samedi 19 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Il est trois heure trente six, je vais essayer d'être moins négatif que dans le texte précédent.Quand même cette prison hallucinatoire que je me suis construis surgis toujours jene sais d'où: Ça fait partie intégrante du goulag tout un chacun ne peux vivre ça, y'aurais des tueries c'est la paranoia.Lentement y'a des gens qui rentrent à la maison après leur nuit de beuverie.Ils sont très seul, ils passent la nuit devant l'écran d'une machine à sous, c'est désolant. Cette semaine au supermarché j'ai croisé une peintre du prénom de Brigitte.J'ai pas eu le temps de la saluer de toute façon je crois qu'elle ne se souvenait pas de moi.Je pense à ma pratique à ce que vous lisez là... J'ai hate de repartir en voyage, lentement ça prend forme je vous en raparlerai.Dehors y'a de la circulation le climat se rafraichis, le clinatiseur est arrêté, ils annoncent frais et de la pluie pour la nuit prochaine.Des passants se cherchent une piaule pour consommer, vous ouvrez la porte à des inconnus et on vous envahis,on vous pisse dessus ça pue. Hier c'étais ma soirée voyage télé sur le réseau franco. J'ai beaucoup aimé le film sur la Patagonie à l'extrème sud du Chili. Je pensais au tremblement de terre qu'ils ont vécu cette semaine, j'espère qu'il n'y a pas trop de victimes. Me suis aspergé d'eau de toilette, j'ai envie d'un parfum,une odeur de sent bon... Du sent bon comme on disait dans mon enfance, y'a quelque chose de délicieux dans cette eau. Le goulag occidental on a parfois besoin de le parfumer. Je pense à l'ami disparu qui avait toujours une bonne odeur, j'aimais beaucoup ses hugs. Le climatiseur viens de redémarrer, il fait certainement encore chaud... Mes réflexions sont pas très viriles cette nuit quoi qu'un parfum de femme ça a quelque chose de réjouïssant dans les odeurs corporelles d'un avion. Je pense toujours aux avions. J'ai toujours hate à mon prochain voyage je crois que mon idée est faite, j'attend les offres."Je voudrais voir la mer pour danser avec elle et défier la mort"-Michel Rivard. Cette semaine je parlais de la Guadeloupe avec mon lecteur de Deux-Montagnes à comment c'étais cher et que le "travail" m'avait permis d'aller là. Je pense déjà au froid de l'hiver,ça me sort de mon vingt quatre heure mais il faut bien prévoir les bottes et le manteau d'hiver, c'est un peu un casse couille. Bon! Ce seras la conclusion un rêve de mer tropicale qui j'espère va se réaliser. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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