lundi 16 novembre 2020

Vent

 

Bonsoir ! Bonjour !  Aujourd’hui il faisait grand vent, temps de bateau de voilier. Le Vendée Globe a débuté le tour du monde sans équipier sur un vaisseau de soixante pieds je crois… C’est dangereux je pense à Gerry Rouf qui y est disparus, Tabarly aussi je crois, y’a des hommes comme ça qui n’ont pas pu se passez de la mer et qu’elle a avalée. J’ai un copain qui l’an dernier est partis en équipe d’ici pour aller jusqu’aux Açores. Je crois qu’il a réalisé un rêve et sa passion de la voile est disparue, Je pense aussi au génie de Jacques Brel sa passion qui l’avait menées aux Maldives un grand solitaire… Pour nous les continentaux la mer s’est beaucoup La Calypso du commandant Cousteau on a grandis avec ça à la télé y’a aussi l’animateur de radio Le Bigot qui est un grand marin toujours heureux de partager sa passion nautique… Pour moi ça été long avant que je me rende à la mer c’est à peine depuis quelques années que j’ai découvert Cape Cod avec ma copine de l’époque. Pour les bateaux j’ai été rat de cale sur les navires des Simard, je nettoyais les réservoirs et remplaçait quelques tuyaux, quelques valves à quai au port de Montréal… Je suis jamais devenus marin un copain essayait de s’embarquer il a pas réussis. C’est assez épeurant cette écoutille qu’on franchissait la nuit pour descendre à fond de cale… La mer pour moi c’est aussi la Guadeloupe et les Antilles quelle beauté… J’ai pas été marin je sais pas nager… Je survivrais pas à une tempête en mer… J’aimais quand même bien la navigation de plaisance avec un copain sur le lac Saint-François je crois à Salaberry-de-Valleyfield… Après les avions je vous emmène en bateau, y’a une expression comme ça qui dis « monter un bateau » c’est raconter un gros mensonge… N’en  reste pas moins que dans le langage courant on parle de grand vent de petit crique le vocabulaire nautique des ancêtres est pas complètement disparus… Je suis incapable de faire des nœuds et de barrer comme on dis j’ai pas le pied marin… Nos ancêtres ils ont traversés la mer dans des conditions difficiles je crois que plusieurs sont arrivés au Nouveau-Brunswick et d’autre dans le bas du fleuve qui est presque la mer. Dans les provinces maritimes y’a même une ville qui s’appelle Saulnierville. J’ai un copain malheureusement décédé qui m’appelait monsieur Salière à cause de mon patronyme qui désigne à l’origine ceux qui ramassent le sel, il partait de sel pour aller à Saliéri et terminer avec salière, une sorte d’étymologie vulgaire… Y’a plus de croisière touristique sur ces énormes bateaux, j’aurais peur là aussi… Je termine avec une magnifique chanson de Michel Rivard   https://www.youtube.com/watch?v=4BhZm4Eevm4 c’est très touchant… J’ai de la difficulté à finir, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas je souhaite vous revoir dans une prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao

Bernard


1 commentaire:

  1. Très bon ce texte aux airs maritimes...je n'ai pas trop le pied marin non plus bien que sur l'eau calme d'un lac, j'apprécie le ponton. La voile très peu pour moi. Mais je ne peux me passer de voir la mer régulièrement. Elle se déchaîne ces temps-ci en Amérique du Sud avec les nombreux ouragans...bonne journée les deux pieds sur la terre ferme comme dirait mon petit Thomas...😍

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