vendredi 30 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Encore quelques mots, je persévère dans mon destin d’écrivain. C’est humide j’ai démarré le climatiseur, c’est la nuit plutôt que de lire je vous écris. Je pouvais pas attendre plus tard pour écrire je serais mort sinon il aurait fallu que j’invente l’internet et de ça je serais incapable. Je pense à une poésie entre graffiti et art de la rue de Ivan Tresoldi ça dis « Il poeta sei tu che leggi » que je traduis avec l’aide d’internet en « Vous que les lois du poète » traduction pas très heureuse mais avec la poésie c’est toujours difficile. J’ai vu ça sur un mur à Trieste, le lecteur deviens le poète j’espère que c’est ce qui arrive avec le goulag occidental que vous devenez poète vous aussi au travers de votre lecture… Je sais que je suis pas toujours émouvant et que les lois de la poésie sont très exigeantes… J’aimerais bien que mon écriture marque votre quotidien quelle en sorte quelques un de l’analphabétisme, je sais que vous avez appris à compter les dollars avant d’apprendre à lire, d’ailleurs vous ne savez pas lire je sais pas pourquoi je vous écris, c’est peut-être un exercice de littération  contraire pour moi de l’allitération… Le langage compliqué de l’art mural est très beau ,mais je le comprends pas, tout ce graphisme mur à mur, vous voyez ici c’est moi l’analphabète, je suis incapable de marquer mon territoire du goulag occidental et là je me lance dans ce que je pense un peu comme un retour en enfance et la souffrance, la souffrance qui ne veux pas que je danse parce qu’il y a la France et l’alternance cette façon de se remplir la panse pendant que tu pense et que j’essais d’être dense et en partance pour la chance et l’espérance intense… C’est une sorte de rap de scat, de « spoken word » juste là comme ça pour le plaisir. Pourtant, pourtant, y’en a pas autant ni souvent qui essaye ce plan avec des mots savants et parfois des mots d’enfants vieux de milles ans, dans le temps, dans le temps on se croyait savant on est qu’ignorant, gros jean comme devant on y croirais à la poésie mais au lit avec une amie à se faire des guili-guili pas ici dans ces mots qui s’enfuient interdit comme des saloperies… Voilà! Voilà c’est ça on le dis tout bas sur les toits sur la corniche pas en bas, on les voie de loin les rats pas besoin de compter les pas, vous direz c’est un cas, c’est facile d’écrire ça ici et là on marqueras rien on marqueras pas le pas… Je continue, je continue je ne suis pas nu mais j’en peu pu de ces histoires de ces déconvenue, je vous salue, je vous salut dans cette nuit qui a pas plus. Je termine, je suis pas une vermine. Je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

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