dimanche 26 février 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je trouve ça triste, j’ai une lectrice qui ne veux plus lire mon blog parce que ça lui donne de mauvais souvenirs, soit! Je lui souhaite du bonheur et espère qu’elle pourras pas lire ceci. Il fait un temps magnifique… C’est dimanche après-midi, je suis vaporeux je respecte la confidentialité. Ce matin j’ai regardé les offres de voyage pour la Chine. J’aimerais beaucoup y aller avec mon lecteur chauffeur d’autobus. Je faisais le décompte des pays et des villes où je suis allé depuis cinq six ans, ça en fait pas mal, je vous les nomme pas mais j’aurais jamais cru voyager comme ça… Comme vous savez je suis accroché aux aéroports et aux avions. Je pense que je vais vous placer une photo de Dulles à Washington, un aéroport avec un métro à l’intérieur. Bon! Maintenant j’essaye de revenir à mon intériorité… J’ai dormis cet après-midi, je dors beaucoup le jour. J’oublie les mauvaises choses qui m’arrivent, y’en a quand-même pas tellement, quand je suis reposé je suis pas paranoïaque et beaucoup moins anxieux… C’est quand même épeurant de se voir vieillir comme ça, de voir les journées passée et d’écrire pour essayer de réaliser un rêve impossible. La vie est courte j’aurai pas une deuxième chance ça c’est vraiment une chose qui me fait peur, quand même je me rétablis ça compte pour beaucoup… J’espère que mes snowbirds ont du beau temps en Floride. J’ai beaucoup aimé les photos du musée de voitures, c’est magnifique ces vintages cars. Y’a comme une pensée grano qui voudrais qu’on aime pas les voitures, mais ça fait partie de notre histoire… J’entends le muscle car de mon lecteur de Deux-Montagnes ronronner, il a surement hâte de le sortir. Je pense qu’on fait tout ce qu’on peut pour être écologique. Quand j’étais très malade le seul endroit où je me sentais mieux c’est quand je faisais une balade en voiture… Quand j’étais avec quelqu’un qui conduisait pas vite et qu’on discutais calmement. Je pense qu’étrangement maintenant je retrouve ça dans un avion ce sentiment d’être en sécurité dans un cocon avec plusieurs autre voyageurs et pour un long moment, un endroit où on a qu’à se laisser vivre, où il n’y à pas autre chose à faire que se laisser voler. C’est peut-être un peu fou mais ma paranoïa est moins grandes à bord. Le soleil brille ça sort de la déprime, j’attends des nouvelles de mon lecteur voyageur… Pendant ce temps-là j’essais de composer pour le cabaret poétique, cette semaine on a parlé du service qu’on a avec  les compagnies d’avions selon qu’on paye plus où moins comment quand on paye c’est rapide. Les compagnies principales ayant le meilleur service… Je me vois encore à Dulles discutant avec un amateur de baseball et après le transfert pour Montréal à l’aéroport Billy Bishop de Toronto, le douanier qui parle en français en fait je vous ai déjà raconté tout ça. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

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