samedi 25 janvier 2020

Septième ciel


Bonsoir! Bonjour! J’arrive pas à voir si il neige où si il pleut en tout cas c’est pas beau pour la conduite automobile… J’ai dormis un peu, j’ai pas la tête à la poésie je suis plus prosodie… Pas mal de boulot de rédaction mais je suis pas très inspiré… J’attends peut-être que ça va venir, le syndrome de la page blanche ça existe aussi pour le théâtre. Je vais voir ce que je peux faire après avoir rédigé ceci. J’aime beaucoup les publicités santé mentale on cause pour la cause de Bell à la télé, je salut ma lectrice qui y travaille… Chez Bell je dis bien… Ce soir y’a un doux parfum ça fait du bien… Pas de match de football américain la saison se termine la semaine prochaine avec le Superbowl… C’est pas être mégalomane que d’écrire mine de rien je crois que ça prend de l’humilité, faut se laisser envahir par les mots, je sais pas pourquoi je pense au regretté poète Gaston Miron, j’écris rien de comparable à sa grande œuvre… J’ai envie d’écrire je suis le poète nouveau comme le beaujolais nouveau, je ne suis que d’une saison… Je pense aussi à ce que j’appellerais l’américanitude de Lucien Francoeur à ses rockers sanctifiés… Ma vie a été tapissée de poésie à en oublier qu’il fallait vivre, j’ai longtemps nier ma folie ça ne menait à rien que des psychoses schizophréniques… Y’a l’objet livre qui je crois n’est plus nécessaire en santé mentale tout le monde y va de son opus on s’y perd… Quoi dire de plus, tranquillement dimanche arrive, le temps que je réfléchis à ce que je vais écrire, je perds tout, je crois beaucoup au spontané  à ce qui est là devant vous mais souvent ça donne pas de bons résultat… Ouais! C’est tout blanc y’a pas mal de neige, je crois pas que j’irai marcher ce matin… Je pense encore à ma version du conte pour le théâtre, c’est difficile, je vous l’écrirai pas ici… Camion, pelle, tracteur, déneigeuse ils sont tous là… Parfois je pense à cette maudite légèreté quand on parle d’un ami décédé… Mon malaise à l’épaule gauche disparait, je pense à mes funérailles je vais y être bien mort, c’est macabre… Je cherche à exprimer ma sensibilité, c’est pas un poids juste que dire parfois ne suffit pas… Je reviens à la santé mentale à comment c’est important, la psychose ça vous tue son homme sans qu’il en soit conscient… Toujours en pensée de ceux qui souffrent mais se tiennent muet dans l’ordinaire des choses, l’âme en lambeau ils sont au boulot même avec le délire du complot… Toujours avec ce désir de mourir qui fait partie de la maladie comme on le dis si bien ces jours-ci. Voilà quelques mots pour la route, c’est l’épilogue, la conclusion rien de nouveau je termine toujours de la même façon pour ne pas vous déboussoler, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

1 commentaire:

  1. C'est la journée On cause pour la cause... Alors je cause en t'écrivant
    Bonne journée et je te souhaite l'inspiration pour la pièce de théâtre. 🎭

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