lundi 19 août 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ça fait dur mon affaire me suis rangé trop tôt avant les milles combats… Dormant dans les chapiteaux  pour échapper aux soldats, cherchant les armes des ruraux le fer avec mille pas. Voilà voilà le piano et le bas l’entête mal placé des rats, pourquoi pas pourquoi pas dire tout haut le sol le ré le mi le fa j’irai toujours de ci de là sans permis sans tracas à courir l’ennuis apprenant sur le tas vous fûte si doux à dire la mort chantant l’au-delà criant les mots pour éviter le trépas allume allume tu le vois le feu comme un glas Je ne dirai pas je ne dirai pas l’endroit ne ferai pas de cas puisque la poésie n’existe pas du moins pas celle-là que tu attends qui va aux cent mers aux camélias et au beaux jours tu resteras la misère le climat, dis moi dis moi pourquoi mon père la guerre les scélérats. Je cherche je cherche la le la, la musique c’est ça… Tu iras tu iras casser  la croix ectcétéra… Nul ne pourras Nul ne pourras lire les mots du mandala chercher le ton de l’au-delà… Pourquoi pourquoi je brise le rythme des pas, brise le rythme des soldats qui n’ont que guerre ici bas… Attendez moi attendez moi je fait vite c’est ça peur à la misère à tous vos faux débats  de nos jours le psy parle de cas, le spi louvoie, tu laisse le grément là… C’est bien plat c’est bien plat tout ça, je me répète vous voie lire c’est un dada… Papa papa je rêvais de ça… Mais tu l’emportas sur une crique sur un courant dans l’au-delà… Un fol printemps de verglas après l’hiver après l’appât…  Dites moi dites où vais-je, où ça va puisque trop dire n’est pas mal dire juste trop bas… Pourtant tout ces vers gras s’arrachent au mal au climat… Se pose la question du comment, la mention du serment, la pension tout le temps… Avant avant écrire c’était aussi le temps maintenant je suis dans le champs près de la fosse à l’enterrement… Je cherche je cherche mon sale amant de ceux des romans j’aimerais bien le voir vivant. Ciment ciment c’est comme ça c’est coulé avec un art fervent un ton de servant… C’est lent c’est lent sur le chemin des mamans… Maria Maria gracias senora… Vous m’évitez la question de la bite, je vais plus vite, je vais plus vite… C’est comme des mots pornos taillé au couteau dans une toilette de clodo… Trop tôt,  trop tôt j’ai commencé trop tôt maintenant dans le troupeau  de ceux qui malmènent les mots. Ça commence où ça finis ça n’auras été que ceux-ci. J’aurai fait de mauvais vers faute de prendre un verre, c’est tellement facile mais pas gracile j’ai commencé avec mille m’en reste qu’un il s’appelle stigmatisation… Je termine avec toute les tentations et tout les noms de ceux qui liront. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

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