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Bonsoir !
Bonjour ! Aujourd’hui ça a été une journée télévision. Différents
documentaires sur la France et j’ai terminé avec un match éliminatoire de
hockey que l’équipe locale a gagné. C’est bien… J’ai beaucoup aimé l’émission
sur les petits trains français et aussi
celle sur le Var… Pour le hockey ils ont expatrié l’équipe locale à Toronto… Quand je vous raconte ça c’est pas
impliquant émotionnellement et c’est justement ce que je veux vous faire lire
mes émotions, mes sentiments je veux les partager avec vous, tout doux !
Tout doux ! J’aimerais vous écrire et que ça vous fasse chaud au cœur…
Déjà août, la rentrée et l’inoubliable parfum de cuir cartonné toutes les
fournitures scolaires et les réglettes de différentes longueur pour les
mathématiques qui me font encore et toujours
peur… Toujours le souvenir de vêtement neuf que j’avais de la difficulté à
porter… Les réglettes c’était dans une boîte de plastique bleue, différente
couleurs je croyais que c’était un jeu… J’étais qu’un enfant parfois le
patriarche m’amenait au forum au match de hockey, c’était excitant j’avais toujours
le magnifique programme remplis de photos même quand j’y allais pas le
patriarche le ramenait, ça me faisait quelque chose à lire le dimanche. Je
lisais aussi la chronique de Maurice Richard dans le Dimanche matin, il la racontait
et un journaliste se chargeait de l’écrire… À l’époque c’était vraiment la
meilleure équipe de la ligue nationale de hockey… Au Québec pour un jeune
garçon le hockey est très important, c’était pas toujours nécessaire de jouer
mais on pouvait en discuter… Dans mon adolescence je passais parfois mes
dimanches après-midi à l’aréna où je regardais l’équipe des copains jouer
contre une équipe d’une autre ville de la ligue… Plus tard j’ai
joué avec comme seul équipement des patins un bâton et des gants… C’est pas
tellement mon senti cette nuit… Y’a quelqu’un qui s’amuse sur les passerelles
un autre égaré… Ouais! La vie est étrange, on se fait des amis on les perd
trouve une autre gang et on continue, l’alcool est toujours présent là-dedans…
J’étais carrément très désagréable… Dans ma
folie je voulais être aux mêmes endroits en même temps deux ou trois fois, c’est
compliqué un peu comme je vais voir ailleurs si j’y suis… C’est peut-être pour
ça que je me suis jamais trouvé toujours cherché… Vous écrire c’est une façon pour
moi de me réaliser… Voilà ! J’y arrive encore cette nuit malgré la peur du
solitaire, les voix que comme toujours j’entends dans la rue… Faut dire un paranoiaque c’est pas très brave…
Je sais jamais comment terminer, je pense encore à la victoire de l’équipe
locale… Les poètes maudits étaient rejetés, emprisonné, persécuté je crois pas
être de ceux-là quoi que parfois la malédiction… Aujourd’hui dire « un
grand maudit fou » ça a pas le même sens qu’au dix-neuvième siècle… Félicitation
à l’équipe locale. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots et c’est
terminé, à la prochaine j’espère!!!
Bernard
Bonsoir !
