dimanche 20 mars 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est la nuit, lentement je vous écris en me réveillant. Ce matin je vous présente Madeleine de Verchères un bronze de 1913 de Louis-Philippe Hébert érigée dans le parc des Pionniers à Verchères au Québec une statue de 7,2 mètres de haut qui commémore la défense du fort de Verchères contre des Iroquois, le monument a été désigné lieu historique national en 1923. De nos jours je crois pas que ce soit politiquement correct de dire s’être défendu contre les Iroquois. Je reviens à mon sentis, j’ai dormis un peu. J’ai de la difficulté a me réveiller ce matin, j’entends les camions qui passent, pense aux fuites de Gaz Métropolitain. Je me fouille l’intérieur un doigt dans le nez, ai pris une douche et me suis parfumé, j’entends les voisins ronfler. J’aime ça quand je sens bon, c’est de la coquetterie avant dans mes psychoses j’avais le sentiment de puer, je pouvais prendre quatre ou cinq douches par jour… La nuit avance c’est calme dans l’édifice pour dormir je dois manger, je suis peut-être un outre-mangeur mais je crois pas, ce matin j’ai pas encore mangé. Je dois rester prêt de moi nommer ce qui m’habite, c’est difficile, cent fois sur le métier tu remettras ton ouvrage. Je « tisse » les mots c’est pas toujours beau, je regarde l’écran et je cherche ce que je peux exprimer, bon j’y vais-je plonge, je vous envois ça sans trop y penser, y’avait ce gars qui ne pensait qu’au sexe sans voir le mal qu’il faisait. Ces pauvres femmes abusées pourtant on  avait affaire à deux adultes moi la sexualité je suis plus capable, je me sent plus serein de pas en avoir… Y’a une douce odeur ça ressemble à la marijuana mais c’est pas ça c’est le mélange de mon parfum et de mon odeur corporelle. Vous me demandez d’écrire je le fait j’espère que vous lisez. Je crois qu’il y en a qui trouvent ça bon. C’est officiellement le printemps Bon ce matin je tomberai pas dans les mal, je trépignerai pas, j’aurai pas de convulsions, juste un petit matin tranquille chez moi. C’est presque le silence dans ma tête le long soliloque semble s’être arrêté ça me force à pensés à ce que je vous écris, je pense aux chroniques littéraire de LaPresse+ ce matin, je vais les lire. C’est toujours la nuit, je me demande qui rode à cette heure. Je me rappelle on entrait dans un café avant que ça ferme et on se faisait servir de l’alcool passé les heures. C’était un monde d’homme on y croisait rarement des femmes, elles étaient moins folles… Encore quelques mots, c’est toujours la nuit, je crois que je bâtis, je sais pas si les fondations de mon écriture sont bonnes. Je compte sur vous pour me le dire, je suis pas dans la swompe, je pense à l’homme d’affaire de Ville d’Anjou propriétaire d’un bistro, je le reconnaitrais pas. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

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