mercredi 25 décembre 2019

Autre


Bonsoir! Bonjour! Noël se termine on fonce tout droit vers le nouvel an… Je vous ai raconté tous mes souvenirs, ils sortaient le petit blanc ça montrais bien que c’était une fête d’adulte et un peu moins d’enfants… Chez le patriarche au jour de l’an on avait encore des cadeaux, un bas avec une orange et des friandises des revues de bandes dessinée j’adorais ça en plus le patriarche nous faisait un cadeau en argent on se rendait pas compte comment on était gâté… Je raffolais de ça, recevoir de la lecture… Je me souviens qu’avant d’atteindre l’âge ingrat le patriarche nous bénissait… C’est une coutume qu’on a perdus, on se ramassait toutes les familles chez le grand père ça faisait beaucoup de monde dans le quatre et demie et pépère nous bénissait avant de manger le festin traditionnel parfois j’étais chanceux et je mangeais à la table des grands après j’errais dans l’appartement avec l’odeur sucré du tabac à pipe. Je me réfugiais dans la chambre de l’oncle ou il faisait plus frais… Parfois après cette visite on allait chez pépère Therrien qui n’habitais pas trop loin c’était dans les années où on vivait à Montréal-Nord… Je vous raconte pas l’odeur de tabac et d’alcool, c’était bien avant que je commence à boire, mémère nous servait de la liqueur des bonbons et des chips… C’était impressionnant de voir ces hommes au salon à genoux devant pépère qui les bénissait, après c’était les vœux « Bonne année et le paradis à la fin de vos jours! » «  Du succès dans tes études et dans tes entreprises! » Les poignées de mains étaient franches c’est là que j’ai appris à me lever debout pour saluer quelqu’un… Beaucoup plus tard quand on avait atteints l’âge de raison on se rendait fêter au club, souvenir du Grand Salon du Domaine Mascouche ou le bar était open et ou on avait droit à un show de rock avec des bands superbes, je me rappelle surtout celui avec le groupe Offenbach ma sœur et mon beauf y étais. L’alcool me rendais et me rends toujours triste, je regrette pas ces année-là j’ai eu du plaisir mais j’étais incapable d’avoir une copine… Je suis devenus triste malade et amer… Voilà qu’a peine sortie de Noël je vous parle déjà du jour de l’an… Entre Noël et le jour de l’an j’ai longtemps retiré des prestations d’assurance chômage, je passais ces jours-là à boire de la bière à la brasserie… Je buvais pas de gin on m’en offrait jamais c’était trop fort je pleurais… Au jour de l’an y’avait toujours un endroit où la gang se réunissais, une année les copains m’avaient aidé à ne pas boire mais ça n’a pas duré… Je ne bois plus, je fais pas de promesses d’ivrognes, je me rétablis… Voilà! Je suis rendu à la conclusion, je termine avec le même épilogue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

1 commentaire:

  1. Très beau texte. Tu n'es pas avare de souvenirs heureux... On buvait aussi du vin St-Georges chez pépère, même les enfants🍷😉Le show d'Offenbach à la Grange restera dans mes bons souvenirs... Bonne journée

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