Bonjour ! Si jamais vous perdez un sac de papier vide qu’il s’envole dans
le vent soyez prudent si vous partez après. C’est ce que j’ai fait et j’ai
perdus l’équilibre me suis étendu de tout mon long sur l’asphalte maintenant je
suis tout courbaturé, c’est douloureux… Je consulte pas le docteur ça va passer
et j’ai pas envie de me déformer en portant un corset… C’est la
soirée de vendredi à samedi, les clients buveurs de bar sont désolé de devoir
passé leurs dernière commande à minuit, dans le temps au last call on demandait
deux grosses bières. Je sais pas si ça existe encore, Who’s gonna drive you
home tonight, https://www.youtube.com/watch?v=6GJyP5WwOu0 voilà ce qu’on nous faisait jouer avant de
partir, une chanson mémorable… Ça faisait loin partir de Terrebonne pour se
ramasser dans le bas de la ville, me souviens d’un copain gay de ma douce du
moment, il s’était fait agresser dans le village… Ça fait longtemps, je me
plantais debout dans le bar je buvais et je ne sais pas ce que j’attendais
parfois je téléphonais à un où deux chums qui ne venaient jamais… Un film dur
pour comprendre tout ça « Looking for mister goodbar ». Ce soir je
vous illustre ça avec le Moulin Rouge au pied de la butte Montmartre. J’y suis
jamais entré le corona virus doit lui donner un coup… Le night life, les boîtes
ça peut paraitre amusant mais je n’y vois plus que des gens qui veulent endormir
leurs désespoir, égayer leur malheur… Mais oui! Mais oui! On y va, je sais pas
où mais on vide les bouteilles et on part… L’été niaiser dehors la nuit ça va
mais l’hiver on cherche la chaleur… Parfois c’est dans le lit d’une rencontre,
d’autre fois on marche pour traverser la ville jusque chez-soi… La majorité des
bars que je fréquentais y’a plus de vingt-cinq ans sont fermés, je passais de l’un
à l’autre je trimpais… Je me vois seul au
club, les gens me regardent et rigolent, je me commande une autre bière et je
fais passer… Quand j’y entrais je perdais le sens des dimensions, le club c’était
qu’un coin de rue… Ce soir j’essais de pas entretenir de nostalgie, je me
rappelle surtout de la douleur… Je pense aux ambulanciers qui viennent me
chercher en pleine psychose, dope et alcool départ pour les corridors de l’hôpital,
le plus étrange c’est que je réalisais pas que la consommation me tuais… Ce
soir je savais pas trop quoi vous écrire, on annonce une deuxième vague de
coronavirus. Je vais encore me confiner, il est plus question de trainer dehors…
Ouais! Je suis presque à la conclusion comme vous voyez il se passe rien de
remarquable avec la boisson encore cette nuit je suis à jeun… et c’est tant
mieux mon senti se terre loin dans mon âme. Comme toujours je vous remercie d’avoir
lu jusqu’ici!!! Lâchez pas c’est terminé, à la prochaine je l’espère!!! Au
revoir!!!
Bernard
Bonsoir !
Bonjour ! Le fils de la voisine est passé chercher son vélo qu’il
avait verrouillé sur la passerelle. Il a pas manqué l’occasion de me traiter de
« gros esti de fif » c’est comme j’écrivais je suis chez moi et il
faudrait que je m’excuse d’être là,
comment dire, la laissé recevoir qui elle veux le jour où la nuit sans suivre
les consignes… Ça s’ appelle de la maladie mentale le goulag occidental en a
une grosse proportion c’est difficile de démêler tout ça gay, schizophrène
alcoolique et toxicomane…tout ça dans la même personne. Parfois pour éviter
tout ça j’irais m’isoler dans le fond des bois mais je connait pas assez la vie
en forêt je survivrais pas. Aujourd’hui c’est le dernier jour du mois malheureusement maintenant les bars ferment à minuit, à peine
le temps de faire une saucette prendre un ou deux verres pour un alcoolique c’est
pas terrible. Disons que de ce temps ci la fortune est pas dans les débits de
boisson. J’ai encore mal au dos après la chute que j’ai fait la semaine
dernière… Je me demande comment les gays vivent comment ils vivent les
insultes? Encore ce soir j’ai regardé une émission sur une région du sud-ouest
de la France, sur les conseils de ma lectrice de Gatineau j’ai regardé un cours
film sur la magnifique île de Noirmoutier… J’ai pensé que si avec son chum elle
faisait un séjour à Paris ça pourrais être amusant de se retrouver là sur la
terrasse d’un bistro…. Je pense encore beaucoup aux départs, aux aéroports et
aux avions… Les chercheurs vont peut-être
trouver un vaccin bientôt… Avec tous ces châteaux en France y’a toujours
quelques choses à voir, faudrait que j’en profite pour renouveler mon permis de
conduire quoi que je préférerais être dans le siège du passager pour mieux voir…
J’ai visité qu’un châteaux en France c’est le Louvres quoi que le jardin du
musée Rodin est très beau c’est un hôtel pas un château, Hôtel Biron rue De Varennes
dans le septième arrondissement, il assure depuis mille neuf cent dix-neuf la
conservation et la diffusion de l’œuvre d’Auguste Rodin (1840-1917) Bon! Je
reviens à mon senti, on arrive à vendredi… Je me prend toujours au jeu, je suis
toujours heureux de vous écrire… Hier avec l’intervenante je parlais de madame
Christine Lagarde présidente de la banque centrale européenne comment c’était
une belle femme à qui le pouvoir allait bien… La France, heureusement je vie
pas là mais j’aime bien y voyager… Lentement j’avance dans la nuit… Quand je
parle de Rodin je pense beaucoup à Camille Claudel une femme, puisqu’on parle
des femmes, de génie… En ce moment je suis dans l’angoisse nocturne je l’écoute
pas je continue à écrire. J’ai presque terminé quelques mots encore pour bien
faire… J’entends le klaxon d’une voiture je sais pas ce qui se passe. Je
termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je
l’espère!!! Au revoir!!
