mardi 31 octobre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai vérifié sur mon compte le dépôt à été fait. Encore une autre exception, le club de Hockey de Montréal, Le Canadien a vaincu les Sénateurs d’Ottawa huit à trois! Pas de commentaire. Je me prépare un café, j’essais d’y aller avec mon senti, l’eau bouille c’est la nuit, vous aimez quand ça veut intensément dire quelque chose… Je pense au danger d’avoir des commotions dans le sport, ce matin je suis en sécurité je vais faire les courses. Je pense à cette chute dans l’alcool et la drogue, vingt-cinq ans que j’aurais pu passez à bâtir quelque chose, en anglais on dit addict. J’étais accroché ,  des moments comme aujourd’hui étais souvent des échecs. J’ai le bonheur d’avoir un peu de foi et de croire au programme des A.A. quelques années déjà que je suis sobre, je suis content ma vie est bien remplie. Je sais pas trop comment ça se passe dans les bars qui ont un distributeur de monnaie, la folie s’arrête pas là. Je vais changer de sujet je l’ai couvert de long en large comme si je n’avais fait que ça dans toute ma vie. Je disais déjà dans mes années de bringues qu’il valait mieux pensés à se changer soi avant de vouloir changer le monde. Je ne bois plus c’est déjà un gros changement, les gens qui m’entouraient ont tous quelque chose sur la conscience, quoi? J’ai oublié c’est pas important c’est moi qui dois m’amender. Je dis merci à l’amie qui a placé une toune de Tom Waits sur Facebook. Je suis toujours étonné de voir la quantité de gens qui s’identifient à ces chansons. Je suis heureux cette nuit, dehors c’est calme, j’ai enlevé le climatiseur. Comme souvent c’est un texte faible… Ai terminé la lecture du livre de Dan Bigras, je croyais pas qu’il s’en passait tant que ça chez les gens éduqués dans les chaumières d’Outremont, c’est pas un jugement c’est juste un constat qu’il y a personne, fortunés où pas, à l’abri de la maladie. Aujourd’hui c’est l’halloween, je conseille au parent d’accompagner les enfants et avec eux de faire le tri dans les bonbons qu’ils vont recevoir. Me souviens des bonbons à la cenne de chez Fournel en revenant de l’école. Cette nuit je suis content de vous écrire, j’espère que vous le serez autant de me lire… Le last-call approche, tout le monde est triste, on a rien fait rien dis juste bus comme ça pour rien sans raison, on est saoul et on sait pas pourquoi pourtant on ne reconnais plus l’ivresse… On a espéré retrouver l’émotion de la première gorgée de bière, c’est inutile on la retrouveras jamais. On a que le souvenir de cette première ivresse… Je vous ai encore écris sur cette maudite boisson, comment elle en détruit certain. Je sais pas ce qui m’a marqué le plus l’alcool où le chemin qui m’a mené à cet alcoolisme. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard
 
 

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