficulté avec les phonys. Je suis pas plus vrai que vous, c'est pas de l'humilité c'est de l'humiliation, toujours forcer à s'humilier pour que le fameux autre se sente mieux se sente bien. Je me réduis et essayez de réduire rien vous m'en donnerez des nouvelles et après et même pendant cette réduction c'est la mort. Partez pas en peur c'est de la littérature et ces pas mon dernier mot. C'est le premier de tout ces maux qui m'emportent, m'emportent avant d'accueillir morphée et de l'étreindre pour tout oublier dans les rêves extatiques, oui! Oui! Oui! L'extase du sommeil, pas celui du juste, j'ai pas cette prétention. Mais le sommeil de l'épuisement. Bonne nuit!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Painfully Berny
Here is something for you and me
Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui j'ai fait le veau devant la télé, Euro 2012, Allemagne contre Italie et j'ai pensé au quartier Petite Italie de Montréal, il y avait une foule en liesse. Au Québec je crois qu'il y a plus d'amateurs de pêches que de football, soccer s'entend. J'ai remarqué une chose j'ai toujours plus de lecteurs lectrices quand j'utilise des gros mots accolés à des célébrités, la controverse toujours la controverse mais mon nom c'est pas Jeff Filion. Je crois que cette semaine je vais avoir une nouvelle lectrice enseignante de profession. Je lui souhaite la bienvenue. Je suis dans un drôle d'état, j'essais de mettre en forme un long texte, c'est pas facile et j'ai peur de déplaire... Dans le parc en face c'est le Goulag 2012 avec autant de nationalités que l'Euro. Je sais bien que vous avez autre chose a faire que me lire, c'est rien mon blog dans ce monde hyper-médiatisé. Les bloggeurs, ceux dont on entend parler c'est toujours des malades ou des délinquants. Je reviens souvent aux moines et à la calligraphie, ce sont les écrivains fondateurs qui tenaient les annales. Cette semaine je me suis mis a pensés aux annales de Sainte-Anne on recevait ça à la maison paternelle avec le sélection du reader's digest ça faisait son lot de textes édifiants. Y'a aussi les publicités télévisées sur Notre-Dame-du-Cap un beau lieu de pélérinage ou je suis allé dans mon enfance. Je mélangeais ça avec Sainte-Anne-de-Beaupré près de Québec, je pense aux béquilles, aux chaises roulantes et à toutes les prothèses des miraculés mais j'ai jamais entendus dire que des dents avaient repoussés. Mon intention c'est pas d'écrire comme un moine mais d'essayer de garder ma langue maternelle vivante et attrayante, malheureusement je suis pas un humoriste et comme je l'écris souvent j'ai pas le sens de l'humour du moins pas celui de Rozon et de l'école... Lentement le soleil se couche, j'ai entendus dire qu'à l'époque des colonies anglaises le soleil ne se couchait jamais sur le commonwealth, mais il se couche bel et bien sur le goulag de Montréal. Je me suis fait un café il est un peu tard, je sais pas si dans un blog il faut rester intemporel me semble que ça déshumanise que c'est moins vrai. Cette "littérature" là en est à ses débuts et je pense toujours aux innombrables analphabètes du Québec. Je pense à vous tous qui êtes si patients avec moi et qui choissisez de me lire. Je suis pas un prix Nobel de littérature parfois je suis, je sais pas comment on dis, odieux? Niaiseux? Je sais que les gens sérieux sont à l'hôpital ce soir à prendre soin des malades d'autre a sauver des vies, moi je vous propose ces petites choses un peu pour faire réfléchir et sortir de mon égocentrisme maladif. Je termine en vous disant, c'est un peu moraliste, de prendre soin de vos proches dans ce si bel été. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Quietly Berny
mardi 26 juin 2012
Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Pas de répit, je vous écris de ma nuit en pensant à tous les marmots en vacances, à ceux qui sont en camp de jour et qui s'amusent. Moi je me souviens je jouais au baseball et je me rappelle que notre lecteur de Deux-Montagnes plus aristocrate jouais au tennis. C'est vraiment l'été et je suis accroché à cette machine. Je suis dans le silence au métro Frontenac ils ont installé un moulin à prières moderne, des rouleaux avec des photos de Montréal reste qu'a les faire tourner. Vous pouvez vous rendre sur Facebook ou sur Reverbnation pour écouter ma dernière toune déjantée. Le goulag l'été c'est pas mal mais dans ma grande peur des espions de sa majesté j'ose pas sortir. Je disais à ma conseillère de Mascouche, une sage dame, je disait donc que je n'aimais pas les rassemblements, les foules. Une foule c'est pas