samedi 2 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Comment vous dire? J’arrive plus à loader les photos sur facebook convenablement. Je crois que c’est un où une hacker en tout cas je vais y aller d’une autre façon. Je viens de me réveiller, j’ai dormis cet après-midi, j’essais comme toujours de vous dire comment je me sens. J’avais besoin de ce sommeil, ça m’enrage quand même qu’il y ait des empêcheurs. J’avais une amie dans le temps qui disait que c’était des jaloux, je crois qu’elle avait raison. J’ai relu et surligner mes répliques du cabaret poétique… Me suis versé un verre de jus de pêches en pensant à Jean-Paul qui disait qu’il valait mieux boire le vrai stuff que ces boissons bourrées d’aspartame. Dieu ais son âme. La soirée est pas mal avancée d’habitude je regarde la télé mais je me suis aperçu que je discutais avec personne de ce que je regardais, autant pas regarder. Je pense à toutes ces photos d’inconnues qu’on voie sur facebook rien à dire sauf qu’aller vous cachée. Comment je me sens? J’ai de la peine et eux rigolent en me mettant des bâtons dans les roues. J’ai pas assez d’être paranoïaque faut qu’en plus y’ais de la vrai persécution. Dehors j’entends le klaxon des voitures. Je continue quand même a écrire y’a toujours ces chers amis qui m’encouragent, faut quand même pas que je me prenne pour Proust que j’ai jamais réussis à lire d’ailleurs. Je préfère une écriture plus rock’n’roll si c’est possible la tête enfoncée dans le juke box où les écouteurs à planche a écouter le psychobilly de Robert Gordon, c’est vieux c’est de la fin des années soixante dix mais ça torche en sale pour écrire comme les jeunes d’aujourd’hui. Vous voulez savoir comment je me sens? Pas mal, de petits brûlements d’estomacs et la nuit qui va emporter tout ça. Je pogne le fix sur les bugs mais j’arrive quand même a faire ce que je veux. Je pense à ralentir le rythme un peu entre mes cahiers et le blog y’a rien de bon. Y’ à ce juïf orthodoxe défroqué dans le journal, il a beaucoup de courage, je pense que c’est plus facile de se réfugier dans sa communauté que de se frotter au monde. Ma maladie mentale avait un peu cet aspect-là je cherchais un refuge que je ne trouvais pas et il a fallu que je me confronte au monde avec tous mes malaises, toutes ma folie tout mon désespoir et aujourd’hui je vie une pleine citoyenneté. J’aurai quand même réussis a vous écrire quelque chose de potable aujourd’hui, potable oui! Mais c’est pas de l’eau bien que j’aimerais que ce soit clair… Demain dimanche je vais voir l’ami historien d’art je crois que ça va être intéressant en attendant c’est la soirée de samedi les gens pas sérieux sont en train de se paqueter en pensant pas aux conséquences demain. J’aimais pas dormir dans le métro. Je termine ici, en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

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