vendredi 7 février 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Les français sont sous la tempête inondés. Je viens de regarder les actualités, on en a que pour les olympiques de Sotchi. Les russes ont mis une cinquantaine de milliards de dollars dans tout ça. Ça me donne pas envie de visiter la russie. J'ai rien retenus a part peut-être les skieurs et les planchistes. Ils seront cette nuit en direct à la télé. C'est de la folie du mégalomane Poutine. Je sais pas y'a combien de kilomètres entre Sotchi et mon goulag occidental. Je sais pas quoi dire sur le drapeau arc-en-ciel je dis rien. La vie sexuelle des gens ça me regarde pas. Je trouve ça drôle que le président français s'appelle Hollande, en Hollande pourrait il y avoir une présidente du nom de France. Je sais, je sais, mes amis français aiment pas beaucoup qu'on parle d'eux... Le drummer de notre premier ministre est accusé d'abus sexuel. Juste pour vous dire les bonnes fréquentations de Stephen. J'aimerais donnés une twist à tout ça et en revenir à moi. J'ai des peaux sèches dans le nez c'est dégueulasse, j'essaye de respirer. Je suis allés à la caisse cet aprè-midi un gars m'a pointé en parlant à la caissière. J'ai eu envie de lui sauter dessus. Mais maintenant que je suis chez moi je juge que j'ai bien fait de laisser faire. "Vivre et laisser vivre". Ce soir je bois du Coca-Cola et pour en revenir à l'homosexualité j'ai parfois l'impression que la planète est gay.  Pardonnez moi! Je participe à une recherche sur l'approche collaborative semble que ça s'est jamais fait, les gens ont l'habitude de travailler en silo. La recherche se fait avec des gens de divers horizons, c'est toujours plus riches quand les gens collaborent et échangent leurs différents points de vue. J'ai des textes faibles ces jours ci, l'actualité c'est pas ma tasse de thé. Les budgets gouvernementaux pour contrer l'itinérance ont été reconduit. Je vais continuer a payer mon loyer, ai mis la radio, du jazz qui rappelle les nuits passées sur la corde à linge a écouter de la musique et a boire. Je pense au regretté Gilbert Langevin le poète de La Doré au Lac-Saint-Jean, j'ai eu la chance de prendre une bière avec lui et suis toujours étonné de l'importance qu'il donnait à ce que je disait. Je te vois Gilbert tu marche dans le quartier latin c'est l'hiver et tu a faim t'étais un père et moi rien, rien qu'accroché à son verre sans lendemain, la misère tu la vivait a deux mains une pour la bière l'autre pour le pain c'était hier et c'est si loin je me perd voilà la fin. Hé oui! Je suis un gros zéro qui se bat avec les mots qui comme des ennemis sont de trop, concis, concis l'idiot.... Je vous abandonne là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

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