lundi 9 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Vous savez pas comme j'avais hate d'écrire aujourd'hui. Je vais essayer de vous écrire, de vous décrire un moment paranoïaque de ma journée. Ce midi je suis rentré chez moi, ai rangé quelques achats pour ensuite regardé l'afficheur de mon téléphone afin de voir les appels que j'avais reçu. En premier j'avais l'appel d'un très cher ami, jusque là ça va mais ensuite c'étais mon numéro qui étais affiché comme si j'avais fait un appel de chez moi à chez moi, l'appel avait été fait à onze heure. Ça m'a fait peur pour vérifier je me suis appelé mon numéro s'est pas affiché, on m'a juste demandé mon mot de passe. J'espère que vous comprenez, quelques heures plus tard j'ai reçu un appel de Somitel pour me dire que grâce a mon numéro j'avais gagné des magazines. Spooky!!! J'ai dis que j'étais pas intéressé ça s'est terminé là ma paranoïa s'est calmée. Ce soir j'attend de savoir... Viens d'avoir la nouvelle que Montréal irais de l'avant avec le déversement des eaux usées. J'espère que tout va bien allé... Aux actualités on nous a montré de quoi aurais l'air le monde avec un réchauffement de deux degrés, c'étais grave mais on nous a discrètement signalé que ce serait pas avant deux milles ans. J'espère que j'ai bien compris. Je vais essayer encore ce soir de revenir à mon sentis, j'ai réussis a me calmer je suis moins anxieux parfois je me sent persécuté par des techniciens, des technichiens... Y'a longtemps que j'ai pas médité, quand je vous écris c'est une sorte de méditation des mots que je vous garroche comme un mantra. J'en profite pour respirer par le nez, j'inspire et j'expire. Ce que vous lisez c'est plutôt de l'expiration, l'inspiration je sais pas ou elle est j'y travaille. Ça viens toujours du goulag occidental, un goulag de rêve avec le tout à l'égoût et l'accès a l'extérieur en tout temps, j'oubliais aussi de vous dire que dans mon goulag on a le chauffage, reste plus grand chose pour nommer ça un goulag, mais c'est intérieur une forme de réclusion sentimentale, un enfermement intérieur, c'est pas les services municipaux qui comptent c'est cet exil dans cet endroit que plusieurs ont quitté. Je sais, avant c'étais le faubourg à m'lasse, mais y'en a plus on va maintenant en voyage dans les pays de la mélasse Gran'ma, la Jamaïque, la Barbade, tout ça donne le désir du soleil ou plus humblement d'une bonne beurrée de mélasse sans parler des biscuits. Bon bein! Ça va être tout pour ce soir. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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