mercredi 3 janvier 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je poursuis dans la nuit, la météo annonce de la neige encore. Je pense aux enfants des enfants, y’en a une dont j’ai oublié le nom. J’ai beau cherché je trouve pas… C’est peut-être un un… Hier j’ai téléphoné à l’agent de programmation  pour savoir où il en était rendu avec la demande de fonds à la fondation pour le voyage à Lille, il m’a répondu que je devrai attendre encore plusieurs jours. Il travaille sur la présentation pour que ça cadre bien avec le congrès. J’aimerais aussi être dans l’équipe de rédaction pour la pièce au théâtre du nouveau monde. Je sais pas si ça va se réaliser, comme vous voyez y’a différent projets… Cette nuit je prends mon temps, demain je participe à une recherche sur un médicament ça me rends anxieux… Aujourd’hui dans la salle communautaire y’a un brunch… J’essais de me trouver un nouveau propos, semble y avoir un locataire qui a pas les moyens de fumer et qui cogne à ma porte pour savoir à qui acheter des cigarettes, c’est la deuxième fois… Je comprends j’étais comme ça dans ma jeunesse souvent les contacts se faisaient essentiellement comme ça dans la recherche de cigarettes où de quelqu’un pour nous prêter de l’argent… Tiens voilà quelque chose de bien dégueulasse, je me mouche et ça me permet de mieux respirer, ça fait du bien… J’aimerais être de la poésie, l’avoir en moi et l’écrire en gagnant sur le temps de mes amours littéraire… Je sais c’est presqu’une litanie mais le sacrilège est souvent poème. C’est facile de s’en tenir à l’image du poète iconoclaste plus difficile d’accrocher ses mots au spirituel, à l’espoir d’une espèce de nouvelle vie qui de toute façon n’apparaitras jamais parce  que je suis trop vieux et que la révolte est déjà loin. Vous savez pas de quoi je parle, les filles en lisant les plus terribles des vers disaient ce ne sont que des mots. Elles étaient détachée… Je tiens à la vie, je lui dois maintenant dans mon rétablissement d’y mettre de la beauté, je tente d’écrire en y sculptant des mots. Je veux absolument abattre la connerie, je m’en prends à moi seul c’est difficile et sérieux parce que vous préférez rire et ne pas voir le drame d’une vie à la tête chercheuse d’éclats. Mais non je serai pas scatologique, je reviens toujours à l’esprit, à cette façon d’encenser après la mort, le rituel d’un service religieux macabre… Je voudrais être incinéré au bord du Gange pour que mon corps en cendre se taisent et ne laissent aucun souvenir, c’est triste de pensés à ça mais la fumée c’est toujours sans éclats… Je me dois de revenir à dire la vie, je suis pas un Christ j’ai qu’une vie et je vous l’ai écrit je préfère l’esprit… Pendant ce temps-là on fouille dans les bacs des maudits . Voilà je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

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