jeudi 18 août 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! À soère on va essayer d’y aller freestyle des mots pour la langue, de la dope et une planque. Vous savez il se disait je vais essayer juste une fois, il est resté accroché des mois, des mois à courir les trous à rats. Ça faisait mal c’était bien ça on lui avait raconté que c’étais facile de décrocher de ça, un tas de menteries la douleur elle était là, accroché voilà, junkie sur le tas des ennuis à faire les pas, un mythomane ça vie pas gras et c’est pourris par là. Je vous raconte pas comment étais ses bras de la flanelle aussi cousu qu’un drap il cherchait les veines c’est un constat, dites moi! Dites moi! La dope on sait pas où ça s’en va, la nuit, la mort eccetera, des mois, des mois à être en bas sans toit à rester là sans gras, sans viande végan du trépas. Au-delà, au-delà y’a moi et sa balafre et son emploi j’en parle tout bas on est pas trois juste des faux-roi de la nuit pour qui seras peiné à vie, la mort encore une fois. S’t’un mauvais rap de faux junkie celui pour qui il écriras, mais oui tu lis je parle de toi rue Berri dans le temps de la loi. Maintenant c’est l’été je peux trainer par ci par la me prostituer pour un peu de ganja, vous la couleur ça vous le dis pas, je suis pas noir mais juste au soir du rien à voir. Rythm! Rythm! Rythm! Je t’aime! Je t’aime! Je t’aime! C’est comme un hymne une chanson pure laine d’un gars qui purge sa peine dans la communauté près des clochers. J’aurais pas du écrire pour toi si je m’en tire tu me diras qu’elle sorte de beat sors de là, je veux pas casser cette musique là j’essais jusqu’au bout jusqu’au trépas. Lequel casseras la vaisselle les pieds dans les plats. Vous me direz ce que t’écris là c’est pour les petits gars pourtant sont toffe la nuit ces enfants là pour ce qui est des ans j’en ai soixante je joue plus à ça. Parfois je me plante y’a rien d’extra c’est comme l’eau courante elle est bien là, une histoire de fiente de chien d’extra, mais non! Mais non! C’est des ultra au-dessus de tout, ils brassent la cage de la mort au rat . Cette nuit encore je veux faire le vrà, et j’écris sans honte tu me le diras, parfois je pense au chef-d’œuvre à ce que ce seras juste une bêtise d’un bêta, voilà! Voilà! Voilà! J’écris pour toi et pour moi pendant la nuit du jour de paye qu’il faut que je naye… Je marche! Je marche! Je marche! Pense à tout ça avant de rentré chez moi, j’ai le beat de la nuit, le beat de la rue je suis comme perdus. C’était une espèce de rap hip-hop que je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

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