mardi 12 juin 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Encore un temps superbe. Hier j’ai été pas mal occupé, j’ai donné entre autre une interview que les gens ont apprécié. Je sais pas trop quoi vous écrire, je cherche le nom d’un auteur mais je crois qu’il est pas traduit en français. Pas son nom! Son œuvre! J’ai souvenir d’une intervenante qui me disait que j’étais quelqu’un d’intéressant, c’est possible mais souvent je me trouve plate. J’attends une paye de l’association des libraires, c’est long avant que ça arrive ça fait déjà plus d’un mois qu’on a fait le show… Ça se promène dans ma tête mais rien qui mérite d’être écris. Je sais pas si c’est possible d’avoir une écriture authentique, vraie, c’est ce que je veux écrire pas trop de fioritures, de l’émotion voilà! C’est à ça que je veux en venir. C’est pas n’importe quoi, je pense avant de rédiger, c’est vrai que mes thématiques sont souvent les mêmes mais j’y arrive. Hier j’ai rencontré un poète un vrai, qui récite ses vers dans un bar, moi je ne fréquente plus ces endroits, je préfère les endroits où y’a pas d’alcool, je crois que la poésie parfois enivre et c’est pas nécessaire. Y’avait le poète qui disait « enivre toi, de vice où de vertu mais que diable enivre toi ». J’y vais avec la vertu ça fait moins mal, c’est une ivresse sèche… Je pense à la magnifique chanson Don’t give up https://www.youtube.com/watch?v=VjEq-r2agqc de Peter Gabriel elle m’a longtemps accompagnée dans mes moments de désespoir. Il faut voir le monde, sobre mais il faut le voir et essayer de comprendre… C’est ce qui manque parfois la compréhension de l’autre sa différence, si tout le monde étais comme moi ce serait triste, il n’y aurait qu’une seule parole…et encore cette expression est- elle vraiment la parole? Souvenir de la douleur quand je me mordais la langue d’avoir trop parlé, délirer…  J’écoute la voix et garde les discussions intimes pour moi. J’arrive pas toujours à composer et je sais bien que parfois y’a des poètes radicaux, je suis pas de ceux-là pourtant je vous écris de façon directe. Cet après-midi ça tourne autour du même, même écriture même résultat. Hé oui! J’y vais comme ça, je ne gomme pas l’inutile c’est parfois là que se cache l’essentiel. Encore une fois des mots qui gardent loin de la crise, de la psychose. Je pense toujours à cette entrevue que j’ai donné hier, j’ai pas mentis je l’ai dit comme elle est ma folie… Ce soir je veux commander à souper du restaurant mais je le ferai pas j’ai peur qu’on me pirate ma carte. Voilà! Ce seras ça pour aujourd’hui j’aurai cherché à trouver les mots précis qui décrivent parfois l’ennuis, vous savez maintenant je vous aurai tout dis. Le problème de la fin c’est toujours le même c’est pas très original je sais pas comment terminer. Je termine donc à ma façon habituelle en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

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