mercredi 1 janvier 2020

Antan


Bonsoir! Bonjour! http://editions-hache.com/parauteur.html#saulnier  Voilà pour ceux qui voudraient lire des textes plus achevés… Me suis préparé un café, le jour de l’an se termine… Deux jours encore et la nouvelle télé devraient être en état de marche… Je vais essayer d’avoir plus de sensibilités… Il a neigé… Hier on m’a encore demandé si j’aimerais écrire un livre, je crois qu’un éditeur pourrais faire un assemblage de mes texte. Je crois que parfois on confond la vie de vedette rock et celle d’écrivain… Lentement les journées vont revenir à la normale, les snowbirds s’en vont en Floride la semaine prochaine. J’ai regardé une émission sur Punta Cana je sais pas ce que j’irais faire là, la mer et les piscines sont plate quand on ne bois pas ça me rappelle mon séjour à Varadero à Cuba, je passais mes journées dans le hall de l’hôtel … Ces jours ci mon senti et mes réflexions « philosophique » sont absent de mon écriture, demain je devrais me débarrasser de ma vieille télé… Je sais pas pourquoi le nom du poète Saint-Denys Garneau m’est venu en tête peut-être parce que j’ai pas le quart de son talent, j’arrive pas à nommer comme il faut ma douleur intérieur, on a jamais retrouvé le poète… J’écoute cette longue complainte de circonstance dans le temps des fêtes… Je pense à ces anciens copains qui quoi qu’ils buvaient fort ont réussis à s’établir à fonder une famille, maintenant ils ont de la difficulté à arrêter de boire leurs épouse est partie… J’étais pas supposé vous écrire aujourd’hui, dans mon enfance on se préparait pour le retour à l’école, quelques dernières parties de hockey bottines dans la rue… Un poème…

Le monde la rue le cri

Hymne au désespoir

Sans savoir

Pas permis

Le cœur arraché

L’émotion déboulonnée

Qui saigne

De dix double v quarante

Vous pleurez la bouteille

Réjouissance

Dans une alerte

À l’insignifiance



 Voilà! Je laisse tomber la prosodie ici, tout écarté dans la nuisance du brouillage intellectuel. J’essais de dire mon plus profond émotif…. Je sais pas pourquoi mes années scolaires me reviennent en tête, d’où je viens on fabrique pas de poète, j’ai du m’exiler dans le monde des toxicomanes et double exil dans le goulag occidental… J’écris d’une écriture de fracture ouverte, l’os du tibias déchirant  la peau saignante et montrant la moëlle, ça fait mal trop mal pour crier avant d’engourdir la blessure… Comme pour la fracture j’aurais besoin d’une attelle à mon écriture peut-être quelques plaques et vis d’acier inoxydable chirurgical pour faire tenir les mots qui ne laisseront qu’une cicatrice et de l’arthrite… Il faut respecter les mots, les filles disaient ce ne sont que ça sans se douter que derrière vivait la souffrance. Elles se calmaient à grands coups de DeKuyper… D’autre s’étonnaient de leurs manque de sensibilité c’était peut-être elles les schizophrènes… Bon! C’est l’épilogue ces mots me feront pas marcher ni courir, je reste assis. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard

1 commentaire:

  1. Encore une fois mes voeux pour une année 2020 sereine, bien remplie de ton écriture et de toutes les activités qui t'attendent. Nous avons eu une belle rencontre avec les enfants à jouer dehors et à manger... 😍

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