mardi 3 juin 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je suis triste, j'ai beau écrire je me sent persécuté. J'ai envoyé un texte intitulé Psychose Parisienne pour mes Humeurs Culturelles sur le site de L'I.U.S.M.M. comment vous dire... De retour de Paris j'ai moins d'intérêt pour les nouvelles de TV5. Lentement la vie passe et ce soir le goulag occidental est sous la pluie. Je reçois des appels d'une boîte vocale anglophone qui me dis que j'ai gagné je ne sais quel voyage, c'est une arnaque. Oui! Oui! Oui! Je suis triste et seul,les orages sont passées y'a une odeur d'oignon frit. Y'a pas de club social pour les fous.Je regarde les voitures passées c'est juin l'été arrive bientôt. J'essais d'écrire quelque chose de vraiment inspiré, le centre-sud est pas très poétique, à part les dépanneurs pour les alcooliques et les bistros aux machines à sous y'a rien, c'est pas que je m'ennuis de ça... Je pense à mes amis partis pour toujours... Je vous écris ça lentement et je pense à la nouvelle petite Camille, une enfant, de quoi se réjouir... Je me fait vieux, le poète a plus beaucoup de poésie. Il regrette d'avoir écris certaines choses, regretté la poésie ça se peux tu, les poètes c'est la fin du monde, le noir, l'apocalypse, le poète radical ne parlait que de ses déchets, il supposait le suppositoire en s'endormant sur une grosse bière muet d'avoir crié son histoire pas encore finale, il essayait de durer, de durer, le temps lui rabattait son caquet comme ceux qu'il croisait et qui le détestais. Il se crissais des nuits sans lune et des espoirs pour rien jamais gris souvent saoul pour essayer de mourrir en mots, de crever en syntaxe sans savoir, le dictionnaire, ce qu'est un paradigme des mots de maudites façons. On le disait schizophrène il a acheté en cherchant le silence dans ce brouhaha délirant, le prochain comme dans la bible se chargeais de lui faire ressentir la haine pourtant ces syllabes incompréhensibles, ces onomatopés déviargés... On appelle pas la police pour des mots, je ne connais qu'un langage voilà mon malheur, t'en rappelle tu Mimille dans ton adolescence tu nous enchantais avec ton destin pathétique. On veux me faire mourrir assassiné par le peux de chose que je connais, assassiné par l'ignorance tué par la machine ordiné ordinaire.So you want to be great! Be and believe sans sauf conduit en attendant la nuit et les néons de pharmacie oubliée et puisqu'il s'agit de finir, terminons sur un demain sans nom... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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