jeudi 6 février 2020

Albatros


Bonsoir! Bonjour! Le fournisseur de services à téléphoné hier pour faire des changements soi-disant pour me faire économiser. J’ai dit que j’allais payer, de tout laisser comme ça de toute façon j’y crois pas à leurs économies ils vont toujours finir par me rattraper c’est pas une entreprise de charité… Hier j’ai regardé un film sur la beat generation, sur Jack Kerouac c’était y’a plus de soixante- trois ans à  San Francisco, la librairie City lights de Ferlinghetti  le libraire centenaire… J’ai pas su m’imposer comme écrivain la littérature c’est fait pour les jeunes… À l’époque à Frisco ils se saoulaient j’étais même pas au monde. Je sais pas de quelle école littéraire je pourrais me réclamer? Les soucoupes? Je ne bois plus je ne suis donc pas un gonzo… toute ces informations ont pourrait appeler ça la littérature réseau… Le poète savait que son destin c’était la folie il était là avant les beats ça vieillis mal les poètes… Au Québec on les gardes dans des espèces de sanctuaires nommés collège d’enseignement général et professionnel, ils y enseignent et écrivent l’œuvre… Moi je suis seul avec mon lourd passé l’œuvre est écrite je ne fais que l’étirer… J’ai plus de souffre on confond souvent littérature et showbizz… L’équipe de hockey locale a encore gagné ce soir, écrire sur le sport c’est pas très littéraire y’a une espèce de tabou qui veux qu’on ne mentionne pas ça, je sais pas si les sportifs lisent autre chose que les pages sportives des journaux… J’aurai pas connus les grands destins des poètes… https://www.facebook.com/search/top/?q=vaisseau%20d%20or%20bernard%20saulnier&epa=SEARCH_BOX  Je me laisse emporter dans cette soirée de neige, je vais regarder le match en différé j’enlève tout le suspense je sais qui a gagné… Prosodie trop brève pour n’être que ça, les vieux croutons ne brisent plus d’icône, gardant un peu d’alcool dans leurs bureaux pour se soigner la mélancolie… Bon! De retour le match était intéressant, il neige encore… J’ai mangé de petites saucisses en pâtes… Si je reviens è la « littérature » je suis un peu vieux pour trouver un éditeur, je me concentre sur la prosodie laissant la poésie aux jeunes… Les considérations alimentaires font pas vivre et s’exprimer le senti… Demain matin je vais essayer de rester au lit la journée seras moins longue… Enfin si je dors,  y’a toujours l’histoire des écrivains qui vivent vite et meurent vite, l’œuvre vient-elle au jour après la mort? Je sais pas pourquoi je pense à Christian Mistral à Dan Bigras aux chansons… Quand devient on homme de lettres? J’espère garder toute ma tête longtemps… Je ne dois jamais oublier que je ne suis qu’un petit canadien-français avec un grand désir, ce ne sont que des écris provinciaux loin de Paris la capitale des lettres francophone à San Francisco c’est en anglais que se font toutes les modes… J’ai pas rencontré beaucoup de beat français. Je termine ici comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

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