vendredi 8 mai 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Peut être que vous êtes pas d'accord avec le nom de goulag occidental. Je le répète c'est l'exil à l'ombre de Parthenais. Un exil dans un endroit ou on meurt intoxiqué au gaz des automobiles et des camions. Les services pour les pauvres sont tous ici, la pauvreté nous unis... C'est mal partis ce matin pourtant il fait beau temps.Je raconte toujours la même histoire j'en ai qu'une c'est ma vie. Hier j'ai fait le livre vivant et j'ai rencontré des gens très sympathique. J'ai beaucoup apprécié la conversation avec la pair-aidante famille avec le staticticien aussi. Je me suis sentis privilégié de partager avec ces gens là. Je devrais pas dire ces gens là ce sont mes pairs ouvert d'esprit.Je mange une pomme, encore une fois magnifique journée,ce soir je vais souper au restaurant avec ma soeur, je sais pas quel resto, je cherche... J'attend le facteur j'espère que j'ai du courrier, au goulag occidental on a encore les services du facteur. Je crois que si ils installaient des boîtes elles se feraient démolir. Hier matin toutes les personnes que j'ai rencontré étaient gentilles. Quand je suis sortis dîner j'avais un sentiment de bien-être de plénitude comme j'en ai pas souvent je le dois à tout ceux qui valorisent mon expérience. Y'a des moments comme ça dans la vie on voudrais qu'ils durent tout le temps. Je sais pas si je peux désigner ce que je vie ce matin comme de la sérénité mais ça dois ressembler un peu à ça. Les arbres, leurs feuilles, parure de vert réjouissante, l'espérance, la vie qui renait, la vie qui reviens après une longue descente grise. Je sais pas si vous avez remarqué, j'essais de faire l'écrivain, le poête, c'est pas vraiment la meilleure façon d'écrire faut que j'y aille avec ce que je ressent. Aujourd'hui je vous écris en plein jour et je fait rire les chauffeurs de taxi. Une amie disait que valait mieux être comptable que poête, les poêtes on a pas besoin de ça, Surtout quand ils sont incapables d'écrire le mot poète avec le bon accent. C'est poète... Quand aux comptables ils me mystifient avec les chiffres. Ça vie, ça vie dans le goulag occidental, les cyclistes, les marcheurs, les joggeurs et la circulation automobile, j'oublie pas les motos et je me rétablis dans tout ça, je vie moi aussi. J'aime bien les jeunes filles en robe d'été... Je pense à vous les amis qui m'entourent, je suis content de vous connaitre, heureux, j'en ai assez écris pour cet après midi. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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