vendredi 3 mai 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’arrive pas à dormir. Je suis nerveux, je dois me préparer pour mes allocutions de mardi, mercredi et samedi… Tiens je vais vous faire une annonce, si tout va bien votre humble serviteur va devenir formateur en santé mentale dans le cadre du Recovery College, je vous en dirai plus plus tard c’est en développement. C’est la nuit de vendredi à samedi on va avoir la section voyage dans LaPresse+ toujours intéressant… Souvenir de Union square San Francisco, centre commerçant hôtelier et théâtral de Frisco… Il y a une statue placée au sommet d’une colonne de type corinthien qui commémore la victoire de l’amiral Georges Dewey dans la baie de Manille durant la guerre hispano-américaine… Je comprends un peu mieux pourquoi  on voie tant de Philippin, le wi-fi est accessible  de ce parc comme un peu partout en ville… Je réfléchis encore à mon prochain voyage, si vous avez des suggestions n’hésitez pas, quoi qu’on dis souvent que l’aventure est au coin de la rue. Je me souviens de la paralysie qui s’emparait de moi quand je voyais un corbillard, la peur de la mort, l’angoisse extrême… Si il fait beau ce matin je vais marcher jusqu’à la librairie et m’acheter de la lecture, je sais pas si la très pesante angoisse transparait dans mes écrits… Souvent je me calme à l’aéroport avant de prendre l’avion, c’est  curieux je devrais devenir très angoissé pourtant… Je crois que les aérogares sont dessinées pour calmer les gens, les apaisés. Je sais pas si on va voir les amis de l’Outaouais bientôt, on se parle par ordinateur mais y’a rien comme une vraie présence. « Killing me softly with his song » voilà une chanson qui décris bien ce que ça fait quand une chanson vous accroche… https://www.youtube.com/watch?v=kgl-VRdXr7I  Non! Ce soir je reviens pas avec mon sujet de prédilection et avant, une mauvaise nostalgie… J’hésite à vous écrire ce qui me passe dans la tête, ce ne sont que des choses, des mots, des phrases banales…Je vais tenter un peu de poésie

La poésie meurt au départ

On tente de la ressuscité

Avec des mots de peur

Des histoires de pâmé

Faut assumer

Sans fourré

En espérant l’aide

D’un dieu grec

 Voilà! C’est un court poème, rien qu’une digression, rien que de très banal vers… J’aime les mots, mais je crois qu’eux ne m’ont jamais aimé… J’ai essayé de les allumer mais ça a pas sauté, je vous l’ai déjà écrit… Le voisin carbure aux amphétamines  au début du mois, ensuite je sais pas je vous avait dit que j’écrirais pas là-dessus, c’est calme laissons  là le malheur… Je vous aurai encore écris du centre de la nuit, j’arrive à la fin quelques mots encore en essayant de finir, y’a que les médecins qui écrivent la nuit, les psychiatres surtout qui ont un beau point de vue sur la misère, on y est presque. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

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