Bernard
.
Bonsoir! Bonjour! Je suis muet, je sais pas trop quoi
vous raconter ces jours ci mes journées passent devant la télévision des
documentaires extraordinaires sur des départements français ça s’intitule « Les
cent lieux qu’il faut voir » c’est magnifique… Qui c’est qui va aller en France
l’an prochain? C’est bibi! Ici pour l’instant je me confine j’essais de rester
à l’écart de mon prochain… J’ai aussi regarder dans un autre genre une
docu-série sur la mafia de New-York… Rien de ce qu’on ne savait déjà… C’est
étrange je me sens comme une nuit plus tard, ce soir avant d’aller un peu
dormir j’ai pris une
douche, je sent bon… Mon senti
se présente pas de différentes façons c’est toujours pas mal pareil parfois je
sais pas trop quoi pensés des huiles essentielles peut-être que ça pourrais m’aider
dans ma schizophrénie virulente… Encore cette semaine un jeune homme qui a tué
sa mère mon combat contre la stigmatisation se poursuis c’est difficile d’envoyer
quelqu’un se faire soigner quand y’a une demande à l’aide les autorités doivent
écouter. C’est épuisant de ne voir que ça, de n’entendre que la folie
meurtrière, mon combat il est là dans l’ordinaire de la maladie… Comme toujours
à la télé on ne voit que le monstrueux peut-être que ce blog participe à ça la
douleur pathétique de la maladie… Je pense aussi au discours comment dans la schizophrénie
il est souvent insensés et on peine à le reconnaitre… Le sens je m’efforce de
le garder… Je tiens pas à ce que mes écris soient délirants ce soir. Tout ne
passe pas nécessairement par le sentis, souvenir de ce voisin qui m’engueulait
parce-que le ménage était pas fait chez moi. Ils sont venus le chercher dans une
camionnette blanche… Je sais pas pourquoi je m’entête à écrire… Ce soir j’avais
hâte d’arriver à ce moment où je vous écris, j’aime ça! C’est contradictoire… Y’en a toujours pour me dire où je
devrais écrire et comment encore une fois je le répète c’est un journal de
confinement… Parfois les gens sont méchant, les
artistes c’est eux moi je n’y aurais pas droit… Tout juste faire la plonge dans
un bistro de seconde zone… Bientôt ça va faire vingt-sept ans que j’ai pas pris
une goutte d’alcool que je me rétablis… Je vais essayer de garder ça comme ça
pour aujourd’hui… Une journée à la fois le temps passe… Je vieillis parfois j’ai
peur d’avoir une autre maladie… Mes écrits ça tourne toujours autour de la même
chose. Je vous illustre ça avec un arc à Lille en France… Le voyage ce serait
pour m’inspirer d’autre chose… Je suis presque rendus à la conclusion pour
cette nuit. Je sais je l’ai pas l’affaire c’est surtout vous… C’est toujours
difficile de terminer, d’épiloguer… J’essaye de pas m’auto-dénigrer, je suis
seul avec ma « création » quelques mots encore pour vous remercier d’avoir
lu jusque-là!!! Je termine vous êtes bien bon. À la prochaine je l’espère!!! Au
revoir!!! Ciao!!!
Bernard
Bonjour !
