dimanche 24 juin 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C’est le calme après la fête, souvenir du compagnon de voyage Kabyle dans le train entre Lille et Paris, il était très sympathique, un chauffeur d’autobus et aussi le taxi pour la gare où le chauffeur me disait que les québécois qu’il avait rencontré était tous joyeux et de bonne humeur… Je me vois encore à l’aéroport Charles De Gaulle, j’enregistre mon billet pour le départ pour moi tout se passe bien, mais y’a un gars qu’on veut pas laisser passer et qui gueule des jurons que je peux pas écrire ici. J’ai une amie qui part demain, elle s’en va voir ses parents au Liban… J’ai recommencé à tripper sur les aéroports et les avions mais c’est surtout les voyages, les départs, les arrivées, les passages aux douanes, perdre un peu de temps avant de partir, de monter dans l’avion. Cet été je pars pas, je m’étais dit que le voyage à Lille en France ce serait suffisant mais j’ai encore le désir de partir… J’ai pas regretté ces journées empowerment contrairement à ce que je pensais j’étais pas la seule personne en rétablissement qui participais y’avait beaucoup de pairs aidants mais je crois que j’étais le seul venant du Québec. J’aimerais beaucoup passés plus de temps en France, voyager dans les régions… Je le ferai sans attendre le voyage de noce, j’épouserai pas personne dans les prochaines années. Je vous parle de ça c’est un peu pour me mettre dans le bain me rappeler le plaisir de partir. Je suis toujours étonné de voir comment ça passe vite, je pense à cette écriture sans éditeur probablement que ma prose est pas bonne. Pour plusieurs c’est pas de la littérature, c’est de la paralittérature pas plus que ça… Parfois je lis devant un public ce que j’ai écris, il semble pas y avoir d’éditeur dans la salle où ma prose est pas intéressante, j’ai pas les bons mots. Aujourd’hui je me dénigrerai pas, je vaux autant que n’importe qui… Y’a cette pièce inspirée de l’œuvre de Réjean Ducharme le regretté. Je veux, De l’amour c’est comme ça que ça s’intitule, ça été écris en groupe mais j’y ai retrouvé ma prose pas trop malmené ça été lu une fois et c’est tout. Je continue cette écriture, pour le moment j’ai pas l’intention  d’abandonner… Écrire après le téléphone cellulaire portable on se demande bien pourquoi, pourtant la lecture est toujours là. Voilà, tout à coup j’ai le tournis une sorte de vertige pourtant j’ai jamais rien de ça en avion, en vol… Quoi que j’aime pas les grandes roues. J’entends les oiseaux qui chantent je crois que c’est les merles, c’est vraiment l’été. J’attends toujours vos commentaires, c’est pas très émotif, je vous ai pas mentionné mon senti. Voilà lentement j’y arrive, le climatiseur s’est arrêté, tout à l’heure je me suis parfumé, je sais ça fait un peu pédé. Quelques mots encore pour une espèce de chute. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
 

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