très intelligent et ça prend pas grand chose pour se faire piétiner à mort. Je sais pas si vous suivez l'Euro 2012 mais là on a droit à du jeux de grand calibre mes favoris sont l'Espagne et le Portugal avec une grande admiration pour Ronaldo. Bon! On y va dans l'ordre de l'intime y'a rien de pire pour dormir que de vieux draps contour qui tiennent pas le matelas et qui sentent le vieux pogo. Mon blog est pas très interactif je vous garde captif, je sais pas pourquoi j'écris ça, c'est pas fort cette nuit du fond de mon ennuis. J'ai finalement trouvé comment faire le u accent grave voilà ù, mais c'est où? Je sais pas. J'entend les trains, les trains du matin dans la gare de triage tout près. J'ai parfois envie d'en jumper un mais j'ai peur de rater et d'y perdre les jambes. Je suis pas un hobo à la Woody Guthrie. Dehors des voix, c'est l'heure où on ne peux plus se réfugier dans les bars licites faut chercher les illicites tant qu'on a quelques dollars ça va. C'est étonnant comment ce courraillage dans les blind pigs vous donne l'impression d'être plus vivant pourtant la mort est là tout près dans les abus de substances trouvées dans la rue... Ça fait longtemps que vous avez mangé deux ordres toast au restaurant, on dirais que ça existe plus on en a que pour le petit déjeûner californien. Bon! J'ai mis les actualités c'est le bordel en Europe. Soudain j'ai l'auriculaire engourdie, à Rédio-Kénada on fait des économies on rediffuse les émissions. Y'a longtemps un gars me traitait de Led Zeppelin en référence au groupe rock, disont que j'avais une attitude rock intenable avec le temps je suis devenus plus smooth. J'ai une saveur de hot-dogs dans la bouche, à la radio ils parlent de la merde de castor dans l'eau. Soudain j'ai un parfum d'after shave viril ça sent pas la poupoune. C'est l'été enfin j'espère que tout le monde joue dehors. Je termine. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Summy Berny
dimanche 24 juin 2012
Here is something for you and me

mardi 19 juin 2012
Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Je viens d'écouter Francoeur aux Franc-Tireurs, je suis pas d'accord avec lui mais on est pas tous abrutis parce qu'on a un PC. Je les ai lu les poèmes de Francoeur, de Vanier aussi de Jean Basile, de Miron, de Godin. Je peux pas vous les réciter par coeur sauf ceux de Lucien, qu'il me pardonne d'utiliser son prénom. Je pense à Alain Grandbois à Saint-Denys Garneau à Rolland Giguère et a combien d'autre poètes qui m'ont ému. Moi je parle souvent comme un proctologue j'ai un problème avec le trou de cul. Je suis pas aussi fin que Paul-Marie Lapointe. La machine elle me sert à ça écrire et ça me sert à rien de dire que les singes sont capables de faire ce que je fait j'ai pas encore vu un singe écrire. Y'a quelques années j'écoutais les courageux animateurs de poètes vos papiers à Radio Centre-Ville j'aimais ça. La contre-culture Lucien elle est sur la machine ce soir, tu l'a dis en entrevue ça l'air fou un bonhomme de soixante cinq ans en Harley-Davidson. Y'a plus de contre culture motorisée elle est informatisée et on peux parfois si on est chanceux voir une réinvention du langage. Je pense à Claude Gauvreau... Je sais Je sais les grands poètes sont dans les livres pas sur l'écran. Je parlais avec ma douce de l'évènement Nous que j'ai regardé en partie y'avait de la poésie là dedans madame. Je m'essais parfois a écrire de la poésie c'est long et qu'est-ce qu'on peux écrire après Baudelaire Verlaine et Rimbaud. Ça fait de bien pâles poèmes que les miens, ils sont longs a venir quand même Lucien j'ai apprécié que tu nous mette aux parfums des salaires d'un band à Sept-Îles pour un soir, cinquante piastres ça paye même pas le motel on dors dans le truck. Je t'ai vu en show Lucien y'a longtemps avec Aut'Chose à la place des étoiles à la ronde. Y'a pas un de mes chums qui étais venus avec moi c'étais dans les années soixante dix et là je pense aux Jade et cristaux d'un poète mineur Sylvain Campeau que j'ai vu frencher son copain il y a longtemps sur une terrasse de la rue Saint-Denys. Josée Yvon disait qu'il fallait tout écrire et là je pense à José Acquelin à Sonia Coppens enfin le malade votre humble serviteur lis de la poésie en attendant de faire des vers. Je vole les vers de Francoeur pour terminer "le crâne qui gèle la tête qui craque c'est moé le freak de Montréal. J'ai mis des ailes à mes bretelles un stéréo dans mon cerveau j'ai l'univers dans ma cuillère" Merci Lucien! Et a vous tous merci d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine j'espère.