Bonsoir ! Toujours à ma manie j’ai visionné différentes émissions télé sur
la France. J’ai hâte qu’il soit possible de voyager. Hier je
pensais à cet heureux moment où nous étions allé manger des huîtres au marché
avec le couple d’amis. C’était agréable… Des moments comme ça j’en prendrais
plein. C’est la nuit de
mardi à mercredi, je vais me faire un
café… Je regarde toujours les aéroports et les avions avec plaisirs hier à la
télévision y’avait un monsieur avec un vélo solex, ça aussi c’était magnifique
j’ai pensé au copain instituteur à la retraite… J’ai pas tellement besoin de
chercher mon senti vous l’avez là… Je suis malheureux quand ma lectrice
privilégiée fait pas son commentaire… C’est
toujours le journal du confinement, ce soir j’ai une réunion virtuelle
pour préparer une formation sur la stigmatisation… J’ai de la difficulté à
écrire… à la télé y’a des recettes typiques de chaque régions ça semble
délicieux. Hier on a discuté des rechutes comment parfois il faut passés par là
moi j’y tiens pas, je sais que si je rechutais on me laisserais chuter jusqu’à
la mort, je reste donc abstinent pour aujourd’hui… Je vois souvent des gens qui
disent avoir eu un problème avec l’alcool et qui consomment encore, je trouve
ça malheureux… Ce soir je vous illustre ça avec la fontaine du parc
du même nom… J’ai le Hey Joe de Jimmy Hendrix dans la tête, je suis souvent
angoissé la nuit j’ouvre la boîte de biscuits. L’équipe locale de hockey a perdu son match préparatoire.
Samedi les matchs éliminatoires commencent… Parfois je me questionne sur ces écritures,
y’a une voix en moi qui dis que je sais pas écrire pourtant je suis toujours
heureux de vous écrire quand la nuit arrive… L’enfer,
quoi dire de l’enfer c’est peut être ça qui nous rends meilleurs… Ce soir avant
de vous écrire j’ai dormis un peu, mon propos est pas très fort parfois je m’étends
et j’essais de trouver ça arrive pas, c’est le vide total… Je sais pas si j’avais
fréquenté le milieu universitaire si j’écrirais. Je veux pas faire une job de
cochon… Je pense à tous ces grands écrivains talentueux qui se sont enlevés la
vie. Je sais l’idée de mourir donne pas plus de talent. Je me répète j’ai écris
ça ailleurs… Le nouveau c’est tout simplement que je reste seul confiné pour me
protéger… Voilà! Je suis rendu à la partie la plus difficile, terminer avec du
sens ce que je voulais vous écrire, il s’agit pas sens comme essentiellement de
senti, cette profonde blessure sentimentale, je sais pas si je peux écrire ça…
J’en arrache c’est pas douloureux mais c’est sans bon sens. Je me donne la
permission, j’écris essentiellement mon sentis parfois je crois qu’on veut me l’interdire.
Un dernier petit mot pour notre lecteur technicien à la Rolls-Royce qui est sur
la côte nord j’espère qu’il fait bonne pêche. Comme toujours je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard
Bonsoir! Bonjour! Aujourd’hui j’ai regardé des
émissions sur ce qu’il y a à voir chez nos cousins français. Je commence à être
friand de châteaux je vais vous illustrer ça avec une photo du Louvre. J’attends
juste que la pandémie se calme et je traverse… Pour ce qui est de mon senti on
dirais que mon bas du dos veux me lâcher, j’ai peur… Mardi de fin de mois il y
eut un temps où j’avais plus rien à manger et où j’empruntais de l’argent quand
j’en parlais à l’intervenante elle me disait de vendre mes livres. Je voulais
pas faire ça ça aurais été comme m’arracher le cœur une deuxième fois… Je pense
à cette dame qui disait si c’est des produits du terroir de proximité sans
pesticides j’aimerai pas ça!!! Je crois qu’elle en voulait plus à la personnalité des
marchands des petits producteurs tous en convivialité et cherchant tous à faire
revivre le terroir, une nouvelle vie pour les produits français… Je dois vous
dire que pour moi le vin c’est plus possible à l’époque j’adorais ça mais
maintenant je peux plus… C’est peut-être ça que la dame aimait pas, la façon qu’ils
ont de présenter leurs vins… Ici les éleveurs que je connais dans ce genre là
ce sont les poulets d’Angèle à Saint-Esprit tous les babas cool y vont… J’ai l’habitude
de dire tant qu’à se nourrir
naturel sans viande pourquoi ne pas manger la moulée directement on saute une
étape dans la chaîne alimentaire… Je reviens aux vins de tous les alcools c’est
celui que je regrette le plus mais finalement j’avais le vin triste… J’ai
jamais voulu être un macramé, manger végé et me soigner aux huiles
essentielles. Quand on est pauvre on se nourris pas chez Tau où chez
Rachel-Béry… Je sais pas si ils se font des B.B.Q. tout nu sur la plage en se
faisant du taboulé où des sandwichs au tofu… Je vous écris ça et je bave
vraiment… Je pense à tous ces maraichers biologiques qui attendent la main d’œuvre
mais sont pas disposés à garder les gens d’ici même si ils sont moins rapides
moins efficaces que les sud-américains. Changement de propos la musique a pas
changé le monde, je pense à ces jeunes filles à ces enfants qui font la file
pour rentrer au club, toutes aussi peu habillées que des rock-stars, Karl Marx
se tiens pas dans les boîtes de nuit… Comment vous raconter ma finitude, les
gens qui changent leurs alimentations, comment après avoir vraiment crevé de
faim j’étais mal venus de critiquer la bouffe que la douce cuisinait. J’ai
quand même toujours beaucoup adoré les frites et les burgers… Bon ! C’est
presque la conclusion, j’ai pas lavé la vaisselle d’hier, je cherche comment
aboutir, l’épilogue c’est pour que vous reveniez… Ça vous plait ? N’hésitez
pas à le faire savoir. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!!
