dimanche 26 janvier 2020

Onion


Bonsoir! Bonjour! Je me suis couché mais je me suis pas endormis me voilà donc debout pour vous écrire. Semaine assez chargé, lundi matin groupe d’entraide mercredi comité transversaux intensif sur la trajectoire en après- midi et dans la soirée enregistrement pour Folie Douce, ce qui me mène à vendredi toute la journée pour un centre d’apprentissage santé et rétablissement (Recovery College). Je vais le faire… Ça prend du temps aux gouvernement pour me rembourser les frais pour le Forum santé mentale de cet automne… Je pense au regretté ami Michel… Je vais y aller avec mon senti en essayant de dire encore une fois, j’y arrive pas souvent ce sont des tentatives… À l’ère de l’image et du numérique l’écriture c’est un peu archaïque mais je le fait quand même, pour moi c’est une façon de résister… Je pense à ceux qui manifestais contre le cinq g, il est déjà trop tard cette technologie-là est disponible, y’a tous ces gestes qu’on devrais poser, moins de voitures plus de recyclage, des emballages récupérables et encore d’autre que j’oublie, parfois je peux pas m’empêcher de croire que ce sont les diverses industries qui devraient faire un effort. Moi tout seul à l’échelle de l’univers je suis moins qu’une goutte d’eau… De toute façon l’humain viens d’apparaitre l’univers peux certainement continuer sa vie sans lui on y est pas indispensable quand je vous écris ça j’ai le vertige… On auras beau avoir toute la technologie du monde faut savoir rester sensible s’accrocher à l’authentique au vrai c’est difficile, le monde est de plus en plus virtuel… La course est de remplir et de vider les entrepôts le plus vite possible, j’écris ça et je suis loin de l’émotion, de l’émotif… Je vois le conducteur de chariot élévateur en pleur, dans le marché du travail on s’occupe pas de ça y’en a que pour le rendement… J’ai ouvert la télé toutes ces stations et rien a regarder https://www.youtube.com/watch?v=YAlDbP4tdqc  C’est à

ces moments qu’ il faut pas laisser de place au désespoir. Le patriarche disait souvent y’a que les dessins animés de vrai. Dans mon enfance je ne regardais que ça, on installait des laines d’acier sur les oreilles de lapin de la télé pour essayer de capter Burlington et regarder Superman… Tout le temps que j’ai vécu chez le patriarche on était pas cablé, je regardais American Bandstand avec Dick Clark, à la brasserie, c’est là que plusieurs groupes ont débuté avec la montée sur le hit-parade… Je pensais à la revue Salut les Copains que je réussissais parfois à me procurer, plus tard sont venus les magazines français Best et Rock’n’folk tout l’univers du rock… J’aurais aimé écrire là-dedans… J’hésite à vous mentionner la revue américaine Rolling Stone et ses éternelles références à l’huile d’olives. Ça à vieillis tout ça, voilà  je vivais le rock, la musique des voyoux, qui est devenue mainstream… Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard  


1 commentaire:

  1. De bons souvenirs ces magazines de notre jeunesse. D'accord avec toi qu'en matière de pollution, les industries ont du chemin à faire. Individuellement, on fait notre possible... Bonne soirée 🌴☀️

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