mercredi 17 janvier 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Comme toujours la nuit j’écris pour mes lecteurs, lectrices insomniaques. Cette nuit j’ai fait une crise d’eczéma, démangeaison sur les cuisses ça aide pas à dormir… Je crois que c’est un malaise nerveux, j’ai quand même soigné ça avec de l’onguent à la cortisone. Parfois mes émotions sont comme une embâcle elles bloquent mes pensées tout déborde en amont, les larmes, les pleurs, l’angoisse, l’anxiété, la peur nommez les elles sont toutes là prêtes à faire apparaitre la psychose. Voilà une bonne raison d’écrire, s’agis pas de refouler mais bien d’exprimer… Je vous fais confiance quand il s’agit de mon monde intime… Je salue le retour d’une lectrice qui nous avait abandonné, j’étais très heureux d’apprendre que ça va mieux…  J’attends des nouvelles de mon ami agent de planification pour les textes que je lui ai fait lire… Aussi pour le voyage à Lille et deux autres projets. Tout ça c’est très factuel, éloigné de mon senti… J’admire ces écrivains qui sont capable de décrire ce qui se passe dans la tête de leurs personnages, moi j’en ai qu’un et j’ai toute les misères du monde à le faire réagir, réfléchir décrire son monde intérieur. Ce soir on peut dire qu’à  Québec l’eau ne coule plus sous les ponts, on en profite pour saluer notre lecteur technicien de la Rolls-Royce qui s’y rend chez sa douce. Viens un moment où c’est toujours plus difficile d’écrire, de nommer de décrire ce qui grouille à l’intérieur de soi, c’est beau de dire qu’on a mal mais ça prend une solution un remède autrement on passe pour un chigneux, un embêtant… Pourtant elle sert à ça mon écriture me débarrassé de ces différents malaises, toute les nuits je me réveille avec d’autre angoisse, je dors pas bien sur mes deux oreilles. L’idée c’est de mettre le doigt dessus, j’y parviens parfois… Je salut mon lecteur de Deux-Montagnes même si j’espère qu’il dort… Étrangement je pense aux cloportes, à comment dans nos jeux d’enfants on aimait bien retourner les pierres pour y déloger ces crustacés dans l’humidité, on aimait bien faire peur aux filles avec ces animaux inoffensifs, souvenir d’été avec ces bocaux où on gardait des insectes de toutes sortes… On y gardait aussi des vers pour aller à la pêche. L’hiver on appâte avec du foi, la matriarche a été obligé de retarder son voyage à la pêche aux petits poissons des chenaux, elle vas y aller la semaine prochaine. Pour ceux qui connaissent pas ça on pêche dans la cabane aux chenaux, les autres cabanes c’est pour se réchauffer sur les lacs en surveillant les brimballes… Y’en a des coriaces qui pêchent sur la glace sans abris, à un moment donné on gèle des pieds… Je vous parle pas des libations dans ses cabanes on offre la boisson avant de la boire c’est une sorte de plaisir le poisson et la boisson. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

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