Voilà c’est une courte conclusion. À la prochaine j’espère, au revoir !
Bernard
Bonsoir !
Bonjour ! Le week-end est presque terminé. Demain y’en
a encore plusieurs qui vont être en vacance. Ma blessure à la main semble
guérie c’est toujours le journal du confinement aujourd’hui je suis pas sortis…
J’ai essayé de dormir quelques heure j’y suis pas arrivé. Je vais vous tracer
une carte de mon senti, la langueur, la longueur, l’ennuis et la nostalgie c’est
pas tout mais c’est ce qui me viens tout de suite à l’esprit avec le temps c’est
moins virulent mais je ne peux m’empêcher de pensés à avant la maladie quand j’étais
un jeune homme actif et heureux, y’a ces quarante ans qui sont passés entre les
hospitalisations, les consultations et le délire psychotique… Je l’aurai quand
même pas toute ratée ma vie souvent quand je sortais je rentrais pas manger
pour souper. Le beauf avait pris ma place, c’est tant mieux… Parfois j’avais
des discussions brillantes avec des jeunes filles souvent j’apprenais qu’elle
allait se marier et le copain me signifiait de pas revenir pourtant j’aurais
beaucoup aimé continuer la conversation avec elles… J’étais admiratif je savais
que c’était des universitaires nos causeries étaient tout mais pas
superficielles. Moi ce que j’ai appris c’est dans la vie, ça fait quelques
années que j’ai cessé mes mauvaises habitudes. J’aime bien les échanges au
début d’une relation c’est riche mais malheureusement ça dure pas… Je sais pas si
mon lecteur technicien à la Rolls-Royce se souviens des chapeaux de paille que
le regretté oncle Bernard nous avait acheté pour aller pêcher avec le
patriarche dans une petite rivière… Je pense aux petites maisons à colombage
que le cousin fabrique, elles sont magnifiques, hier j’en ai vue de vrai dans
une émission sur l’Alsace… Ce soir je suis content de vous écrire, je reste
chez moi de peur d’être infecté… Je capote toujours autant quand je vois des
aéroports et des avions y’a toujours ces critiques pour dire qu’on voyageait
trop, eux ils se sont tout permis et nous même après la pandémie on devrais
rester grounder… C’est étrange quand je suis couché j’essaye de faire des
phrases avec des formules alambiquées, j’y arrive pas… Demain réunion zoom du
groupe Reprendre Pouvoir, je sais pas ce que je vais raconter, mes fins de
semaine difficile mais aussi le grand plaisir que je prends à vous écrire… Je
sais pas si votre lecture est celle de mon senti? N’empêche j’ai hâte qu’ils
trouvent un vaccin mais je crois pas que ce seras pour demain. Je vais me gaver
d’émissions sur les régions françaises faute d’y être ça me feras rêver. Je
suis content la fin de semaine est terminée encore aujourd’hui j’ai pas affaire
à sortir. Les cultivateurs se plaignent du manque de main-d’œuvre la dernière
fois je suis allé dans un verger de Frelishburg, je suis pas resté deux jours
je ne sais pourquoi on m’a renvoyé… J’arrive à l’épilogue à la conclusion.
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Bernard