Au présent

Bonsoir! Bonjour! Voilà un an les terroristes ont tué les compagnons de ma jeunesses, ceux qui m'ont beaucoup fait rire avec leurs humours décapant. Les artistes du journal Hara-Kiri. Je sais pas trop quoi dire... J'ai des coups de téléphone pour participé à différents comités, je sais pas trop si je vais m'engager, tout ça je crois que c'est pour février. La nuit est tombé, je suis un peu fatigué, j'espère que le président Obama va réussir a réformer les politiques sur les armes aux U.S.A. plus de contrôle rien ne justifie qu'on tue des enfants. Janvier avance, comme toujours quand il fait froid on pense aux amis en voyage dans le sud, j'ai envie d'y aller mais mes implications me le permettent pas...Les chauffeurs de taxi veulent bloquer les ponts, on a jamais la sainte paix, les choses se déterriorent tout le temps, on règle un problème un autre arrive. Je sais pas pourquoi je regarde les actualités, jamais rien de positif.Je pense à l'hôpital au risque d'y attraper une maladie mortelle, ce soir je reste chez moi dans le goulag occidental, je vais pas à l'hôpital j'en ai pas besoin. Je préfèrerais un voyage dans le sud je pense toujours à la Guadeloupe cette magnifique île. Si jamais vous me lisez et chercher un partenaire de voyage faites moi signe... Je sais je m'avance un peu trop quand j'écris ça, je vais peut-être partir quand même au mois de février c'est toujours l'hiver. Rien a faire les publicités télévisées me tombent toujours sur les nerfs... Je vous écris ça et j'entend les analystes du bulletin de nouvelles, j'aurais plus besoin d'un psychanalyste. Ça me détend de vous écrire ce soir, la journée a été moins vide que je pense. La journaliste parle et le son est saturé de voix, c'est pas les voix dans ma tête ce sont celles de la télévision mais c'est quand même assez pour une psychose, on parle d'immolation par le feu ils sont heavy ce soir. Veux veux pas j'aime beaucoup prendre l'avion, ça me manque et j'ai toujours le sourire quand je vois un avion à la télévision. Je vous ai pas vraiment écris sur mon étât d'âme ce soir, j'ai une boule dans l'estomac, la matriarche dirais j'ai mal au coeur. C'est l'angoisse qui pèse lourd. Encore ce soir on y arrive sans trop savoir, j'aime pas trop la publicités qui parle de crottes de nez... J'ai rien écris d'essentiel ce soir, j'ai pas mis les pieds dehors, y'a une voisine qui a déguerpis c'est triste ailleurs pour elle ça iras pas mieux on traine toujours ses problèmes avec soi, ça lui fait pas de bonnes références pour se loger. On lui a peut être fait une offre mais la maladie elle la traîne avec elle. Ça me rappelle mes années passés à déménager c'était long c'était dur. Je quitterai pas avant d'être sur. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!

 

Bernard