mercredi 7 août 2019

Au présent


 Bonsoir! Bonjour! Très heureux d’avoir reçu tout ces vœux de bonne fête, je vois qu’il y a du monde qui me lisent… Comme je racontais  à mon lecteur de Deux-Montagnes j’ai pas trouvé moyen d’arrêter le temps mais j’essais de faire des choses qui me font plaisir… Écrire malgré tout c’est ça qui me rend heureux… J’essais d’y aller avec un senti véridique. On m’a pas voler mon enfance j’aimais bien jouer aux cow-boys et aux indiens, fabriqué des arcs avec une corde tendue sur une branche d’arbre recourbé, le plus étrange c’est que je réussissais à tirer des flèches les gars avaient peur… Je me cachais dans une cabane à quelques  pieds dans les airs parfois pour être plus indiens on montait une tente mais quand la chaleur plombait dessus c’était intenable… Ces endroits là où on jouais derrière la maison paternelle ça n’existe plus, c’était des lotissements où on à fait des rues et bâtis des maisons quand même le terrain de jeux était pas loin… Je crois que j’étais la première génération à fréquenter l’école secondaire  Armand Corbeil sur les mêmes terrains un peu plus à l’ouest… Parfois en vrai petits bums on entrait s’amuser dans les maisons en construction… C’était bien on avait les parcs et les terrains vagues pour s’amuser… J’ai pris de l’âge là-dedans suis partis assez vieux de la maison du patriarche, j’étais malade j’avais tellement peur j’arrivais pas à quitter mais il le fallait coûte que coûte… Ça fait plusieurs années tout ça y’a de l’eau qui a coulé sous les ponts… Parfois c’étais comme dans le chef-d’œuvre du regretté André Melançon, La guerre des tuques, on avait nos petites guerres fratricides entre bandes rivales… Cette époque-là ce sont mes meilleurs souvenirs. J’ai grandis et ça s’est gâté dans cette adolescence détesté. La folie avait commencé ça s’est gâté jusqu’à me faire hospitaliser, j’ai perdus tout mon temps passant d’une job à l’autre pour finalement devenir prestataire de l’aide sociale mais j’ai pas arrêté là de me chercher une job, je suis quand même resté malheureux… J’ai commencé à aller mieux quand j’ai fait remplir des papiers d’invalidité mon rétablissement à commencer, maintenant je m’occupe de mes pairs je raconte mon histoire, comment maintenant je conjugue avec la maladie… Parfois on me demande si je rends visite à la matriarche sur la couronne nord, je réponds non j’ai trop de mauvais souvenirs… Y’a un moment d’hiver où j’ai eu du plaisir je faisait du ski de fond je vous l’ai surement déjà écris c’était quelques années avant que la schizophrénie s’empare de moi… Bon! On approche de la chute, la couronne nord a changé, je me souviens plus, à part le Vieux Terrebonne de quoi ça a l’air… Je crois que c’est une banlieue comme les autres… Voilà! C’est presque terminé j’ai qu’à vous écrire un épilogue, une conclusion malheureusement elle best pas différente des autres. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas là c’est pas encore terminé. À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire