mercredi 12 juin 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Il fait chaud, cet après-midi je me sens moins fou. J’ai démarré le climatiseur… C’est difficile d’être égal quand j’écris. Aujourd’hui j’ai dormis… Je préfère écrire la nuit… J’ai fait chauffé les légumes que je vais manger avec du foi de bœuf, je crois que c’est santé. Je pense toujours à San Francisco je vais illustrer ça avec la photo d’une murale que j’ai vu là-bas… J’y vais avec mon senti, il est presque seize heures… Hier, j’étais content de voir l’amie on devrait se voir plus souvent… Les pompiers passent comme souvent en fin d’après-midi. J’ai perdu mes tabliers pour faire la cuisine, y’a rien de très viscéral dans cet énoncé. J’essais de vous écrire mon monde intérieur, je laisse faire la douleur… J’ai soupé c’était bon, quand j’ai le ventre plein ça fait moins mal. Je pense à la directrice du mouvement santé mentale Québec, une vieille amie perdue de vue… Ce matin c’était le supermarché, j’ai acheté du sucré… Je prends mon temps, c’est ce que le poète du cours discours poétique m’avait dit, je le répète, question de prendre tout mon temps, c’est ce que je fais… Le soleil plombe, c’est bien la chaleur. Tout à coup je suis triste, c’est souvent comme ça je sais pas pourquoi, je suis pas un poète maudit, mon nom c’est pas Verlaine, écrirait-il un blog aujourd’hui? J’écris rien de costaud dans cette fin d’après-midi, je veux dire, je veux tant dire que j’en suis muet… Les grands poètes ont les mots savants, la matriarche parlait comme quelqu’un du bord de la mer, comme un pêcheur, elle parle souvent des grands vents, comme un capitaine où un marin… À l’époque c’était le nordêt… Elle termine avec un O.K. d’abord!!!  Je sais pas si c’était le lac  Saint-Jean où la mer qui faisait prendre ce langage maritime… Je pense à Claudia et à Isabelle qui nous ont grandement aidé à monter la pièce de théâtre, j’ai vraiment beaucoup apprécié… Non! Je m’auto-stigmatiserai pas, je vaux autant qu’un autre, c’est pour ça que j’écris, pour essayer de me donner une certaine valeur, parfois j’ai trop d’introspection et ça tourne mal… Je pense au gars de Québec ce conférencier pair-aidant, je crois pas qu’il me lise… Il s’est rétablis je devrais être capable moi aussi à ma façon. Je suis désolé j’aurais aimé vous écrire un texte égal à celui d’hier… Plusieurs personnes ne croient pas dans la puissance des mots pourtant parfois il ne reste que ce chemin, la prosodie pour dire et se libérer… C’est une question de valeurs où on les places dans le matériel où l’argent? Où dans les sentiments, le senti franc… Je crois pas que les millionnaires sont plus heureux. Voilà! C’est presque terminé toujours avec difficulté. J’aurai essayé encore une fois en espérant que ça vous plairas. Quelques mots encore comme toujours pour vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez moi pas, je souhaite vous revoir dans un prochain, je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

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