Bonjour! Bonsoir! Viens de déjeûner d'une poudding aux chômeurs. C'est dimanche petit matin. On veux que je synthétise ma pensée, mon lecteur édimestre entre autre moi je veux écrire que ce que je sent et ressent. Pédant, je suis pédant et ça me fait mal. le poète chantais "je connais rien" c'est de l'humilité. Si je suis pédant ça me permet d'écrire, l'ignorance ça garde muet et ça fait dire des niaiseries. Je dirais qu'au Québec on préfère les idiots profonds à ceux qui ont une certaine connaissance. Lentement je m'arrache à la nuit, comme un pauvre cave j'écris, un innocent... Selon certains je devrais pas écrire de peur de blesser quelqu'un, la personne à qui ça fait le plus mal c'est moi. Y'a longtemps que j'ai pas été inspiré que la nuit m'a pas donné, y'a que le noir et les autobus. Dans la vie j'essais de faire ce qui conviens même si ça paye pas, ça tiens un certain malaise éloigné mais rien n'est parfait y'a toujours la douleur du mal aimé... Cet automne ils vont diffuser deux séries culte que j'ai déjà visionner. Quand je vous écris comme ça je m'oublie ça me soulage, ma pensée semble dirigée même si ça ressemble à un "melting pot", la bouillabaisse de la réflexion. Vous avez pas idée comment je me sent minable au point de baisser les yeux quand je serre la main de quelqu'un qu'on me présente. Tient tout à coup je pense à mon lecteur technicien en aéronautique... Je dois faire attention je crois que j'en ai plus qu'un qui pratique ce métier là, celui là est un grand passionné de golf et de bière. Je lui fait un petit salut pendant son congé... Dehors dans la nuit un gars à bicyclette et moi qui essais de vous rédiger un billet sur la nuit qui passe, soudain les portes grincent, ça défile pas trop vite dans ma tête j'essais de faire le tri dans ce tumulte incessant, les neurones et les synapses se payent la traite. Je me tiens loin de l'électricité. J'essais de garder mon calme, vous devriez me voir me curer le nez devant mon écran c'est d'un ridicule Si je me qualifiais encore je dirais que je suis légèrement abrutis. J'ai de la difficulté avec les qualificatifs positifs. Comme Marc Drouin l'écrivais "je vie ma vinaigrette" tiens! Une odeur de friture tout à coup pourtant les pommes de terre et l'huile sont rangées. Je fait bouillir de l'eau pour le café j'attend que la bouilloire siffle... Je pense au mauvais roman policier que je viens de lire au personnage qui porte un catogan, vous savez pas ce que c'est!!!? Une queue de cheval... Je bouffe la nuit pour tuer l'angoisse je deviens de plus en plus gros. Je sent plus le vide à mon plexus solaire... Non, y'a pas d'autre personnage que moi sinon les passants les gens qui sortent des bars et qui ont dépensé la fortune du mois... Hier je pensais à mes anciennes flammes, la vie est courte j'en ai eu quelques une sans pourtant les garder. La stabilité affective je connais pas ça, stabilité affective, je trouve que ça sonne barbare... Ouais!!! Le vieux crétin vous abandonne là dessus! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Ugly Berny
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