mardi 30 janvier 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir j’ai été heureux de rencontrer quelques un d’entre vous, lecteurs, lectrices… Parfois j’ai le désir d’abandonner mais je sais pas avec quoi je remplacerais cette écriture… Cette nuit je reviens encore avec mon senti, j’espère que vous me trouver pas exaspérant. Rien, j’ai rien à dire c’est vide pourtant je vous l’écris. Je suis pas Michel Leiris pour vous écrire mes rêves et les analyser… Pourtant mon senti c’est un peu inconscient mais là quand j’essaye ce type d’écriture c’est raté. Demain je vais téléphoner à l’agent de programmation pour savoir où ils en sont rendus avec le voyage à Lille… Je pense à Dieu, comment Il rend irritable certaine personne moi j’essaye d’y croire je dis pas que j’y arrive. Parfois mon rétablissement je le trouve en relaxant à la lecture de bandes dessinées. Mes snowbirds sont sur leur terrain de camping fleuris les chanceux… Ici ont gèle, je dormirais pas dehors… Je veux pas perpétuer l’école des poètes maudits, je vais rester en vie… Je connait pas vraiment la malédiction des grands poètes. Je suis juste et je sait pas si on peut dire ça un écrivassier. J’avais pris des résolutions j’ai marché au moins une demie heure aujourd’hui, je devrais m’équiper d’un podomètre… À l’arrêt d’autobus dans l’abri un gars se roulait un joint… J’ai regardé dans le guide de Paris pour trouver où est la porte Saint-Denis dans le deuxième arrondissement. Je sais je pourrais vous écrire un texte avec une introduction un développement et une chute mais je préfère la « liberté ». Encore cette nuit on entend les tracteurs, c’est le réel de Montréal l’hiver… Ai mangé un yogourt. Demain c’est la paye des petits vieux malheureusement on peut pas siroter un café dans le parc. Je pense aux verrières du deuxième à Paris c’est beaucoup plus intéressant, ça a plus d’histoire que nos centre d’achats. Je pense quand même au Centre de commerce mondial de Montréal, un bel endroit… On y trouve un morceau du mur de Berlin… Je commence à avoir sommeil… J’attends le dépôt d’un montant avant d’aller me coucher… Bon on vas y aller ad lib, juste lancer des mots au hazard, comme Pollock peignait, en garrochant des mots dans l’écran, parlant peintre y’a une magnifique toile chez mon ami sclérosé. Voilà le montant est déposé, je vais pouvoir payer le loyer et manger. C’est des confidences que je vous fait les hommes au Québec ont jamais aimé divulgué leurs salaires, c’est un tabou là aussi de l’ordre de la maladie mentale et du pouvoir. Je voulais juste dire que j’écris de la façon dont Pollock peignait, tout est dans le geste c’est un peu idiot. Je réfléchis pas au mots… Pourtant j’arrive à la fin mon écran est noir et blanc, votre pauvre fou à réussis à en écrire un autre ce soir, si vous remarquez quelque chose faite le moi savoir. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

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