mercredi 18 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je me réveille d'une sieste en pensant au rapper KcLmnop. Je sais pas ce qu'il deviens.C'est la nuit dans le goulag occidental. Écrire c'est une drôle de façon de chercher de l'affection. Quand j'écris je pense presque toujours à mon lecteur designer retraité du cégep de l'Outaouais, je pense à ma lectrice aussi sa blonde. Je crois que pour moi ils représentent la réussite le bonheur. J'ai toujours cherché comment faire pour être heureux "tel est ma quête, l'inaccessible étoile"-Jacques Brel avec toujours les questions, pourquoi on vie? Pourquoi on meurt? C'est l'angoisse ce soir me demandez pas pourquoi. Un petit mot aussi pour mon lecteur de Pointes-aux-Trembles, membre du conseil d'administration dont je fait partie.Le peintre que j'ai engagé m'a dis que son boss a le même nom que mon lecteur. Ça aussi c'est anxiogène quand on crois que les gens sont à un endroit et on un double à un autre. Le goulag occidental est très tranquille ce soir. Je pense à le rebaptisé, je sais pas trop comment, À l'ombre du plateau? Je sais qu'il y a des gars qui habitent le plateau pour son taux de jolies filles, moi je suis un loser ça intéresse pas les femmes. La peinture et l'escabeau sont chez moi...La musique, je cherche une mélodie lentement dans mon entrée dans la nuit. Quand on écris comme ça on a plus rien a dire pour la conversation. Je suis content pour les petits gars qui réussissent bien à l'école, je souhaite qu'ils continuent comme ça. Le primaire c'est une chose, le secondaire une autre moi passé le secondaire deux je suis devenus très poche, cette haïssable adolescence. Je pense à mon lecteur collectionneur de voitures de Deux-Montagnes je veux juste lui signaler que je lis présentement les six tomes des Robots d'Asimov c'est intéressant et c'est bien écris. De ma nuit j'espère le jour, de ce jour je m'endors la nuit... C'est pas de la fiction que je vous écris, je crois qu'il y en a qui ont peur que j'écrive des souvenirs malheureux, le plus grave c'est que je me souviens de rien, je pense que je suis un hillbillies congénital. J'ai été détruis, c'est ma raison d'écrire me rebatir, me redonner une valeur, refaire dans le sacré. J'ai finis de courrir après la malheur parfois j'arrive à être heureux, crayez moé! Crayez moé pas!!! Hier avec l'ami on se disait que ça servait à rien de vivre dans un château de toute façon je serais incapable de l'entretenir. Bon! C'étais mes étâts d'âme pour ce soir. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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