vendredi 23 mars 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Voilà encore que je m’adonne à ma passion, ce matin je vais à Boisbriand pour une séance de Livres Ouvert. Me reste plus que deux nuits avant de partir. Mes bagages sont fait me reste  que quelques articles de dernières minutes. Me suis réveillé avec des brûlements d’estomac, c’est la pizza y’a rien de poétique là- dedans c’est sans artifice ce n’est que la vérité qui on le sait n’est pas poétique. Le mensonge voilà un fil, la poésie qui ment, qui trouve de la beauté dans les actes barbares, le poète savait venir nous toucher avec ces mots. Parfois je cherche au yable au vert et c’est tout près de moi… J’aurais aimé être un homme de lettre sortis de Brébeuf, le seul collège que j’ai fréquenté j’y suis allé qu’une journée et de toute façon je connais personne qui l’a fréquenté qui sois haut placé, une réputation usurpée? Cette nuit j’ai la toune Pleurer des rivières https://www.youtube.com/watch?v=0bR60Y-t0v8      dans la tête. Je pars sur Air France j’espère qu’il y auras pas grève. J’ai dormis à peu près quatre heures, je suis debout pour vous écrire. J’écoute ce que ça me dis, j’ai une douleur dans le dos, j’ai pris un cachet ça devrais soulager. Y’a des moments où je me dis si j’avais mentis je serais pas où je suis… J’ai toujours trouvé que c’était moins compliqué de dire la vérité. C’est pas facile de rester simple et de s’engager dans la poésie, on sort des mots de la canne comme si c’était un stew irlandais et on le mange pour notre salut. Ça ressemble à un prêche tout ça, j’essais de racheter vos âmes comme un faux-prêtre vous ne serez pas sauvé. Voilà! J’écris des bêtises digne des chtis. J’entends des avions qui passent au-dessus de Montréal. Je crois que pour tout ce qu’il y avait de scolaire on était déjà discriminé, les enseignants étaient pas là pour nous aider. J’étais déjà perdu dans les études secondaires. Je m’égare suis trop loin de mon sentis. Je réussis au moins ça écrire… Mais je suis loin des belles images évocatrices, je suis trop terre à terre… Faut surtout pas que j’oublie mon passeport, minuit est passé c’est samedi, y’a pas de château fort pour mes mots, vous pouvez les attaquer je ne sais pas si ils résisteront en tout cas ils seront là à attendre votre lecture critique si il y’en a. Ça tiens du désir tout ça… Je crois que dans l’avion on à la télévision individuelle… J’ai pas connus l’époque où on servait de l’alcool à volonté me souviens quand même d’un voyage où on m’avait servis plusieurs verre de Tia Maria où d’Amaretto… À l’époque je buvais beaucoup d’alcool. J’ai choisis mes sièges pour le voyage, j’espère que l’enregistrement va bien se passer. Pendant le vol je vais essayer de mettre de l’ordre dans mes idées pour la communication. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

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