jeudi 15 mars 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C’est un échec tout ça. J’ai de la difficulté à être positif. Encore onze jours et je prends l’avion. J’ai hâte j’arrête pas de le répéter. Je crois que ma communication à Lille va être une réussite pour tout le monde. J’ai quand même le trac. Aujourd’hui c’est ensoleillé mais il fait froid… J’oublie jamais que les paranoïaques comme moi on quand même des ennemis. J’espère que les snowbirds étaient loin de la passerelle qui s’est effondrée en Floride… Quand je sais pas trop quoi écrire de vieilles chansons me trottent dans la tête. Y’a plein d’événements culturel à Montréal. Je suis resté chez moi pour ne pas briser la paix dans laquelle je suis. La neige dans la rue à fondue. Je sais toute la poésie du monde est écris, y’a rien de nouveau sous le soleil, les grands poètes sont disparus et je renouvellerai pas le genre. C’est des postures tout ça, des amanchures de mots, il faut lire… Les skieurs sont heureux, un ignorant se vantaient de ne prendre aucun médicament, le ski selon lui le gardaient en santé. Moi j’en ai fait beaucoup de sports, marche, ski, et cyclisme ça m’a pas empêché de tomber malade, tant mieux pour lui si il a jamais été malade mais qu’il parle pas trop vite. Y’a pas de façon facile de se rétablir, pour aujourd’hui je réussis, la paranoïa est légère, l’angoisse aussi. J’ai essayé beaucoup de choses je crois qu’écrire est un bon moyen de me rétablir… Comment vous dire? Y’a pas de recette facile, un peu d’exercice une saine alimentation et ça devrais faire, pourtant j’ai connus des gens qui menaient des vies tout ce qu’il y a de plus équilibrés et qui sont décédés dans la cinquantaine!!! Aujourd’hui je remercie le Bon Dieu pour toutes les journées qu’il me donne. Jeudi, après-midi souvenir des jours de paye. Je suis heureux j’ai plus de « hangover », je tiens debout à chaque jours, je sais que ça plait pas à d’anciens copains que j’écrive… C’est pas une belle phrase comme souvent, mais j’écris pas de la littérature de fonctionnaire. Je me souviens j’avais une voiture et je savais pas trop quoi faire avec, je travaillais pas et je roulais jusqu’au bout du chemin, désespéré. Je passais sur les chemins de campagne… Maintenant la banlieue de la couronne nord où j’habitais est développée, Centre d’achats et maison de banlieue… Tout ça pour écrire que maintenant même si y’a des transports en commun les voitures sont omniprésentes, plus on s’éloigne du centre plus on attend l’autobus et je veux pas critiquer le travail de mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord. Avec le temps les jours sont devenus moins lourd, j’ai enlevé mes habits noirs, je sais le monde va mal mais moi j’essais d’aller mieux. J’ai survécu jusqu’ici avec moins d’ennuis. Voilà pour le moment! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots pour terminer, à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

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