Poetry Berny
dimanche 17 juin 2012
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mercredi 13 juin 2012
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lundi 11 juin 2012
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samedi 9 juin 2012
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jeudi 7 juin 2012
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mardi 5 juin 2012
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dimanche 3 juin 2012
Here is something for you and me
Bonjour! Bonsoir! En ce dimanche matin c'est le tour de l'île à vélo, les rues ont jamais été aussi tranquille. Êtes vous comme ça vous autre? Accroché a votre ordi? Aussitôt que vous êtes rentrés à la maison vous êtes immédiatement en ligne. Moi c'est toujours comme si j'allais recevoir un mail du Pape ou de Barak Obama... Je mange une banane, me fait un café... Ce qui me fait capoter ce sont ces déja vu, comme si je répétais un pan de ma vie. J'ai appris qu'un couple de lecteurs de l'Outaouais étaient maintenant les heureux propriétaires d'un gros truck rouge, moi le rouge j'aime bien, c'est la couleur des pompiers et de la révolte communiste c'est aussi la couleur du feu, le truck il est d'un rouge flamboyant avec du chrome, une belle machine!!! Hier y'avais plus de place pour le film que je voulais voir et la galerie d'art que je voulais visiter étais fermé, j'ai quand même marché en bonne compagnie sous la pluie, I was "signing in the rain"... Ouais!!! Je fait mon chemin, moé la bière j'aime pas ça pis je suis pas tapette pour ça -Robert Charlebois. Je pourrais m'approprier cette phrase. Pourrais, c'est pas fort fort comme conjugaison. Ai mis la radio sur une station populaire, je sais pas combien de temps je vais résister à la niaiserie... Dans le goulag entre l'asphalte et le béton c'est vert, les vélos vont nous rendre visite et se désolé des paysages du goulag quoi que sur le viaduc tout près on a une belle vue du fleuve. Je suis triste de na pas participer au printemps érable, de ne pas taper sur mes casseroles. Je suis quand même moralement avec tout ces gens.Ça se peut pas, il faut que les choses changent. Je veux pas m'écraser devant les puissances de l'argent comme le font les libéraux. Je dérive et je divague, je divague et je dérive pourtant tout ce que je vous raconte c'est vrai. La poète Josée Yvon disait qu'il "faut tout écrire". Ma douce aimeras pas ça mais je vous écris qu'hier on a soupé chez le chinois c'étais bon et pas de vaisselles a laver. La pluie a cessé y'a des éclaircies quoi de plus banal que la pluie et le beau temps. On entend un mégaphone les courreurs cyclistes passent devant tout le monde, courreurs!!! Ils ne courrent pas ils pédalent, enfin c'est une course... Le vélo c'est la petite reine pas certain que les cyclistes sont au courant. Me suis fait un autre café, je croyais que le lait étais caillé mais non! Je sais pas si ça vous intéresse mais je mange des petits gâteaux aux gras trans, mon coeur mes artères, je pense à un de mes lecteurs de Terrebonne qui a eu des problèmes de cette nature. Ça fait plus de trois ans que j'ai cessé de fumer, les gâteaux c'est pour me récompenser mais je deviens gros... Je change de chaîne? Non! Parfois ça me rappelle mes années de bringue... Je sais qu'il y a des gens tristes aujourd'hui, qui essaient de se remettre de leurs soirées trop arrosées. Une fois de tants à autre c'est pas grave mais des hangovers qui durent toute la semaine... Je suis de tout coeur avec vous. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Cycly Berny
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