lundi 5 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Fête du travail, jamais autant travaillé depuis que je suis chômeur. Je dirais plutôt à la retraite. Je vais essayer d’avoir un peu de sens et de pas vous mettre des chansons pas rapport quoi que c’est une bonne façon de vous faire réagir. Ça me tente pas d’être le vieux mon’onk saoul qui téléphone à tout bout de champ et qui écris sur internet. Ce matin j’ai lu un très bon poème affiché sur un poteau, on se disait que ce serait pas mal si la ville de Montréal affichait des poèmes un peu comme à Trois-Rivières. C’est pour bientôt je crois le festival International de poésie de Trois-Rivières http://www.fiptr.com/  fin septembre vraiment dans l’automne. Moi je me considère pas vraiment comme un bon poète je m’y suis mis trop tard, les meilleurs poèmes je crois sont des œuvres de jeunesse encore je suis qui moi pour écrire sur la poésie, aujourd’hui la poésie c’est l’affaire des docteur ès lettres… Une ambulance passe, la vie aussi peut y passé. Quand je pense poésie, je pense à tout ces regrettés poètes qui ont parfois illuminés ma vie avec intelligence. J’aimais les lire j’aime toujours lire mais parfois je me dis qu’aujourd’hui la poésie a plus de place. Je réinventerai pas le genre mon écriture est toujours une apocalypse verbeuse sans finesse qui se croit tout permis. Faut savoir les mots, les vivres aussi même si on en meurt un petit peu plus chaque jour. Vous voyez bien, vous lisez bien je suis pourris pourtant j’aime la vie avec cette prose prétentieuse. Je m’y essaye à la poésie, je suis pas sérieux, j’aligne les mots sans être maudit et puisqu’on y est parlons en de la malédiction des idiots qui s’enferment dans l’alcool et les toxiques, le trait de génie il est pas souvent là-dedans, le down alcoolique puisqu’il faut en revenir et regarder à jeun ce qu’il faut faire. Mais vous, vous êtes poètes quand dans la routine de vos vies vous amusez les enfants les cajolez les adorez. Je ne désespère pas du monde viendras un nouveau Bach un Saint-François et l’amour pour toujours on le donnera en partage. On en sortira de la nuit des barbares en pardonnant, non pas de loi du Talion juste le pardon pour qu’eux ils connaissent la miséricorde de ceux qui ont la vrai foi et encore je suis qui moi pour parler de vrai foi? Un gueux, un gueux moyen-âgeux un peu scrupuleux. Non! Non! C’est pas l’homélie c’est juste quelques mots ramassés ici et là une espèce de puzzle de délire savant et je devrais dire ignorant. Je cherche à plaire vous savez… Le poète est malmené quand il essais la vérité, c’est difficile et avoué, j’irai un jour face a ma destinée rencontré la bête qui m’a malmené et je fredonnerai, je fredonnerai une chanson de mal-aimé. Je vous laisse donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!

Bernard

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